En aidant Laurent Gbagbo à s’accrocher au pouvoir, malgré sa défaite à l’élection présidentielle face au candidat Alassane Ouattara, des officiers supérieurs de l’Armée ivoirienne n’honorent guère la Côte d’Ivoire. C’est le constat fait, hier à la Rue Lepic (Cocody), par la jeunesse du Rassemblement des républicains (RDR). C’était à l’issue d’une Assemblée générale extraordinaire, ayant réunie la direction et les différents responsables locaux du RJR. Pour le président Karamoko Yayoro et ses camarades, les Forces de défenses et de sécurité de Côte d’Ivoire ont désormais le devoir de se ranger derrière le nouveau président de la République de Côte d’Ivoire, SE M. Alassane Ouattara. Car, note la jeunesse du RDR, c’est bien le candidat du RHDP qui incarne la légalité et la légitimité, parce qu’élu par la grande majorité des Ivoiriens lors du second tour du 28 novembre dernier. « Raison pour laquelle nous demandons à ces Généraux et officiers supérieurs de se ressaisir et d’être plutôt du côté de la vraie République reconnue par la grande majorité des Ivoiriens et par toute la Communauté internationale », a prévenu le président du RJR. Avant de qualifier le comportement actuel de Laurent Gbagbo et le FPI de « braquage des Institutions de la République par une minorité d’individus ».
L’Assemblée générale du RJR, a-t-il indiqué, a également analysé dans l’ensemble la situation sociopolitique actuelle. Notamment, la question d’insécurité qui règne dans le pays depuis quelques jours. Surtout avec les tueries et autres violences exercées par le régime sortant de Laurent Gbagbo sur les militants et sympathisants du RHDP. « Que les auteurs de ces actes sachent qu’ils seront poursuivis. Et malgré toutes ces exactions, Laurent Gbagbo et les siens doivent comprendre qu’il s’agit là d’actions sans issue. Car le combat pour la démocratie est bel et bien lancé de façon définitive », a insisté le président Yayoro.
Diawara Samou
L’Assemblée générale du RJR, a-t-il indiqué, a également analysé dans l’ensemble la situation sociopolitique actuelle. Notamment, la question d’insécurité qui règne dans le pays depuis quelques jours. Surtout avec les tueries et autres violences exercées par le régime sortant de Laurent Gbagbo sur les militants et sympathisants du RHDP. « Que les auteurs de ces actes sachent qu’ils seront poursuivis. Et malgré toutes ces exactions, Laurent Gbagbo et les siens doivent comprendre qu’il s’agit là d’actions sans issue. Car le combat pour la démocratie est bel et bien lancé de façon définitive », a insisté le président Yayoro.
Diawara Samou
