Les Forces Nouvelles ont suivi sur les antennes de la RTI avec beaucoup de surprises les déclarations irresponsables de Madame N'DIEGUENE Seynabou, de l'observatoire de la société civile africaine pour la démocratie et l'assistance électorale (OSCADAE), de Messieurs Jean Marie N'gondji BAGANGTE, au nom de la coordination des observateurs électoraux africains, et enfin COMPAORE Seydou, au nom de la Coordination de la mission internationale des observateurs de la société civile africaine (COMISCA).
Ces trois (3) missions d'observation, bien curieusement, ont repris en cœur les graves accusations portées contre les Forces Nouvelles par La majorité présidentielle (LMP).
Visiblement, la manœuvre est non seulement de corroborer ces accusations infondées, mais de servir de preuves à l'intention manifeste de La majorité présidentielle (LMP) d'obtenir l'invalidation par le Conseil Constitutionnel du vote des zones Centre, Nord et Ouest.
Alors que les organisations agréés, de réputation, mondialement reconnues, telles que l'Union Africaine, la CEDEAO, l'Union européenne, le Centre Carter et bien d'autres, ont toutes été unanimes sur l'aspect démocratique de l'élection du second tour qui s'est déroulé sur l'ensemble du territoire national, et en particulier dans les zones Centre, Nord et Ouest, ces prétendus observateurs africains, parmi lesquels l'on a pu identifier un Marocain vendeur de pantalons jeans à Treichville, devenu subitement expert électoral, ont choisi la complaisance, la félonie, la déclamation et la polémique stérile.
Cette attitude remplit les Forces Nouvelles de honte, d'autant plus que ces frères africains auraient pu se distinguer par la dignité qui caractérise l'homme africain.
Dans cette multitude de missions d'observation, faut-il-être d'une mauvaise foi caractérisée pour être seul à voir des bourrages d'urnes et autres irrégularités dans les zones Centre, Nord et Ouest ?
Il n'échappe pas aux Forces Nouvelles que Dame N'DIEGUENE Seynabou a été reçue en audience privée à Korhogo par Monsieur Laurent Dona FOLOGO du 26 au 30 novembre, pour convenir des termes du contenu de ces déclarations.
Rien que la similitude des termes et des phrases de ces communiqués avec celui de La majorité présidentielle suffirait à convaincre tous les sceptiques.
Les Forces Nouvelles se souviennent que cette dame a été utilisée pour lire une déclaration à la RTI lors de l'incident diplomatique survenu entre Messieurs WADE et Laurent GBAGBO, arguant qu'elle vit en Côte d'Ivoire et porte-parole de la communauté sénégalaise, dans le même temps qu'elle prétend vivre au Sénégal. Quel activisme !!
Quant au sieur Jean Marie N'gondji BAGANGTE, il faut savoir qu'il a vécu pendant plus de dix (10) ans au Burkina Faso, avant d'en être expulsé pour usage de faux visa.
S'agissant de COMPAORE Seydou, il a eu des démêlés avec la justice du Burkina Faso pour émission de chèques sans provisions.
Les Forces Nouvelles tiennent à porter à la connaissance des Ivoiriennes, des Ivoiriens, des amis et habitants de la Côte d'Ivoire que ces trois (3) personnes ont travaillé dans l'équipe de campagne du candidat de La majorité présidentielle, que Madame N'DIEGUENE Seynabou a été logée à l'hôtel " Mont Korhogo " à la " chambre 30 " pour le compte de La majorité présidentielle et que le véhicule qui la transportait pendant tout son séjour à Korhogo, est celui du neveu du Dr Issa Malick Coulibaly, Monsieur Koné Moussa.
Tel est le profil de ces personnes de petite vertu, plus proches des chasseurs de prime que des observateurs d'élections.
Leurs parcours abjects sont sus de tout le monde et c'est sans surprise que leurs collègues des autres missions les ont vu à la télé lire leurs déclarations.
Les Forces Nouvelles tiennent à informer l'opinion nationale et internationale que malgré les incidents qui ont pu survenir au Nord, l'on notera qu'il n'y a eu ni mort, ni blessé grave dans cette région du pays. Elles auraient souhaité pouvoir en dire autant pour le reste de la Côte d'Ivoire.
Ces soi-disant observateurs, par souci de crédibilité, aurait pu noter qu'on déplore dans les zones forestières et au Sud au moins vingt (20) morts et avoir du respect et de la considération pour la mémoire de ces innocentes victimes, de la bêtise humaine.
Pour peu que ces prétendus observateurs aient été perspicaces, ils auraient pu relever que les différents scores réalisés au premier tour et ceux du second tour, sont d'une similarité évidente.
L'on ne peut affirmer que le premier tour a été d'une transparence exemplaire et affirmer le contraire lorsque les chiffres parlent d'eux-mêmes.
Dans un souci d'apaisement les Forces Nouvelles lancent un appel à La majorité présidentielle (LMP) d'arrêter de stigmatiser le Nord et toutes les populations ivoiriennes qui n'ont fait qu'accomplir leur devoir civique.
Les Forces Nouvelles demandent aux populations des zones Centre, Nord et Ouest de garder leur sérénité et d'être fières d'avoir accompli leur devoir démocratique dans la dignité qui les a toujours caractérisés.
En tout état de cause, les Forces Nouvelles considèrent que c'est à la Commission Électorale Indépendante en première analyse et au Conseil Constitutionnel en seconde analyse, qu'il revient de se prononcer sur la sincérité du scrutin.
Enfin, les Forces Nouvelles demandent à la Commission Électorale Indépendante de retirer l'accréditation à ces vautours, prébendiers sans éthique, ni morale, pompeusement appelés observateurs, dont la capacité manifeste de nuisance peut embraser un pays en quête de stabilité.
