Atroce mort que celle connue par le sergent-chef de police Atthos Komon Sylvain, en service à la Direction de la police criminelle ( Ex-Pj), au Plateau. Son corps sans vie, dans un état atroce, a été découvert à Williamsville, au carrefour menant à la zone de la société de ramassage d’ordures « H ». C’était le samedi dernier 4 décembre. Pour ce qui nous est rapporté comme information, il ressort, en effet, que dans la soirée de la veille, soit le vendredi dernier 3 décembre, le sergent-chef Atthos Komon Sylvain, à bord de son véhicule, revient de la chaude cité de Yopougon. Il rentre donc à présent à son domicile sis à la cité policière d’Abobo. Bien malheureusement, il n’arrivera pas à destination. Son parcours va prendre définitivement et tragiquement fin à mi-chemin. De fait, avancent toujours nos sources, alors qu’il parvient au carrefour cité plus haut, l’élément de la Direction de la police criminelle
tombe sur une horde de jeunes gens fortement excités. Ces individus, munis de couteaux, de machettes, de gourdins et d’armes à feu pour certains, soutiennent des témoins, ne donnent aucune chance au policier de les contourner. Qui sont-ils, d’où viennent-ils et que veulent-ils ? Ignorant pour sa part tout du danger auquel il est à ce moment là exposé, le sergent-chef Atthos Komon croit bien faire de mettre pied à terre pour s’enquérir de la situation. A cet instant, les quidams, armes en avant, foncent sur lui. Ils déboulent de partout. Le flic comprend à présent tout. Les renseignements notent qu’il sort son arme à feu dans le but de libérer des tirs de sommation. Il n’en aura pas le temps. Depuis la foule, claque un coup de feu. Le policier atteint de plein fouet du côté gauche de son thorax, s’affaisse. Alors qu’il est agonisant, les individus qui ont tiré, s’acharnent sur lui. A l’aide de machettes dont ils font
abattre plusieurs coups sur le sergent-chef, ils tailladent affreusement le malheureux. Son dos, sa poitrine, ses jambes, ses bras et son crâne sont trucidés. Et le coup de grâce est porté au sergent-chef avec un énorme objet contondant qui lui brise le crâne. Alors qu’il est mort, la horde humaine se rue sur sa voiture et la caillassent. Mais avant, ces excités, au sein desquels des voleurs, prennent soin d’en soustraire d’importants accessoires. C’est ensuite poussant des cris guerriers, que les tueurs, les armes brandies dans les airs, décampent des lieux. Ils ont aussi avec eux, l’arme de dotation de l’agent de police. C’est donc le matin, qu’une découverte de cadavre est signalée par un tiers aux agents des forces de l’ordre. Et lorsque des éléments de la Direction de la police criminelle s’y déportent pour le constat d’usage, c’est avec une réelle tristesse, qu’ils identifient parfaitement leur collègue
Atthos Komon Sylvain. Le corps sans vie a été enlevé pour sa conservation à la morgue. Une enquête est minutieusement menée, en ce moment même, pour identifier et arrêter les auteurs du crime écœurant.
KIKIE Ahou Nazaire
tombe sur une horde de jeunes gens fortement excités. Ces individus, munis de couteaux, de machettes, de gourdins et d’armes à feu pour certains, soutiennent des témoins, ne donnent aucune chance au policier de les contourner. Qui sont-ils, d’où viennent-ils et que veulent-ils ? Ignorant pour sa part tout du danger auquel il est à ce moment là exposé, le sergent-chef Atthos Komon croit bien faire de mettre pied à terre pour s’enquérir de la situation. A cet instant, les quidams, armes en avant, foncent sur lui. Ils déboulent de partout. Le flic comprend à présent tout. Les renseignements notent qu’il sort son arme à feu dans le but de libérer des tirs de sommation. Il n’en aura pas le temps. Depuis la foule, claque un coup de feu. Le policier atteint de plein fouet du côté gauche de son thorax, s’affaisse. Alors qu’il est agonisant, les individus qui ont tiré, s’acharnent sur lui. A l’aide de machettes dont ils font
abattre plusieurs coups sur le sergent-chef, ils tailladent affreusement le malheureux. Son dos, sa poitrine, ses jambes, ses bras et son crâne sont trucidés. Et le coup de grâce est porté au sergent-chef avec un énorme objet contondant qui lui brise le crâne. Alors qu’il est mort, la horde humaine se rue sur sa voiture et la caillassent. Mais avant, ces excités, au sein desquels des voleurs, prennent soin d’en soustraire d’importants accessoires. C’est ensuite poussant des cris guerriers, que les tueurs, les armes brandies dans les airs, décampent des lieux. Ils ont aussi avec eux, l’arme de dotation de l’agent de police. C’est donc le matin, qu’une découverte de cadavre est signalée par un tiers aux agents des forces de l’ordre. Et lorsque des éléments de la Direction de la police criminelle s’y déportent pour le constat d’usage, c’est avec une réelle tristesse, qu’ils identifient parfaitement leur collègue
Atthos Komon Sylvain. Le corps sans vie a été enlevé pour sa conservation à la morgue. Une enquête est minutieusement menée, en ce moment même, pour identifier et arrêter les auteurs du crime écœurant.
KIKIE Ahou Nazaire