GENÈVE - La Haut-commissaire aux droits de l`homme, Navi Pillay, a exprimé sa profonde inquiétude mercredi soir suite à la détérioration de la situation générale en Côte d`Ivoire en raison du retard dans l`annonce des résultats provisoires des élections présidentielles. Elle a mis en garde les deux candidats à la présidence qu`ils seront tenus responsables des actes de violence commis par leurs partisans.
"Le retard dans l`annonce des résultats a accru la peur et l`incertitude du peuple ivoirien", a déclaré Mme Pillay. "Les déclarations politiques radicales ont créé un environnement qui risque d’inciter la violence à travers le pays. Dans certaines régions, celle-ci semble déjà être à l’origine d’affrontements intercommunautaires."
Mme Pillay a déclaré que, au vu de la situation tendue, il est impératif que les deux candidats et leurs partisans "s`abstiennent de tenir des déclarations qui incitent à la violence, et de toute action visant à priver le peuple de Côte d`Ivoire de leur droit à la démocratie."
La Haut Commissaire a exhorté les deux candidats à la présidentielle et d`autres dirigeants politiques "à garder à l`esprit l`impact direct de leurs paroles et de leurs actions sur leurs partisans" et a averti "qu`ils peuvent être tenus pour responsables pour tout acte de violence commis en leurs noms."
Elle a ajouté que son bureau allait continuer à surveiller étroitement la situation post-électorale en Côte d`Ivoire.
"Le retard dans l`annonce des résultats a accru la peur et l`incertitude du peuple ivoirien", a déclaré Mme Pillay. "Les déclarations politiques radicales ont créé un environnement qui risque d’inciter la violence à travers le pays. Dans certaines régions, celle-ci semble déjà être à l’origine d’affrontements intercommunautaires."
Mme Pillay a déclaré que, au vu de la situation tendue, il est impératif que les deux candidats et leurs partisans "s`abstiennent de tenir des déclarations qui incitent à la violence, et de toute action visant à priver le peuple de Côte d`Ivoire de leur droit à la démocratie."
La Haut Commissaire a exhorté les deux candidats à la présidentielle et d`autres dirigeants politiques "à garder à l`esprit l`impact direct de leurs paroles et de leurs actions sur leurs partisans" et a averti "qu`ils peuvent être tenus pour responsables pour tout acte de violence commis en leurs noms."
Elle a ajouté que son bureau allait continuer à surveiller étroitement la situation post-électorale en Côte d`Ivoire.