« LMP n’est aucunement engagée dans une logique de confiscation du pouvoir mais se battra jusqu’au bout contre toute tentative d’usurpation du pouvoir ». Le propos est de Pascal Affi N'guessan, porte-parole du candidat de La Majorité présidentielle. Il a annoncé, hier, en conférence de presse à son domicile de la Riviera, que son camp se préparait à déposer le même jour une requête en annulation des résultats du second tour dans les zones centre, nord et ouest sous contrôle de l'ex-rébellion. Affi a précisé que la requête serait déposée auprès du Conseil constitutionnel et de la Commission électorale indépendante pour que les résultats dans les zones Cno soient invalidés, notamment ceux enregistrés dans les régions du Worodougou, du Denguélé, des Savanes et de la Vallée du Bandama. Lmp n'est pas dans une logique de se maintenir coûte que coûte au pouvoir, a expliqué Affi. A l'endroit de Bamba Yacouba, porte-parole
de la Cei, il a signifié qu'il ne saurait proclamer des résultats sans que ceux-ci n'aient été consolidés par la commission centrale.
Également, Affi N’guessan a indiqué que la mission d’observation électorale de l’Union européenne accréditée en Côte d’Ivoire n’avait rien vu de tout ce qui s’est passé comme incidents en zones sous contrôle de l’ex-rébellion. « L’Union européenne n’a pas tout vu », a déclaré le porte-parole du candidat Laurent Gbagbo.
Il a fustigé un scrutin « à double vitesse » avec une élection démocratique en zone gouvernementale et un vote avec « assez de violence » en zones forces nouvelles.
Au quartier général du président sortant à Attoban, militants et sympathisants affichaient , hier; une relative sérénité. Sans information officielle, l'ambiance était à la prudence; surtout à l'attente du résultat d'un scrutin historique.
Kisselminan COULIBALY
de la Cei, il a signifié qu'il ne saurait proclamer des résultats sans que ceux-ci n'aient été consolidés par la commission centrale.
Également, Affi N’guessan a indiqué que la mission d’observation électorale de l’Union européenne accréditée en Côte d’Ivoire n’avait rien vu de tout ce qui s’est passé comme incidents en zones sous contrôle de l’ex-rébellion. « L’Union européenne n’a pas tout vu », a déclaré le porte-parole du candidat Laurent Gbagbo.
Il a fustigé un scrutin « à double vitesse » avec une élection démocratique en zone gouvernementale et un vote avec « assez de violence » en zones forces nouvelles.
Au quartier général du président sortant à Attoban, militants et sympathisants affichaient , hier; une relative sérénité. Sans information officielle, l'ambiance était à la prudence; surtout à l'attente du résultat d'un scrutin historique.
Kisselminan COULIBALY