Maire de la commune de Koumassi, et directeur de campagne du RHDP dans la dite commune, N’Dohi Raymond a profité de son traditionnel entretien de nouvel an, pour demander au président Laurent Gbagbo de quitter le pouvoir. Il a par ailleurs lancé un message de paix et de réconciliation à ses administrés.
Voici que l’année 2010 qui s’est transformé en souvenir. Qu’est-ce qui vous vient immédiatement en esprit ?
Si, j’ai un bilan à faire, c’est en même temps une déception et une amertume. Puisqu’en tant qu’acteur politique, acteur de développement, j’espérais qu’après les élections la Côte d’Ivoire se remettrait au travail. Mais nous constatons que c’est un KO qui se prépare. Donc, on ne peut pas être fier de vivre cette désillusion et ce cauchemar qui se profile a l’horizon. Je suis profondément déçu et amère. En tant qu’ivoirien, je suis même outré parce que ce gouvernement, malheureusement ne nous a pas permis d’atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. La conséquence de l’année électorale a été l’enlisement de toutes nos activités suivie d’une crise aigue. Non seulement, nous n’avons pas pu atteindre nos objectifs, mais l’horizon semble bouché. Ainsi, si nous avons un souhait à émettre, c’est de sortir le plus tôt possible de cette situation pour reprendre nos actions là où nous les avons laissées, par la force des choses. Voila ce que m’inspire d’abord 2010 et je pense que ça suffit à résumer tout.
N’est ce pas un message de désespoir ?
Je n’aimerais pas que les administrés ou les populations Ivoiriennes, à la lecture de l’intervention du premier magistrat de la commune soient désolés. Car on a quand même constaté dans cette grisaille de difficultés, qu’il y a eu quelques actions en 2010 avec la pose de la première pierre de l’hôtel communal, la dotation de l’hôpital de la commune d’une ambulance et l’opération de démoustication.
Allez-vous donc baisser les bras ?
Non, nous n’avons pas baissé les bras. Il y a eu des choses peut être qu’il faut en parler ou pas, puisque tout est arrêté aujourd’hui. C’est ça qui explique la déception du maire de la commune. C’est vrai, nous avons initié de grandes actions dont l’hôtel communal, mais les chantiers ne son plus approvisionnés. On ne peut plus circuler, il n’y a pas de route, on ne peut pas avoir du sable et les ouvriers ne peuvent même pas venir au travail. Vous constaterais la même chose pour le ‘’marché poulet’’ qui était en construction, dont les travaux ont démarré en pompe, et ce sont arrêtés par la suite. C’est sur tout cela que nous appuyons sur le mot déception et ce n’est pas trop fort. Au reste, je pense que les populations suivent également au quotidien ce que nous vivons. Des populations qui sont victimes des concerts de casseroles, de sifflet la nuit. Elles ne peuvent pas dire qu’elles appréhendent la situation d’une autre façon. Je pense que je traduis un peut l’état d’esprit de toute la population, la peur qui s’est installée, la crainte du lendemain, la hausse des prix des denrées de premières nécessités, les difficultés d’aller d’un point à l’autre, et l’insécurité la plus totale. Nous pensons que les faits que nous vivons sont réels. On ne peut pas le cacher du revêt de la main, les balayer ou les cacher. Il faut qu’on en parle pour que les gens en prennent conscience et qu’on y mette fin. Le peuple ivoirien a besoin de vivre, de travailler pour le développement du pays. Et nous encore, acteur du développement, nous avons besoin également d’une sérénité et des moyens adéquats pour travailler. C’est ce que j’ai traduit par les mots plus hauts et je pense que tous ceux qui sont acteurs de la vie politique ivoirienne sont d’accord avec moi. Il faut que nous en sortions, que ça finisse et que le travail reprenne. La vie doit reprendre, afin que la sécurité soit rétablie pour que nous puissions continuer à espérer d’un développement.