Fait à Bouaké, le 01 décembre 2010
Pour les Forces nouvelles
La Porte parole
Me Affoussy BAMBA
Ces trois (3) missions d'observation, bien curieusement, ont repris en cœur les graves accusations portées contre les Forces Nouvelles par La majorité présidentielle (LMP).
Visiblement, la manœuvre est non seulement de corroborer ces accusations infondées, mais de servir de preuves à l'intention manifeste de La majorité présidentielle (LMP) d'obtenir l'invalidation par le Conseil Constitutionnel du vote des zones Centre, Nord et Ouest.
Alors que les organisations agréés, de réputation, mondialement reconnues, telles que l'Union Africaine, la CEDEAO, l'Union européenne, le Centre Carter et bien d'autres, ont toutes été unanimes sur l'aspect démocratique de l'élection du second tour qui s'est déroulé sur l'ensemble du territoire national, et en particulier dans les zones Centre, Nord et Ouest, ces prétendus observateurs africains, parmi lesquels l'on a pu identifier un Marocain vendeur de pantalons jeans à Treichville, devenu subitement expert électoral, ont choisi la complaisance, la félonie, la déclamation et la polémique stérile.
Cette attitude remplit les Forces Nouvelles de honte, d'autant plus que ces frères africains auraient pu se distinguer par la dignité qui caractérise l'homme africain.
Dans cette multitude de missions d'observation, faut-il-être d'une mauvaise foi caractérisée pour être seul à voir des bourrages d'urnes et autres irrégularités dans les zones Centre, Nord et Ouest ?
Il n'échappe pas aux Forces Nouvelles que Dame N'DIEGUENE Seynabou a été reçue en audience privée à Korhogo par Monsieur Laurent Dona FOLOGO du 26 au 30 novembre, pour convenir des termes du contenu de ces déclarations.
Rien que la similitude des termes et des phrases de ces communiqués avec celui de La majorité présidentielle suffirait à convaincre tous les sceptiques.
Les Forces Nouvelles se souviennent que cette dame a été utilisée pour lire une déclaration à la RTI lors de l'incident diplomatique survenu entre Messieurs WADE et Laurent GBAGBO, arguant qu'elle vit en Côte d'Ivoire et porte-parole de la communauté sénégalaise, dans le même temps qu'elle prétend vivre au Sénégal. Quel activisme !!
Quant au sieur Jean Marie N'gondji BAGANGTE, il faut savoir qu'il a vécu pendant plus de dix (10) ans au Burkina Faso, avant d'en être expulsé pour usage de faux visa.
S'agissant de COMPAORE Seydou, il a eu des démêlés avec la justice du Burkina Faso pour émission de chèques sans provisions.
Les Forces Nouvelles tiennent à porter à la connaissance des Ivoiriennes, des Ivoiriens, des amis et habitants de la Côte d'Ivoire que ces trois (3) personnes ont travaillé dans l'équipe de campagne du candidat de La majorité présidentielle, que Madame N'DIEGUENE Seynabou a été logée à l'hôtel " Mont Korhogo " à la " chambre 30 " pour le compte de La majorité présidentielle et que le véhicule qui la transportait pendant tout son séjour à Korhogo, est celui du neveu du Dr Issa Malick Coulibaly, Monsieur Koné Moussa.
Tel est le profil de ces personnes de petite vertu, plus proches des chasseurs de prime que des observateurs d'élections.
Leurs parcours abjects sont sus de tout le monde et c'est sans surprise que leurs collègues des autres missions les ont vu à la télé lire leurs déclarations.
Les Forces Nouvelles tiennent à informer l'opinion nationale et internationale que malgré les incidents qui ont pu survenir au Nord, l'on notera qu'il n'y a eu ni mort, ni blessé grave dans cette région du pays. Elles auraient souhaité pouvoir en dire autant pour le reste de la Côte d'Ivoire.
Ces soi-disant observateurs, par souci de crédibilité, aurait pu noter qu'on déplore dans les zones forestières et au Sud au moins vingt (20) morts et avoir du respect et de la considération pour la mémoire de ces innocentes victimes, de la bêtise humaine.
Pour peu que ces prétendus observateurs aient été perspicaces, ils auraient pu relever que les différents scores réalisés au premier tour et ceux du second tour, sont d'une similarité évidente.
L'on ne peut affirmer que le premier tour a été d'une transparence exemplaire et affirmer le contraire lorsque les chiffres parlent d'eux-mêmes.
Dans un souci d'apaisement les Forces Nouvelles lancent un appel à La majorité présidentielle (LMP) d'arrêter de stigmatiser le Nord et toutes les populations ivoiriennes qui n'ont fait qu'accomplir leur devoir civique.
Les Forces Nouvelles demandent aux populations des zones Centre, Nord et Ouest de garder leur sérénité et d'être fières d'avoir accompli leur devoir démocratique dans la dignité qui les a toujours caractérisés.
En tout état de cause, les Forces Nouvelles considèrent que c'est à la Commission Électorale Indépendante en première analyse et au Conseil Constitutionnel en seconde analyse, qu'il revient de se prononcer sur la sincérité du scrutin.
Enfin, les Forces Nouvelles demandent à la Commission Électorale Indépendante de retirer l'accréditation à ces vautours, prébendiers sans éthique, ni morale, pompeusement appelés observateurs, dont la capacité manifeste de nuisance peut embraser un pays en quête de stabilité.
Fait à Bouaké, le 01 décembre 2010
Pour les Forces nouvelles
La Porte parole
Me Affoussy BAMBA