L’Académie américaine de neurologie est formelle : un sportif victime d’un choc à la tête devrait systématiquement être évacué du terrain de jeu. Et ne plus y revenir… du moins, pas avant d’avoir été examiné par un médecin spécialisé dans la prise en charge de ce type de traumatisme !
Bien sûr, la majorité de ces accidents reste sans gravité. Parfois pourtant, les conséquences peuvent en être dramatiques. Sans compter que sur le moment, il est impossible d’évaluer les effets à long terme de ces commotions cérébrales. Ce sont des traumatismes crâniens, et aucun traumatisme crânien n’est bénin. Ils sont en effet susceptibles d’engendrer des troubles fonctionnels tels qu’une perte de conscience ou des vertiges…
Les neurologues insistent donc sur le fait « qu’aucun sportif ne devrait revenir sur le terrain avant d’avoir consulté un médecin spécialiste ». A fortiori s’il présente des symptômes évocateurs comme une confusion mentale, des vertiges, des troubles de la mémoire ou des maux de tête. Et cela, quelle que soit la discipline pratiquée.
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Bien sûr, la majorité de ces accidents reste sans gravité. Parfois pourtant, les conséquences peuvent en être dramatiques. Sans compter que sur le moment, il est impossible d’évaluer les effets à long terme de ces commotions cérébrales. Ce sont des traumatismes crâniens, et aucun traumatisme crânien n’est bénin. Ils sont en effet susceptibles d’engendrer des troubles fonctionnels tels qu’une perte de conscience ou des vertiges…
Les neurologues insistent donc sur le fait « qu’aucun sportif ne devrait revenir sur le terrain avant d’avoir consulté un médecin spécialiste ». A fortiori s’il présente des symptômes évocateurs comme une confusion mentale, des vertiges, des troubles de la mémoire ou des maux de tête. Et cela, quelle que soit la discipline pratiquée.
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