«Je voudrais, au nom de tous les Membres de notre ‘’Association’’, vous dire grand merci pour votre grande disponibilité et votre patience. Je suis venu à Abidjan, porteur de sentiment heureux, de respect, pour la Côte d’Ivoire, pour les Ivoiriens et pour les acteurs politiques. Ceci, au regard de la qualité de la conduite du 1er tour de l’élection présidentielle. Ce soir, je suis comblé par la fidélité renouvelée par les deux candidats, aux règles, aux structures et à toutes les dispositions légales qui vont présider à l’organisation du 2nd tour, nous avons eu des entretiens très nombreux et fructueux ; et, je puis vous assurer que nous allons vers ce 2e tour avec confiance ; en souhaitant que les Ivoiriennes et les Ivoiriens sortent nombreux, votent massivement, dans le calme, avec sérénité. Il y va de l’intérêt de la Côte d’Ivoire ; de la sous- région ; mais, il y va aussi de la maturation de la démocratie pour la Côte d’Ivoire. Nous saluons donc, ce soir, très fraternellement, le Président Laurent Gbagbo pour sa très forte disponibilité. Nous saluons également le candidat Alassane Ouattara, qui a été très productif avec nous, ce soir. Nous félicitons le Premier ministre, Guillaume Soro, pour sa détermination ; et l’ensemble des Ivoiriens pour avoir donné un exemple réussi d’organisation d’élection en Afrique. Bien sûr, de notre côté, nous resterons toujours à l’écoute, très disponible, pour accompagner nos frères et amis vers cette sortie de crise que nous souhaitons créatrice de bonheur, non seulement pour les Ivoiriens, mais aussi, pour l’ensemble de notre communauté ouest- africaine. Je vous remercie».
Monsieur le Président du Faso, par rapport aux engagements pris par deux candidats avant le scrutin, nous avons le cas de la guinée qui n’a pas été tout à fait, un exemple. Est -ce que vous avez pris des garanties cette fois-ci, de la part des deux candidats, de respecter effectivement le verdict des urnes, tel que proclamé par la Commission électorale indépendante (Cei) et le Conseil Constitutionnel ?
S.e.m. Blaise Compaoré : «Je pense que sur la Guinée», si vous avez bien suivi, les deux candidats sont en train de s’inscrire, malgré les remous des deux premiers jours, dans ces engagements.Tout à l’heure, les deux candidats ivoiriens, ont fait lire un communiqué qui s’inscrit justement dans la fidélité à cet engagement-là».
Monsieur le Président, vous arrivez en Côte d’Ivoire au moment où un décret de couvre- feu, est diversement interprété par la classe politique. Est- ce que vous en avez parlé ? Et, quelle solution avez- vous trouvée ?
S.e.m. Blaise Compaoré : «Effectivement, j’ai rencontré au cours de mes discussions, cette préoccupation qui a été posée, comme un souci, à la fois pour les citoyens, mais aussi, pour la Cei. Et, comme vous le savez, nous avons échangé avec le Président Laurent Gbagbo qui, dans un contexte de mesures d’ordre sécuritaire, a pris cette décision. Mais, comme vous venez de l’entendre, la Cei que je voudrais, ici, féliciter pour le travail magnifique qui a été réalisé pour conduire à ce 1er tour exemplaire, a souhaité l’assouplissement des mesures sécuritaires, liées justement à ce décret sur le couvre- feu. Nous avons échangé avec le Président Laurent Gbagbo, qui a une très forte disponibilité pour envisager des mesures dans ce sens-là. Donc, je pense que sur la question, des dispositions seront prises pour permettre que des conditions idéales soient données à la Cei, pour mieux organiser ce 2e tour».
Monsieur le Président du Faso, lors d’une conférence de presse organisée au Quartier général du Candidat Laurent Gbagbo, la Direction nationale de Campagne a évoqué le problème du remplacement des bureaux de vote. Est- ce qu’au cours de vos échanges, vous avez parlé de ce problème ?
«Nous n’avons pas parlé de cela. Mais, je crois qu’avec le Président de la Cei, nous avons évoqué la question. Mais, je pense que des dispositions sont en train d’être prises pour corriger cela ; pour permettre de créer les conditions, conformément aux règles et au règlement, afin que le processus se déroule normalement».
Monsieur le Président du Faso, par rapport aux engagements pris par deux candidats avant le scrutin, nous avons le cas de la guinée qui n’a pas été tout à fait, un exemple. Est -ce que vous avez pris des garanties cette fois-ci, de la part des deux candidats, de respecter effectivement le verdict des urnes, tel que proclamé par la Commission électorale indépendante (Cei) et le Conseil Constitutionnel ?
S.e.m. Blaise Compaoré : «Je pense que sur la Guinée», si vous avez bien suivi, les deux candidats sont en train de s’inscrire, malgré les remous des deux premiers jours, dans ces engagements.Tout à l’heure, les deux candidats ivoiriens, ont fait lire un communiqué qui s’inscrit justement dans la fidélité à cet engagement-là».
Monsieur le Président, vous arrivez en Côte d’Ivoire au moment où un décret de couvre- feu, est diversement interprété par la classe politique. Est- ce que vous en avez parlé ? Et, quelle solution avez- vous trouvée ?
S.e.m. Blaise Compaoré : «Effectivement, j’ai rencontré au cours de mes discussions, cette préoccupation qui a été posée, comme un souci, à la fois pour les citoyens, mais aussi, pour la Cei. Et, comme vous le savez, nous avons échangé avec le Président Laurent Gbagbo qui, dans un contexte de mesures d’ordre sécuritaire, a pris cette décision. Mais, comme vous venez de l’entendre, la Cei que je voudrais, ici, féliciter pour le travail magnifique qui a été réalisé pour conduire à ce 1er tour exemplaire, a souhaité l’assouplissement des mesures sécuritaires, liées justement à ce décret sur le couvre- feu. Nous avons échangé avec le Président Laurent Gbagbo, qui a une très forte disponibilité pour envisager des mesures dans ce sens-là. Donc, je pense que sur la question, des dispositions seront prises pour permettre que des conditions idéales soient données à la Cei, pour mieux organiser ce 2e tour».
Monsieur le Président du Faso, lors d’une conférence de presse organisée au Quartier général du Candidat Laurent Gbagbo, la Direction nationale de Campagne a évoqué le problème du remplacement des bureaux de vote. Est- ce qu’au cours de vos échanges, vous avez parlé de ce problème ?
«Nous n’avons pas parlé de cela. Mais, je crois qu’avec le Président de la Cei, nous avons évoqué la question. Mais, je pense que des dispositions sont en train d’être prises pour corriger cela ; pour permettre de créer les conditions, conformément aux règles et au règlement, afin que le processus se déroule normalement».