La proclamation des résultats du 2e tour de l’élection présidentielle du 28 novembre a été émaillée d’incidents. Qu’est ce que cela vous inspire ?
Je ne pense pas qu’il faille lire ce qui se passe, en termes d’hostilité à un pouvoir quelconque. Il y a des gens qui ont voté, qui ont leur résultat et qui veulent que ce résultat soit reconnu. Ce n’est pas en termes d’hostilité au pouvoir en place, il faut mesurer les choses, il faut voir cela comme une aspiration légitime du peuple ; celui qui a gagné doit avoir sa victoire, c’est tout. Ce n’est pas un pouvoir qu’on vole, c’est la quête légitime d’un droit. Vous savez combien de temps l’ANC a mis pour avoir le droit de vote ? Et, quand vous avez ce droit et que vous votez, c’est pour avoir un résultat. Nous luttons pour que ce résultat, que nous avons choisi soit reconnu, pour que celui que nous avons voté vienne développer son programme. C’est sur la base de ce programme que nous l’avons voté. Voilà, comment il faut voir les choses.
Dans votre commune, il y a eu des affrontements entre les deux camps, c’est à dire le RHDP et LMP. Quelles sont les actions que vous avez menées pour faire baisser la tension ?
Ce que nous avons fait, c’est de prôner la réconciliation. Ce que je sais, c’est qu’à Koumassi, il y a eu quatorze (14) morts et assez de disparus. C’est dommage que des innocents qui sont sensés apporter des solutions soient des occasions pour s’entretuer. Ce que je sais, c’est qu’il y a des groupes de jeunes qui manifestaient leur victoire, et qui ont été attaqués par des miliciens. Vous savez que lorsque quelqu’un se sent attaqué, il se défend. Mais, nous, ce que nous voulons pour dessus tout, c’est qu’il y ait la paix et la réconciliation. Nous appelons à l’apaisement pour que ce genre d’événement ne se reproduise plus. Donc à partir de là, si quelqu’un parle d’une image, je ne sais pas si c’est juste de donner une image, Abobo n’a jamais été déclaré comme étant une commune hostile à un pouvoir quelconque tout comme yopougon qui ne l’a jamais été, mais il y a des gens qui manifestement par rapport à certaines situations qui leurs paraissent plus ou moins injustes. Maintenant la commune de Koumassi est habituée au calme et le calme est revenu et nous œuvrons pour que cela perdure.
La communauté internationale unanimement condamne Laurent Gbagbo et lui demande de partir, mais il résiste. Quelle est la lecture que vous faites de cette position ?
Aujourd’hui, c’est l’intérêt de la population et de la Côte d’Ivoire qui prime. Ceux qui disent aimer ce pays doivent préserver l’intégrité physique et la vie des ivoiriens. Si l’ex-président Gbabgo aime le peuple ivoirien, qu’il fasse tout, pour préserver cela. Je comprends qu’il y ait eu des contentieux, mais que ces contentieux soient l’objet de tueries à travers des mercenaires, c’est ce qui me désole. Les mercenaires sont des étrangers et ceux qu’on tue, sont des ivoiriens. Est ce que pour servir les ivoiriens, on est obligé de faire appel à des mercenaires, pour venir les tuer. Est ce que pour aimer les ivoiriens, on est obligé de détruire leurs biens. Je crois que chacun doit avoir plus d’humilité et que les choses s’arrangent dans l’intérêt des ivoiriens et de la Côte d’Ivoire. Il y a une évidence, des élections ont eu lieu, des résultats ont été proclamés par la Commission Electorale Indépendante et certifiés par l’Onu ; c’est tout. Il faut que cela soit accepté et qu’on quitte dans ça. On nous fait de l’alchimie et du maraboutage juridiques, nous n’en avons rien à foutre. Notre résultat est acquis, c’est une évidence. Il faut que l’ex-président de la République ait un peu plus d’humilité et accepte de partir.
