Les populations de la région du Zanzan sont retournées aux urnes ce dimanche
28 novembre 2010 pour choisir celui qui aura à charge de diriger la Côte d’Ivoire pour les cinq années a venir. Fait majeur pour ce second tour des élections présidentielles, les électeurs ne se sont pas bousculés dans les bureaux de vote.
A Bouna et à Bondoukou, autour de 13 heures, des individus à l’aide de mégaphones sillonnaient les marchés afin d’inviter les populations à aller voter. Au premier tour, déjà dès 6 heures du matin, la majorité des centres de vote avait été prise d’assaut et les personnes âgées accompagnées pour accomplir leur devoir civique.
Joint par téléphone tôt dans la matinée, le DDC de Doropo, Charles Kambiré, ne cachait pas son optimisme quant à la victoire de Laurent Gbagbo dans cette localité située en zone ex-CNO. Les Casques bleus de l’Onuci étaient déjà visibles. Quant au CCI, ce n’est qu’en début d’après-midi qu’il y a pris pied. A Koun-Fao, les populations ont pris leur temps et les choses se sont bien déroulées dans l’ensemble. Le ministre Augustin Comoé après avoir voté à Koun-Fao a sillonné, certaines localités de sa DDC pour s’enquérir des nouvelles. Il compte améliorer son score pour ce deuxième tour en récupérant Kouassi-Datekro.
Le travail de proximité mené à Bondoukou a permis de retourner la situation dans bien de villages. Cependant, il convient de noter que malgré la présence du CCI à Bouna, Tehini et Doropo, les FAFN ont annoncé dans la matinée des mesures conservatoires qui interdisent à toute personne de sortir de cette zone après le vote.
Qu’est-ce qui se cache derrière cette mesure de refus de laisser les populations se déplacer tranquillement ? Personne ne pourrait le dire exactement. Déjà, la mesure instaurant le couvre-feu n’a pas été respectée. Tehini dont a en charge Palé Sié Amadou a déjà donné le ton en refusant qu’un bélier et un taureau soient immolés pour permettre la victoire d’Alassane Ouattara en début de semaine dernière.
Dans l’ensemble, tout s’est déroulé dans un calme relatif avec un taux de
participation qui pourrait être en dessous de celui du premier tour.
Adolphe Ouattara
28 novembre 2010 pour choisir celui qui aura à charge de diriger la Côte d’Ivoire pour les cinq années a venir. Fait majeur pour ce second tour des élections présidentielles, les électeurs ne se sont pas bousculés dans les bureaux de vote.
A Bouna et à Bondoukou, autour de 13 heures, des individus à l’aide de mégaphones sillonnaient les marchés afin d’inviter les populations à aller voter. Au premier tour, déjà dès 6 heures du matin, la majorité des centres de vote avait été prise d’assaut et les personnes âgées accompagnées pour accomplir leur devoir civique.
Joint par téléphone tôt dans la matinée, le DDC de Doropo, Charles Kambiré, ne cachait pas son optimisme quant à la victoire de Laurent Gbagbo dans cette localité située en zone ex-CNO. Les Casques bleus de l’Onuci étaient déjà visibles. Quant au CCI, ce n’est qu’en début d’après-midi qu’il y a pris pied. A Koun-Fao, les populations ont pris leur temps et les choses se sont bien déroulées dans l’ensemble. Le ministre Augustin Comoé après avoir voté à Koun-Fao a sillonné, certaines localités de sa DDC pour s’enquérir des nouvelles. Il compte améliorer son score pour ce deuxième tour en récupérant Kouassi-Datekro.
Le travail de proximité mené à Bondoukou a permis de retourner la situation dans bien de villages. Cependant, il convient de noter que malgré la présence du CCI à Bouna, Tehini et Doropo, les FAFN ont annoncé dans la matinée des mesures conservatoires qui interdisent à toute personne de sortir de cette zone après le vote.
Qu’est-ce qui se cache derrière cette mesure de refus de laisser les populations se déplacer tranquillement ? Personne ne pourrait le dire exactement. Déjà, la mesure instaurant le couvre-feu n’a pas été respectée. Tehini dont a en charge Palé Sié Amadou a déjà donné le ton en refusant qu’un bélier et un taureau soient immolés pour permettre la victoire d’Alassane Ouattara en début de semaine dernière.
Dans l’ensemble, tout s’est déroulé dans un calme relatif avec un taux de
participation qui pourrait être en dessous de celui du premier tour.
Adolphe Ouattara