Communiqué N° 01122010
Les Forces Nouvelles ont suivi sur les antennes de la RTI avec beaucoup de surprises les déclarations irresponsables de Madame N`DIEGUENE Seynabou, de l`observatoire de la société civile africaine pour la démocratie et l`assistance électorale (OSCADAE), de Messieurs Jean Marie N`gondji BAGANGTE, au nom de la coordination des observateurs électoraux africains, et enfin COMPAORE Seydou, au nom de la coordination de la mission internationale des observateurs de la société civile africaine (COMISCA).
Ces trois (3) missions d`observation, bien curieusement ont repris en cœur les graves accusations portées contre les Forces Nouvelles par la majorité présidentielle (LMP).
Visiblement, la manœuvre est non seulement de corroborer ces accusations infondées, mais de servir de preuves à l`intention manifeste de la majorité présidentielle (LMP) d`obtenir l`invalidation par le Conseil Constitutionnel du vote des zones Centre, Nord et Ouest.
Alors que les organisations agrées, de réputation mondialement reconnues, telles que l`Union Africaine, la CEDEAO, l`union européenne, le Centre Carter et bien d`autres, ont toutes été unanimes sur l`aspect démocratique de l`élection du second tour qui s`est déroulé sur l`ensemble du territoire national, et en particulier dans les zones Centre, Nord et Ouest, ces prétendus observateurs africains, parmi lesquels l`on a pu identifier un marocain vendeur de pantalons jeans à Treichville, devenu subitement expert électoral, ont choisi la complaisance, la félonie, la déclamation et la polémique stérile.
Cette attitude remplie les Forces Nouvelles de honte, d`autant plus que ces frères africains auraient pu se distinguer par la dignité qui caractérise l`homme africain.
Les Forces Nouvelles ont suivi sur les antennes de la RTI avec beaucoup de surprises les déclarations irresponsables de Madame N`DIEGUENE Seynabou, de l`observatoire de la société civile africaine pour la démocratie et l`assistance électorale (OSCADAE), de Messieurs Jean Marie N`gondji BAGANGTE, au nom de la coordination des observateurs électoraux africains, et enfin COMPAORE Seydou, au nom de la coordination de la mission internationale des observateurs de la société civile africaine (COMISCA).
Ces trois (3) missions d`observation, bien curieusement ont repris en cœur les graves accusations portées contre les Forces Nouvelles par la majorité présidentielle (LMP).
Visiblement, la manœuvre est non seulement de corroborer ces accusations infondées, mais de servir de preuves à l`intention manifeste de la majorité présidentielle (LMP) d`obtenir l`invalidation par le Conseil Constitutionnel du vote des zones Centre, Nord et Ouest.
Alors que les organisations agrées, de réputation mondialement reconnues, telles que l`Union Africaine, la CEDEAO, l`union européenne, le Centre Carter et bien d`autres, ont toutes été unanimes sur l`aspect démocratique de l`élection du second tour qui s`est déroulé sur l`ensemble du territoire national, et en particulier dans les zones Centre, Nord et Ouest, ces prétendus observateurs africains, parmi lesquels l`on a pu identifier un marocain vendeur de pantalons jeans à Treichville, devenu subitement expert électoral, ont choisi la complaisance, la félonie, la déclamation et la polémique stérile.
Cette attitude remplie les Forces Nouvelles de honte, d`autant plus que ces frères africains auraient pu se distinguer par la dignité qui caractérise l`homme africain.