Votre commune dit-on, paye actuellement un lourd tribut de cette crise. Qu’en est-il exactement?
Aujourd’hui, il n’y a plus de recettes, la mairie traine un déficit très lourd parce que l’état n’a pas reversé dans les situations normales les taxes. Aussi, parce que les contribuables ne payent plus les taxes locales. Aujourd’hui, c’est une caisse complètement asséchée. Cela n’est pas fait pour arranger les choses. Car j’ai eu à le dire, nous prions pour le retour normal des choses, pour que la mairie puisse se retrouver et faire face à ses engagements. Cependant, nous avons pu nous débrouiller pour payer les salaires de nos employées pour le mois de Décembre. Mais, il y a des craintes pour ne pas que le mois de janvier soit hypothéqué, si la situation perdure. Donc la mairie est à l’image de la Côte d’Ivoire. Les agents travaillent dans des conditions d’insécurité et tout cela n’est pas fait pour que les affaires au niveau de la mairie puissent prospérer. Au sortir de cette crise, la Côte d’Ivoire va se retrouver, il y a déjà beaucoup de manifestation d’intérêts autour de ce pays et je pense que la communauté internationale et tous les acteurs de la vie politique prient pour le retour de la paix. En tout cas, c’est ce que je souhaite. Je voudrais en profiter pour présenter mes vœux de courage, de persévérance, d’endurance et de bonheur à toutes les populations de Koumassi. Les élections passent et la vie au quotidien doit continuer, c’est pour cela que je demande aux uns et aux autres de regarder autour d’eux, de voir leur environnement avant de poser des actes. Ces élections vont passer, ces évènements vont passer, nous seront toujours dans notre milieu naturel et c’est en ce moment là, que nous allons faire le bilan de tout ce que nous avons entrepris comme action dans ces moments de turbulence. Je demande à tous, la retenue et la convivialité dans tous les quartiers, que cessent les accusations, les suspicions, les dénonciations calomnieuses et que la vie reprennent son cours normal. Pour 2011, je dirai simplement comme les jeunes : « Quittons dans ça ».
K.Ange
Voici que l’année 2010 qui s’est transformé en souvenir. Qu’est-ce qui vous vient immédiatement en esprit ?
Si, j’ai un bilan à faire, c’est en même temps une déception et une amertume. Puisqu’en tant qu’acteur politique, acteur de développement, j’espérais qu’après les élections la Côte d’Ivoire se remettrait au travail. Mais nous constatons que c’est un KO qui se prépare. Donc, on ne peut pas être fier de vivre cette désillusion et ce cauchemar qui se profile a l’horizon. Je suis profondément déçu et amère. En tant qu’ivoirien, je suis même outré parce que ce gouvernement, malheureusement ne nous a pas permis d’atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. La conséquence de l’année électorale a été l’enlisement de toutes nos activités suivie d’une crise aigue. Non seulement, nous n’avons pas pu atteindre nos objectifs, mais l’horizon semble bouché. Ainsi, si nous avons un souhait à émettre, c’est de sortir le plus tôt possible de cette situation pour reprendre nos actions là où nous les avons laissées, par la force des choses. Voila ce que m’inspire d’abord 2010 et je pense que ça suffit à résumer tout.
N’est ce pas un message de désespoir ?
Je n’aimerais pas que les administrés ou les populations Ivoiriennes, à la lecture de l’intervention du premier magistrat de la commune soient désolés. Car on a quand même constaté dans cette grisaille de difficultés, qu’il y a eu quelques actions en 2010 avec la pose de la première pierre de l’hôtel communal, la dotation de l’hôpital de la commune d’une ambulance et l’opération de démoustication.
Allez-vous donc baisser les bras ?
