Ça y est. Après plus de trois jours d'attente, d'angoisse, de stress et d'incertitudes, les Ivoiriens sont situés sur le nom de leur nouveau Président de la
République. Le cinquième (5ème) Président de la République. Il se nomme Docteur Alassane Ouattara, candidat du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP). Il l'a emporté devant Gbagbo Laurent, candidat de La majorité présidentielle (Lmp), à l'issue du second tour de la présidentielle, avec 54,10% des voix.
Selon la Commission électorale indépendante dont le président Youssouf Bakayoko a donné les résultats hier, le tableau est comme suit : inscrits 5 725 721 ; votants : 4 689 366, soit un taux de participation de 81, 09%. Bulletins nuls : 98 026. Suffrages exprimés : 4 470 219. Ont obtenu : Gbagbo Laurent 2 107 055 soit 45,90%. Alassane Ouattara, 2 483 164 soit 54,10%. Est donc déclaré vainqueur de la présidentielle 2010, le candidat Alassane Ouattara. La proclamation est intervenue hier au moment où le président du Conseil Constitutionnel, Yao N’dré, rebondissait sur ce qu'il a vu comme l'incapacité de la Cei à donner les résultats dans le délai de trois jours, et qu'il se donnait 7 jours pour annoncer les résultats définitifs. Il a aussi été saisi par le parti de Gbagbo Laurent qui demande l'annulation des résultats dans toutes les régions du Nord où Ouattara a écrasé le candidat de Lmp. La proclamation des résultats vient mettre fin à plus de huit ans d'attente, de crise militaro-politique et surtout de course derrière une légalité démocratique. Du moins, c'est ce qu'on espère. Les fils d'Houphouët-Boigny, sous la houlette du Président Henri Konan Bédié, retrouvent ainsi la tête du pays et doivent dans le cadre d'un programme commun de gouvernement, remettre le pays sur les rails le plus rapidement possible. Après la proclamation des résultats, la communauté internationale a immédiatement envoyé, hier, un message fort et ferme à Laurent Gbagbo, pour lui signifier que quiconque de ses partisans, sortira dans les rues pour s'en prendre aux populations, à d'autres habitants du pays, aux journalistes et aux Institutions, aux biens privés et publics, sera traduit directement devant le Tribunal Pénal international (TPI).
OUATTARA CHERIF
République. Le cinquième (5ème) Président de la République. Il se nomme Docteur Alassane Ouattara, candidat du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP). Il l'a emporté devant Gbagbo Laurent, candidat de La majorité présidentielle (Lmp), à l'issue du second tour de la présidentielle, avec 54,10% des voix.
Selon la Commission électorale indépendante dont le président Youssouf Bakayoko a donné les résultats hier, le tableau est comme suit : inscrits 5 725 721 ; votants : 4 689 366, soit un taux de participation de 81, 09%. Bulletins nuls : 98 026. Suffrages exprimés : 4 470 219. Ont obtenu : Gbagbo Laurent 2 107 055 soit 45,90%. Alassane Ouattara, 2 483 164 soit 54,10%. Est donc déclaré vainqueur de la présidentielle 2010, le candidat Alassane Ouattara. La proclamation est intervenue hier au moment où le président du Conseil Constitutionnel, Yao N’dré, rebondissait sur ce qu'il a vu comme l'incapacité de la Cei à donner les résultats dans le délai de trois jours, et qu'il se donnait 7 jours pour annoncer les résultats définitifs. Il a aussi été saisi par le parti de Gbagbo Laurent qui demande l'annulation des résultats dans toutes les régions du Nord où Ouattara a écrasé le candidat de Lmp. La proclamation des résultats vient mettre fin à plus de huit ans d'attente, de crise militaro-politique et surtout de course derrière une légalité démocratique. Du moins, c'est ce qu'on espère. Les fils d'Houphouët-Boigny, sous la houlette du Président Henri Konan Bédié, retrouvent ainsi la tête du pays et doivent dans le cadre d'un programme commun de gouvernement, remettre le pays sur les rails le plus rapidement possible. Après la proclamation des résultats, la communauté internationale a immédiatement envoyé, hier, un message fort et ferme à Laurent Gbagbo, pour lui signifier que quiconque de ses partisans, sortira dans les rues pour s'en prendre aux populations, à d'autres habitants du pays, aux journalistes et aux Institutions, aux biens privés et publics, sera traduit directement devant le Tribunal Pénal international (TPI).
OUATTARA CHERIF