La mise au monde d’un enfant n’est pas un événement anodin. Quelques larmes et un sentiment de fatigue intense dans les jours qui suivent votre accouchement ne doivent donc pas inquiéter. En revanche, si cet état persiste, n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
Le Baby Blues autrement appelé post-partum blues ou encore syndrome du 3e jour, est ressenti par les trois quarts environ des femmes, lors de leur premier accouchement. Il se manifeste généralement entre le deuxième et le quatrième jour après la mise au monde. C’est tout simplement le témoignage de tout le travail de la grossesse, la conséquence du passage de l’état de femme à celui de mère.
Instabilité émotionnelle, larmes faciles, troubles du sommeil, irritabilité ou anxiété sont autant de symptômes qui ont une origine à la fois hormonale et psychique. La réponse à ce Baby blues ne doit surtout pas être médicale. Appuyez-vous sur votre entourage familial et sur sa chaleur affective. Mais si les symptômes d’un Baby blues se poursuivent au-delà de deux ou trois jours, n’hésitez pas à consulter votre médecin.
La dépression post-partum en revanche, est un état pathologique. Elle survient dans le mois (ou les mois) qui suivent l’accouchement. Et elle dure. Environ 10% à 15% des mamans en souffrent. La femme présente un tableau de symptômes dépressifs bien définis. Un sentiment d’incapacité général, des idées noires, une dévalorisation personnelle…
La dépression s’installe dans le temps et les conséquences sur le nourrisson en sont d’autant plus graves. N’oublions pas que la mère a le droit d’aller mal. Et le corps médical, tout comme l’entourage, doivent se préoccuper de son état tout autant que de celui de l’enfant.
www.destinationsante.com
Le Baby Blues autrement appelé post-partum blues ou encore syndrome du 3e jour, est ressenti par les trois quarts environ des femmes, lors de leur premier accouchement. Il se manifeste généralement entre le deuxième et le quatrième jour après la mise au monde. C’est tout simplement le témoignage de tout le travail de la grossesse, la conséquence du passage de l’état de femme à celui de mère.
Instabilité émotionnelle, larmes faciles, troubles du sommeil, irritabilité ou anxiété sont autant de symptômes qui ont une origine à la fois hormonale et psychique. La réponse à ce Baby blues ne doit surtout pas être médicale. Appuyez-vous sur votre entourage familial et sur sa chaleur affective. Mais si les symptômes d’un Baby blues se poursuivent au-delà de deux ou trois jours, n’hésitez pas à consulter votre médecin.
La dépression post-partum en revanche, est un état pathologique. Elle survient dans le mois (ou les mois) qui suivent l’accouchement. Et elle dure. Environ 10% à 15% des mamans en souffrent. La femme présente un tableau de symptômes dépressifs bien définis. Un sentiment d’incapacité général, des idées noires, une dévalorisation personnelle…
La dépression s’installe dans le temps et les conséquences sur le nourrisson en sont d’autant plus graves. N’oublions pas que la mère a le droit d’aller mal. Et le corps médical, tout comme l’entourage, doivent se préoccuper de son état tout autant que de celui de l’enfant.
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