Des rumeurs plus ou moins fondées d’attaques de certaines communautés dans le centre ouest ivoirien précisément à Daloa, Gagnoa et Issia ont amené plusieurs jeunes dans de nombreux villages à se constituer en comités d’autodéfenses. À l’aide de fusils de chasse et d’objets contondants, ils patrouillent les nuits jusqu’au petit matin pour protéger leurs parents contre des agressions.
Société Publié le samedi 4 décembre 2010 | L’intelligent d’Abidjan