Les Forces armées des Forces nouvelles ont mis hier, à la disposition du Centre de commandement intégré, 700 soldats supplémentaires, pour la sécurisation du scrutin de dimanche prochain.
Hier, au cours d’une cérémonie militaire au 3ème bataillon militaire de Bouaké, 350 soldats issus des rangs des Forces armées des Forces nouvelles (FaFn), sous le commandement de Chérif Ousmane, commandant du groupement d’instruction 3, ont été convoyés en zone gouvernementale, dans 19 véhicules de transport de troupe appartenant à la Force Licorne. Pour le maintien de la sécurité du processus électoral. Pour compléter ce nombre, un second groupe de 350 soldats sera convoyé, ce matin. Avant le départ, le général Soumaïla Bakayoko, chef d’état-major des FaFn, s’est adressé à ses hommes : « Cette mission est de permettre à chacun des électeurs de se rendre librement dans les lieux de vote, pour accomplir son devoir civique. Il s’agit, pour nous, de faire en sorte que personne n’empêche un électeur d’accomplir son droit de vote. Que personne n’intimide un citoyen dans son choix. Il s’agira de faire en sorte qu’aucune action de violence ne survienne après les élections ». Puis, dans le cadre de la mission, il a demandé à ses hommes d’avoir un esprit de discipline et d’obéir à leur chef. « Partout où vous serez, respectez les populations qui doivent être considérées comme vos parents. Avec des élections sécurisées, nous contribuons au retour de la paix », a-t-il conseillé. Et, a poursuivi le général de brigade Soumaïla Bakayoko, la noblesse de cette mission mérite une attention toute particulière. C’est pourquoi à ses hommes, il a demandé de s’impliquer dans la sécurisation des élections, là où ils seront déployés. « Je sais pouvoir compter sur vous et la Côte d’Ivoire compte sur vous pour des élections sécurisées », a ajouté le patron des FaFn. Concernant la mission, il a affirmé qu’elle va continuer après les élections. Elle devrait donc prendre fin si, aucune violence n’est constatée sur l’ensemble du territoire. Pour ce déploiement, il faut noter que les villes concernées sont Man, Gagnoa, Daloa, Soubré, Tiassalé, Grand-Bassam, San-Pedro, Yamoussoukro, Sikensi et le district d’Abidjan.
Denis Koné à Bouaké
Hier, au cours d’une cérémonie militaire au 3ème bataillon militaire de Bouaké, 350 soldats issus des rangs des Forces armées des Forces nouvelles (FaFn), sous le commandement de Chérif Ousmane, commandant du groupement d’instruction 3, ont été convoyés en zone gouvernementale, dans 19 véhicules de transport de troupe appartenant à la Force Licorne. Pour le maintien de la sécurité du processus électoral. Pour compléter ce nombre, un second groupe de 350 soldats sera convoyé, ce matin. Avant le départ, le général Soumaïla Bakayoko, chef d’état-major des FaFn, s’est adressé à ses hommes : « Cette mission est de permettre à chacun des électeurs de se rendre librement dans les lieux de vote, pour accomplir son devoir civique. Il s’agit, pour nous, de faire en sorte que personne n’empêche un électeur d’accomplir son droit de vote. Que personne n’intimide un citoyen dans son choix. Il s’agira de faire en sorte qu’aucune action de violence ne survienne après les élections ». Puis, dans le cadre de la mission, il a demandé à ses hommes d’avoir un esprit de discipline et d’obéir à leur chef. « Partout où vous serez, respectez les populations qui doivent être considérées comme vos parents. Avec des élections sécurisées, nous contribuons au retour de la paix », a-t-il conseillé. Et, a poursuivi le général de brigade Soumaïla Bakayoko, la noblesse de cette mission mérite une attention toute particulière. C’est pourquoi à ses hommes, il a demandé de s’impliquer dans la sécurisation des élections, là où ils seront déployés. « Je sais pouvoir compter sur vous et la Côte d’Ivoire compte sur vous pour des élections sécurisées », a ajouté le patron des FaFn. Concernant la mission, il a affirmé qu’elle va continuer après les élections. Elle devrait donc prendre fin si, aucune violence n’est constatée sur l’ensemble du territoire. Pour ce déploiement, il faut noter que les villes concernées sont Man, Gagnoa, Daloa, Soubré, Tiassalé, Grand-Bassam, San-Pedro, Yamoussoukro, Sikensi et le district d’Abidjan.
Denis Koné à Bouaké
