Le directeur de campagne de Gbagbo à Bouaké-Koko et Bamoro, Ferdinand Kouassi, alias Watchard Kédjébo, a animé, hier, un point-presse au Qg de La majorité présidentielle. Objectif, témoigner des circonstances dans lesquelles le second tour s’est déroulé dans les zones Centre-Nord-Ouest. «On a vécu l’enfer à Bouaké et dans les autres zones Cno. Depuis plusieurs jours, des centaines de militants de La majorité présidentielle déployés dans les zones Cno sont victimes de harcèlement, de violences physiques, de menaces de mort, d’attaques et de destructions de biens par les Forces armées des Forces nouvelles », a-t-il dénoncé. Se considérant comme des victimes d’atteintes aux droits de l’Homme et de la liberté d’opinion, ils ont appelé la communauté nationale et internationale à « user de leur influence auprès du Premier ministre, Guillaume Soro, chef politique des Forces nouvelles, afin que tous les militants et sympathisants de Lmp, arbitrairement détenus par les FaFn, recouvrent la liberté ».
Les différentes déclarations des observateurs internationaux qui ont qualifié le scrutin de crédible ont plongé Watchard Kédjébo dans une colère noire : « Je suis choqué par ces rapports des observateurs internationaux. C’est une grosse arnaque. C’est nous qui avons vécu ces évènements. A aucun moment, on a vu ces observateurs sur le terrain ». Puis Eugène Djué d’ajouter : « j’ai cherché ces observateurs en espérant les rencontrer. Je n’ai vu personne ! » Contrairement à ce qui avait été observé dans la matinée, cet après-midi, le Qg était plus animé. Les forces de l’ordre étaient moins présents (du moins c’est ce qu’il nous a été donné de constater) et les militants, plus nombreux, attendaient patiemment ( ?) l’annonce de la victoire de Laurent Gbagbo.
Anne-Marie Eba.
Les différentes déclarations des observateurs internationaux qui ont qualifié le scrutin de crédible ont plongé Watchard Kédjébo dans une colère noire : « Je suis choqué par ces rapports des observateurs internationaux. C’est une grosse arnaque. C’est nous qui avons vécu ces évènements. A aucun moment, on a vu ces observateurs sur le terrain ». Puis Eugène Djué d’ajouter : « j’ai cherché ces observateurs en espérant les rencontrer. Je n’ai vu personne ! » Contrairement à ce qui avait été observé dans la matinée, cet après-midi, le Qg était plus animé. Les forces de l’ordre étaient moins présents (du moins c’est ce qu’il nous a été donné de constater) et les militants, plus nombreux, attendaient patiemment ( ?) l’annonce de la victoire de Laurent Gbagbo.
Anne-Marie Eba.