Non, nous n’avons pas baissé les bras. Il y a eu des choses peut être qu’il faut en parler ou pas, puisque tout est arrêté aujourd’hui. C’est ça qui explique la déception du maire de la commune. C’est vrai, nous avons initié de grandes actions dont l’hôtel communal, mais les chantiers ne son plus approvisionnés. On ne peut plus circuler, il n’y a pas de route, on ne peut pas avoir du sable et les ouvriers ne peuvent même pas venir au travail. Vous constaterais la même chose pour le ‘’marché poulet’’ qui était en construction, dont les travaux ont démarré en pompe, et ce sont arrêtés par la suite. C’est sur tout cela que nous appuyons sur le mot déception et ce n’est pas trop fort. Au reste, je pense que les populations suivent également au quotidien ce que nous vivons. Des populations qui sont victimes des concerts de casseroles, de sifflet la nuit. Elles ne peuvent pas dire qu’elles appréhendent la situation d’une autre façon. Je pense que je traduis un peut l’état d’esprit de toute la population, la peur qui s’est installée, la crainte du lendemain, la hausse des prix des denrées de premières nécessités, les difficultés d’aller d’un point à l’autre, et l’insécurité la plus totale. Nous pensons que les faits que nous vivons sont réels. On ne peut pas le cacher du revêt de la main, les balayer ou les cacher. Il faut qu’on en parle pour que les gens en prennent conscience et qu’on y mette fin. Le peuple ivoirien a besoin de vivre, de travailler pour le développement du pays. Et nous encore, acteur du développement, nous avons besoin également d’une sérénité et des moyens adéquats pour travailler. C’est ce que j’ai traduit par les mots plus hauts et je pense que tous ceux qui sont acteurs de la vie politique ivoirienne sont d’accord avec moi. Il faut que nous en sortions, que ça finisse et que le travail reprenne. La vie doit reprendre, afin que la sécurité soit rétablie pour que nous puissions continuer à espérer d’un développement.
La proclamation des résultats du 2e tour de l’élection présidentielle du 28 novembre a été émaillée d’incidents. Qu’est ce que cela vous inspire ?
Je ne pense pas qu’il faille lire ce qui se passe, en termes d’hostilité à un pouvoir quelconque. Il y a des gens qui ont voté, qui ont leur résultat et qui veulent que ce résultat soit reconnu. Ce n’est pas en termes d’hostilité au pouvoir en place, il faut mesurer les choses, il faut voir cela comme une aspiration légitime du peuple ; celui qui a gagné doit avoir sa victoire, c’est tout. Ce n’est pas un pouvoir qu’on vole, c’est la quête légitime d’un droit. Vous savez combien de temps l’ANC a mis pour avoir le droit de vote ? Et, quand vous avez ce droit et que vous votez, c’est pour avoir un résultat. Nous luttons pour que ce résultat, que nous avons choisi soit reconnu, pour que celui que nous avons voté vienne développer son programme. C’est sur la base de ce programme que nous l’avons voté. Voilà, comment il faut voir les choses.
Dans votre commune, il y a eu des affrontements entre les deux camps, c’est à dire le RHDP et LMP. Quelles sont les actions que vous avez menées pour faire baisser la tension ?
Ce que nous avons fait, c’est de prôner la réconciliation. Ce que je sais, c’est qu’à Koumassi, il y a eu quatorze (14) morts et assez de disparus. C’est dommage que des innocents qui sont sensés apporter des solutions soient des occasions pour s’entretuer. Ce que je sais, c’est qu’il y a des groupes de jeunes qui manifestaient leur victoire, et qui ont été attaqués par des miliciens. Vous savez que lorsque quelqu’un se sent attaqué, il se défend. Mais, nous, ce que nous voulons pour dessus tout, c’est qu’il y ait la paix et la réconciliation. Nous appelons à l’apaisement pour que ce genre d’événement ne se reproduise plus. Donc à partir de là, si quelqu’un parle d’une image, je ne sais pas si c’est juste de donner une image, Abobo n’a jamais été déclaré comme étant une commune hostile à un pouvoir quelconque tout comme yopougon qui ne l’a jamais été, mais il y a des gens qui manifestement par rapport à certaines situations qui leurs paraissent plus ou moins injustes. Maintenant la commune de Koumassi est habituée au calme et le calme est revenu et nous œuvrons pour que cela perdure.
