Que se passe-t-il au Burida ? Un groupe d'employés prévient que "la maison" se porte mal. Ces derniers dénoncent également les prises de positions politiques du Pca. Ci-dessous son courrier.
C'est un secret de polichinelle. Le Burida va mal. Très mal même. Il semblerait que les salaires des agents n'y sont plus perçus depuis octobre 2010. En même temps, le PCA GADJI CELI et son DG MICHEL BAROUAN se "tapent" la bagatelle de 10 000 000 mensuels.
On se croyait en pleine traite négrière.
Des informateurs anonymes se mordent les doigts. Illusions perdues!! Les fêtes de fin d'année pourraient être un cauchemar pour les employés. Croisons les doigts pour que le miracle se produise.
Il faut dissoudre le Burida pour en faire une société véritable de droit d'auteur, version M. le MINISTRE ZADI ZAOUROU impliquant les droits voisins de la loi de 1996, non promulguée. Cela nous éviterait de voir ces spectacles insipides auxquels nous assistons ces derniers temps. Un DG, qui soutient un candidat ouvertement sachant que le Burida regroupe toutes les sensibilités politiques, va même jusqu'à son investiture. Il faut souhaiter que dès la normalité retrouvée, qu'il démissionne. On ne peut pas servir deux maîtres en même temps. On haïra forcément l'un et on aimera l'autre. Il a déjà prouvé qu'il aime l'autre, donc ça coule de source, la démission.
Mais que s'est-il passé pour que le Burida soit en cessation de paiement?
Le DG avait promis 100 millions mois comme entrée financière dès sa prise de fonction .Mais peut-être est-il occupé à autre chose? Vivement que cet imbroglio politique prenne fin, pour que les créateurs dont nous plaignons le sort en les voyant défiler ici au Burida se retrouvent, eux qui peinent déjà à trouver des" gombos" pendant les fêtes de fin d'année qui sont leurs traites.
Un groupe d'artistes musiciens sociétaires du Burida
C'est un secret de polichinelle. Le Burida va mal. Très mal même. Il semblerait que les salaires des agents n'y sont plus perçus depuis octobre 2010. En même temps, le PCA GADJI CELI et son DG MICHEL BAROUAN se "tapent" la bagatelle de 10 000 000 mensuels.
On se croyait en pleine traite négrière.
Des informateurs anonymes se mordent les doigts. Illusions perdues!! Les fêtes de fin d'année pourraient être un cauchemar pour les employés. Croisons les doigts pour que le miracle se produise.
Il faut dissoudre le Burida pour en faire une société véritable de droit d'auteur, version M. le MINISTRE ZADI ZAOUROU impliquant les droits voisins de la loi de 1996, non promulguée. Cela nous éviterait de voir ces spectacles insipides auxquels nous assistons ces derniers temps. Un DG, qui soutient un candidat ouvertement sachant que le Burida regroupe toutes les sensibilités politiques, va même jusqu'à son investiture. Il faut souhaiter que dès la normalité retrouvée, qu'il démissionne. On ne peut pas servir deux maîtres en même temps. On haïra forcément l'un et on aimera l'autre. Il a déjà prouvé qu'il aime l'autre, donc ça coule de source, la démission.
Mais que s'est-il passé pour que le Burida soit en cessation de paiement?
Le DG avait promis 100 millions mois comme entrée financière dès sa prise de fonction .Mais peut-être est-il occupé à autre chose? Vivement que cet imbroglio politique prenne fin, pour que les créateurs dont nous plaignons le sort en les voyant défiler ici au Burida se retrouvent, eux qui peinent déjà à trouver des" gombos" pendant les fêtes de fin d'année qui sont leurs traites.
Un groupe d'artistes musiciens sociétaires du Burida