La Haute commissaire aux droits de l`homme de
l`ONU, Navi Pillay a exhorté les deux candidats de la présidentielle en Côte
d`Ivoire à s`abstenir de toute déclaration d`hostilité, avertissant qu`ils
pourraient être tenus pour responsables pour toute violence commise en leur
nom.
"Le retard pris dans l`annonce des résultats a augmenté la peur et
l`incertitude parmi la population ivoirienne", déclaré Mme Pillay, citée dans
un communiqué publié mercredi soir à Genève.
"Les déclarations politiques radicales ont créé un environnement qui risque
de stimuler la violence à travers le pays alors que dans certaines régions,
elles sont déjà la cause principale d`affrontements intercommunautaires",
a-t-elle poursuivi.
En raison du climat qui règne en Côte d`Ivoire, il est impératif que les
deux candidats "s`abstiennent de faire des déclarations qui incitent à la
violence" et évitent "tout autre action qui pourrait priver la population
ivoirienne de ses droits démocratiques", a souligné Mme Pillay.
Les candidats "pourraient être tenu pour responsables pour toute violence
commise en leur nom", a-t-elle prévenu, les pressant de ne pas oublier "les
conséquences directes de leurs mots ou actions sur leurs sympathisants".
Mme Pillay s`exprimait peu après le secrétaire général de l`ONU Ban Ki-moon
qui a réclamé mercredi soir la publication "sans délai" des résultats de
l`élection présidentielle en Côte d`Ivoire, après l`expiration des délais
fixés.
La Côte d`Ivoire ignorait toujours jeudi le nom de son futur chef d`Etat à
l`expiration, mercredi à 00H00 GMT, du délai légal pour l`annonce des
résultats du second tour de la présidentielle de dimanche, entre le sortant
Laurent Gbagbo et l`opposant Alassane Ouattara.
l`ONU, Navi Pillay a exhorté les deux candidats de la présidentielle en Côte
d`Ivoire à s`abstenir de toute déclaration d`hostilité, avertissant qu`ils
pourraient être tenus pour responsables pour toute violence commise en leur
nom.
"Le retard pris dans l`annonce des résultats a augmenté la peur et
l`incertitude parmi la population ivoirienne", déclaré Mme Pillay, citée dans
un communiqué publié mercredi soir à Genève.
"Les déclarations politiques radicales ont créé un environnement qui risque
de stimuler la violence à travers le pays alors que dans certaines régions,
elles sont déjà la cause principale d`affrontements intercommunautaires",
a-t-elle poursuivi.
En raison du climat qui règne en Côte d`Ivoire, il est impératif que les
deux candidats "s`abstiennent de faire des déclarations qui incitent à la
violence" et évitent "tout autre action qui pourrait priver la population
ivoirienne de ses droits démocratiques", a souligné Mme Pillay.
Les candidats "pourraient être tenu pour responsables pour toute violence
commise en leur nom", a-t-elle prévenu, les pressant de ne pas oublier "les
conséquences directes de leurs mots ou actions sur leurs sympathisants".
Mme Pillay s`exprimait peu après le secrétaire général de l`ONU Ban Ki-moon
qui a réclamé mercredi soir la publication "sans délai" des résultats de
l`élection présidentielle en Côte d`Ivoire, après l`expiration des délais
fixés.
La Côte d`Ivoire ignorait toujours jeudi le nom de son futur chef d`Etat à
l`expiration, mercredi à 00H00 GMT, du délai légal pour l`annonce des
résultats du second tour de la présidentielle de dimanche, entre le sortant
Laurent Gbagbo et l`opposant Alassane Ouattara.