Tout comme leurs frères d’armes Fds-ci déployés en zone Cno, les éléments FaFn, venus en appui au Sud pour la sécurisation des élections, ont rejoint leur base. « C’est à la demande des deux états-majors », a précisé le général Kouakou Nicolas, commandant du Centre de commandement intégré (Cci). En charge, entre autres missions, de la sécurisation du processus électoral.
Les soldats qui étaient déployés sur toute la ‘’zone gouvernementale’’ ont d’abord été convoyés par vagues successives au siège du Cci à Yamoussoukro. Et c’est dans la nuit du mardi au mercredi que les derniers éléments ont quitté la devanture du Cci. Mettant fin à 3 jours d’animation. Car, les vendeuses de toutes sortes avaient commencé à squatter les abords du siège pour satisfaire ces clients occasionnels. Certains prenaient leur déjeuner dans un kiosque du sous-quartier Yirikoro de Dioulabougou. Où ils devissaient tranquillement avec leurs hôtes de quelques minutes. Alors que d’autres préféraient les abords de la gare routière, où se vendent toutes sortes de nourriture.
Quant à la population, elle ne comprend pas cette décision des 2 Cema, surtout que le processus électoral n’est pas terminé. « Ils auraient dû rester jusqu’à la fin, se familiariser avec leurs frères d’armes. Ce qui faciliterait la création de l’armée nouvelle », commente Coulibaly Ibrahim, un habitant de Yirikro
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
Les soldats qui étaient déployés sur toute la ‘’zone gouvernementale’’ ont d’abord été convoyés par vagues successives au siège du Cci à Yamoussoukro. Et c’est dans la nuit du mardi au mercredi que les derniers éléments ont quitté la devanture du Cci. Mettant fin à 3 jours d’animation. Car, les vendeuses de toutes sortes avaient commencé à squatter les abords du siège pour satisfaire ces clients occasionnels. Certains prenaient leur déjeuner dans un kiosque du sous-quartier Yirikoro de Dioulabougou. Où ils devissaient tranquillement avec leurs hôtes de quelques minutes. Alors que d’autres préféraient les abords de la gare routière, où se vendent toutes sortes de nourriture.
Quant à la population, elle ne comprend pas cette décision des 2 Cema, surtout que le processus électoral n’est pas terminé. « Ils auraient dû rester jusqu’à la fin, se familiariser avec leurs frères d’armes. Ce qui faciliterait la création de l’armée nouvelle », commente Coulibaly Ibrahim, un habitant de Yirikro
Ousmane Diallo à Yamoussoukro