La chef de la diplomatie européenne Catherine
Ashton a demandé mercredi que la "volonté du peuple ivoirien soit entièrement
respectée", alors que des violences sont redoutées à l'annonce prévue des
premiers résultats nationaux du second tour de la présidentielle du pays.
"Je félicite les électeurs ivoiriens de s'être rendus en très grand nombre
aux urnes à l'occasion du deuxième tour des élections présidentielles, malgré le contexte marqué par de vives tensions", a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Et "je fais appel à la Commission Electorale Indépendante et au Conseil Constitutionnel afin qu'ils mènent à bien ce processus électoral afin que la volonté du peuple ivoirien soit entièrement respectée", a demandé la Haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères.
Mardi soir, des représentants au sein de la commission électorale du chef de l'Etat Laurent Gbagbo, candidat à sa succession, ont empêché physiquement l'annonce de résultats partiels du second tour de la présidentielle qui a eu lieu dimanche et l'opposait à l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara.
Six fois repoussée depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005, l'élection est censée clore une décennie de crises politico-militaires et la partition du pays depuis 2002 entre un Sud loyaliste et un Nord tenu par l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).
Ashton a demandé mercredi que la "volonté du peuple ivoirien soit entièrement
respectée", alors que des violences sont redoutées à l'annonce prévue des
premiers résultats nationaux du second tour de la présidentielle du pays.
"Je félicite les électeurs ivoiriens de s'être rendus en très grand nombre
aux urnes à l'occasion du deuxième tour des élections présidentielles, malgré le contexte marqué par de vives tensions", a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Et "je fais appel à la Commission Electorale Indépendante et au Conseil Constitutionnel afin qu'ils mènent à bien ce processus électoral afin que la volonté du peuple ivoirien soit entièrement respectée", a demandé la Haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères.
Mardi soir, des représentants au sein de la commission électorale du chef de l'Etat Laurent Gbagbo, candidat à sa succession, ont empêché physiquement l'annonce de résultats partiels du second tour de la présidentielle qui a eu lieu dimanche et l'opposait à l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara.
Six fois repoussée depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005, l'élection est censée clore une décennie de crises politico-militaires et la partition du pays depuis 2002 entre un Sud loyaliste et un Nord tenu par l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).