La communauté internationale unanimement condamne Laurent Gbagbo et lui demande de partir, mais il résiste. Quelle est la lecture que vous faites de cette position ?
Aujourd’hui, c’est l’intérêt de la population et de la Côte d’Ivoire qui prime. Ceux qui disent aimer ce pays doivent préserver l’intégrité physique et la vie des ivoiriens. Si l’ex-président Gbabgo aime le peuple ivoirien, qu’il fasse tout, pour préserver cela. Je comprends qu’il y ait eu des contentieux, mais que ces contentieux soient l’objet de tueries à travers des mercenaires, c’est ce qui me désole. Les mercenaires sont des étrangers et ceux qu’on tue, sont des ivoiriens. Est ce que pour servir les ivoiriens, on est obligé de faire appel à des mercenaires, pour venir les tuer. Est ce que pour aimer les ivoiriens, on est obligé de détruire leurs biens. Je crois que chacun doit avoir plus d’humilité et que les choses s’arrangent dans l’intérêt des ivoiriens et de la Côte d’Ivoire. Il y a une évidence, des élections ont eu lieu, des résultats ont été proclamés par la Commission Electorale Indépendante et certifiés par l’Onu ; c’est tout. Il faut que cela soit accepté et qu’on quitte dans ça. On nous fait de l’alchimie et du maraboutage juridiques, nous n’en avons rien à foutre. Notre résultat est acquis, c’est une évidence. Il faut que l’ex-président de la République ait un peu plus d’humilité et accepte de partir.
Votre commune dit-on, paye actuellement un lourd tribut de cette crise. Qu’en est-il exactement?
Aujourd’hui, il n’y a plus de recettes, la mairie traine un déficit très lourd parce que l’état n’a pas reversé dans les situations normales les taxes. Aussi, parce que les contribuables ne payent plus les taxes locales. Aujourd’hui, c’est une caisse complètement asséchée. Cela n’est pas fait pour arranger les choses. Car j’ai eu à le dire, nous prions pour le retour normal des choses, pour que la mairie puisse se retrouver et faire face à ses engagements. Cependant, nous avons pu nous débrouiller pour payer les salaires de nos employées pour le mois de Décembre. Mais, il y a des craintes pour ne pas que le mois de janvier soit hypothéqué, si la situation perdure. Donc la mairie est à l’image de la Côte d’Ivoire. Les agents travaillent dans des conditions d’insécurité et tout cela n’est pas fait pour que les affaires au niveau de la mairie puissent prospérer. Au sortir de cette crise, la Côte d’Ivoire va se retrouver, il y a déjà beaucoup de manifestation d’intérêts autour de ce pays et je pense que la communauté internationale et tous les acteurs de la vie politique prient pour le retour de la paix. En tout cas, c’est ce que je souhaite. Je voudrais en profiter pour présenter mes vœux de courage, de persévérance, d’endurance et de bonheur à toutes les populations de Koumassi. Les élections passent et la vie au quotidien doit continuer, c’est pour cela que je demande aux uns et aux autres de regarder autour d’eux, de voir leur environnement avant de poser des actes. Ces élections vont passer, ces évènements vont passer, nous seront toujours dans notre milieu naturel et c’est en ce moment là, que nous allons faire le bilan de tout ce que nous avons entrepris comme action dans ces moments de turbulence. Je demande à tous, la retenue et la convivialité dans tous les quartiers, que cessent les accusations, les suspicions, les dénonciations calomnieuses et que la vie reprennent son cours normal. Pour 2011, je dirai simplement comme les jeunes : « Quittons dans ça ».
K.Ange