Comment la France a mis fin aux hostilités entre FDS et FAFN
De sources concordantes, un diplomate occidental a eu une rencontre le Jeudi en début de soirée à l’hôtel Pullman avec un ministre du gouvernement Aké N’GBO. Alors que les FDS intensifiaient leur assaut contre l’hôtel du golf et que les casques bleus partaient renforcer leurs positions dans la zone pour protéger Ouattara et les siens, le diplomate aurait clairement fait savoir au ministre que si les FDS vont plus loin dans leur offensive sur l’hôtel du Golf, la France se verrait dans l’obligation d’agir. C’est ainsi qu’à la surprise générale des Forces nouvelles, qui essuyaient les tirs nourris des FDS, les éléments de Philippe Mangou ont cessé le feu, et arrêté l’attaque. En face les même recommandations auraient été faites aux Forces nouvelles, qui ont dû mettre fin à leurs tentatives de prendre d’autres villes du pays, au Centre et à l’Ouest. C’est ainsi que les combats ont cessé au niveau de Tiebissou, Duekoué et d’autres villes de l’Ouest. Paris n’a pas voulu d’un embrassement généralisé qui aurait compliqué les choses, et a appelé les belligérants à la retenue.
De sources concordantes, un diplomate occidental a eu une rencontre le Jeudi en début de soirée à l’hôtel Pullman avec un ministre du gouvernement Aké N’GBO. Alors que les FDS intensifiaient leur assaut contre l’hôtel du golf et que les casques bleus partaient renforcer leurs positions dans la zone pour protéger Ouattara et les siens, le diplomate aurait clairement fait savoir au ministre que si les FDS vont plus loin dans leur offensive sur l’hôtel du Golf, la France se verrait dans l’obligation d’agir. C’est ainsi qu’à la surprise générale des Forces nouvelles, qui essuyaient les tirs nourris des FDS, les éléments de Philippe Mangou ont cessé le feu, et arrêté l’attaque. En face les même recommandations auraient été faites aux Forces nouvelles, qui ont dû mettre fin à leurs tentatives de prendre d’autres villes du pays, au Centre et à l’Ouest. C’est ainsi que les combats ont cessé au niveau de Tiebissou, Duekoué et d’autres villes de l’Ouest. Paris n’a pas voulu d’un embrassement généralisé qui aurait compliqué les choses, et a appelé les belligérants à la retenue.