En attendant la date fatidique du 23 février 2011 pour l’élection des deux membres de la CAF au sein du comité exécutif de la FIFA, Jacques Anouma fourbit ses armes. Avec tous ses moyens. Le combat de Khartoum s’annonce âpre.
Depuis la clôture des candidatures, le mardi 23 novembre dernier, les cinq candidats de la CAF au Comité Exécutif de la FIFA pour les deux places à pourvoir sont connus et fourbissent leurs armes. Il s’agit de l’Ivoirien Jacques Anouma qui remet son mandat en jeu, du Sud-Africain Danny Jordaan, du Ghanéen Kwesi Nyatekyi, du Nigerian Ibrahima Galadima et de l’Algérien Mohamed Raouraoua. A signaler que les élections tant attendues auront lieu le 23 février prochain à Khartoum (Soudan) lors de l’assemblée générale de la CAF. « Mes adversaires sont de taille… », a récemment reconnu le patron du football ivoirien. C’est donc la preuve que les débats seront très élevés. Mais ce sera avant tout un énorme défi pour Jacques Anouma qui veut continuer à représenter la Côte d’Ivoire au sein de la plus haute instance du football mondial. Déjà dans le cœur des Ivoiriens pour être le premier président de la FIF à avoir qualifié son pays à la première Coupe du monde de son histoire, Anouma a tout leur soutien. Et pour espérer conserver sa place au comité exécutif de la FIFA, plusieurs émissaires du fils de Memni effectuent un important travail de lobbyng sur le continent. Ils misent sur leurs « amis » de la sous-région mais aussi de la zone australe et centrale. Rappelons que Le Nigérian Amos Adamu (membre du CE de la FIFA) mais suspendu pour «corruption» ne se représentera pas. Le Malien Amadou Diakhité, membre du CE de la CAF, ne pourra pas postuler également du fait de sa suspension par l’instance internationale pour les mêmes motifs que le Nigérian Amos Adamu.
Guy-Florentin Yaméogo
Depuis la clôture des candidatures, le mardi 23 novembre dernier, les cinq candidats de la CAF au Comité Exécutif de la FIFA pour les deux places à pourvoir sont connus et fourbissent leurs armes. Il s’agit de l’Ivoirien Jacques Anouma qui remet son mandat en jeu, du Sud-Africain Danny Jordaan, du Ghanéen Kwesi Nyatekyi, du Nigerian Ibrahima Galadima et de l’Algérien Mohamed Raouraoua. A signaler que les élections tant attendues auront lieu le 23 février prochain à Khartoum (Soudan) lors de l’assemblée générale de la CAF. « Mes adversaires sont de taille… », a récemment reconnu le patron du football ivoirien. C’est donc la preuve que les débats seront très élevés. Mais ce sera avant tout un énorme défi pour Jacques Anouma qui veut continuer à représenter la Côte d’Ivoire au sein de la plus haute instance du football mondial. Déjà dans le cœur des Ivoiriens pour être le premier président de la FIF à avoir qualifié son pays à la première Coupe du monde de son histoire, Anouma a tout leur soutien. Et pour espérer conserver sa place au comité exécutif de la FIFA, plusieurs émissaires du fils de Memni effectuent un important travail de lobbyng sur le continent. Ils misent sur leurs « amis » de la sous-région mais aussi de la zone australe et centrale. Rappelons que Le Nigérian Amos Adamu (membre du CE de la FIFA) mais suspendu pour «corruption» ne se représentera pas. Le Malien Amadou Diakhité, membre du CE de la CAF, ne pourra pas postuler également du fait de sa suspension par l’instance internationale pour les mêmes motifs que le Nigérian Amos Adamu.
Guy-Florentin Yaméogo