Des magistrats se révoltent contre le régime illégitime et barbare de Laurent Gbagbo
En notre qualité de magistrat, nous tenons à marquer notre indignation devant le scenario
impensable et grotesque qui se déroule sous nos yeux depuis plus d’ un mois. Nous dénonçons
avec véhémence l’ assassinat de la démocratie et les massacres et violations massives des
droits de l’ homme perpétrés par cette dictature sanguinaire, inhumaine et diabolique, vomie
par la majorité des ivoiriens.
Le verdict des urnes est implacable. Laurent GBAGBO, candidat à sa propre succession a
été battu avec presque 400.000 voix d’ écart. Les règles élémentaires de la démocratie et du
suffrage universel recommandent que le vaincu reconnaisse sa défaite, félicite son adversaire
et s’ efface pour éventuellement organiser sa revanche aux prochaines échéances électorales.
Sous d’ autres cieux, certains l’ ont fait et n’ ont pas brulé en enfer. Kérékou et Nicéphore Soglo
au Benin, Diouf au Sénégal et De Klerk en Afrique du Sud. Il est déplorable de constater
que le pseudo-démocrate qui avait en 2000 exigé de son adversaire de choisir entre Diouf et
Milosevic décide étonnamment de se comporter comme le dictateur serbe. GBAGBO, que
des thuriféraires ignares avaient comparé à Moïse, est en réalité ‘ ’ Hitler réincarné’ ’ , avec
des ‘ ’ Goebbels’ ’ autour de lui : Affi, Guiréoulou, Brou Amessan, Blé Goudé, et Boga Sako
(ce littéraire sans inspiration, devenu charlatan des droits de l’ homme, lèche-botte en quête
de lauriers immérités), ces incompétents qui tiennent des discours haineux. Nous exhortons
mes compatriotes à ne pas se laisser endoctriner par les monstruosités professées par ces
inquisiteurs et ces saltimbanques.
Une juridiction aussi prestigieuse que le conseil constitutionnel s’ est honteusement déculottée
en se fondant sur des arguties et des éléments chimériques et fantaisistes pour annuler près
de 600. 000 voix et en déclarant vainqueur un candidat largement battu au suffrage universel.
En agissant comme il l’ a fait, le conseil constitutionnel a violé la constitution qu’ il prétend
bizarrement défendre. Il a royalement méconnu l’ article 64 du code électoral. L’ arrêt du
Conseil constitutionnel n’ est en réalité qu’ un infâme brûlot ayant pour mission de perpétuer la
dictature, de maintenir le brave peuple de Côte d’ Ivoire dans la pauvreté la plus dégoutante.
Par ailleurs, les violences, massacres et tortures commises par ce régime insoucieux de la vie
et de la dignité humaines ne doivent rester impunis. Souvenez-vous des tueries des 24, 25 et
26 mars 2004. Les conclusions de la commission d’ enquête mandatée par l’ ONU et boudée
par ce régime barbare sont restées sans suite. Après les massacres commis en février 2010 lors
les manifestations après la dissolution de la CEI, Laurent GBAGBO vient encore de tuer des
manifestants aux mains nues qui demandaient légitimement son départ. Nous nous félicitons
de la saisine de la Cour Pénale internationale par le gouvernement légitime de Côte d’ Ivoire.
Nous souhaitons vivement qu’ après la chute inéluctable de la dictature, la Côte d’ Ivoire ratifie
le traité de Rome instituant la Cour Pénale internationale.
Il nous incombe de nous mobiliser contre ce régime de terreur, ce concentré de corrompus,
de médiocres, et d’ incompétents qui a pris notre belle Côte d’ Ivoire en otage. Nous estimons
que nous sommes la voix des sans-voix, ces millions de vrais patriotes ivoiriens sidérés et
révoltés par l’ odieux et l’ inacceptable hold-up électoral commis par ce régime aux pratiques
moyenâgeuses. L’ enfer de la Côte d’ Ivoire, c’ est Laurent GBAGBO. Sur les cendres encore
fumantes de la gaspilleuse et corrompue refondation, le peuple de Côte d’ Ivoire, avec à sa tête
le digne fils Alassane Dramane Ouattara, construira une société libre et prospère débarrassée
des serpents venimeux, introduits par Gbagbo et son clan.
Un groupe de magistrats très attachés aux règles démocratiques
librejustice@yahoo.fr
En notre qualité de magistrat, nous tenons à marquer notre indignation devant le scenario
impensable et grotesque qui se déroule sous nos yeux depuis plus d’ un mois. Nous dénonçons
avec véhémence l’ assassinat de la démocratie et les massacres et violations massives des
droits de l’ homme perpétrés par cette dictature sanguinaire, inhumaine et diabolique, vomie
par la majorité des ivoiriens.
Le verdict des urnes est implacable. Laurent GBAGBO, candidat à sa propre succession a
été battu avec presque 400.000 voix d’ écart. Les règles élémentaires de la démocratie et du
suffrage universel recommandent que le vaincu reconnaisse sa défaite, félicite son adversaire
et s’ efface pour éventuellement organiser sa revanche aux prochaines échéances électorales.
Sous d’ autres cieux, certains l’ ont fait et n’ ont pas brulé en enfer. Kérékou et Nicéphore Soglo
au Benin, Diouf au Sénégal et De Klerk en Afrique du Sud. Il est déplorable de constater
que le pseudo-démocrate qui avait en 2000 exigé de son adversaire de choisir entre Diouf et
Milosevic décide étonnamment de se comporter comme le dictateur serbe. GBAGBO, que
des thuriféraires ignares avaient comparé à Moïse, est en réalité ‘ ’ Hitler réincarné’ ’ , avec
des ‘ ’ Goebbels’ ’ autour de lui : Affi, Guiréoulou, Brou Amessan, Blé Goudé, et Boga Sako
(ce littéraire sans inspiration, devenu charlatan des droits de l’ homme, lèche-botte en quête
de lauriers immérités), ces incompétents qui tiennent des discours haineux. Nous exhortons
mes compatriotes à ne pas se laisser endoctriner par les monstruosités professées par ces
inquisiteurs et ces saltimbanques.
Une juridiction aussi prestigieuse que le conseil constitutionnel s’ est honteusement déculottée
en se fondant sur des arguties et des éléments chimériques et fantaisistes pour annuler près
de 600. 000 voix et en déclarant vainqueur un candidat largement battu au suffrage universel.
En agissant comme il l’ a fait, le conseil constitutionnel a violé la constitution qu’ il prétend
bizarrement défendre. Il a royalement méconnu l’ article 64 du code électoral. L’ arrêt du
Conseil constitutionnel n’ est en réalité qu’ un infâme brûlot ayant pour mission de perpétuer la
dictature, de maintenir le brave peuple de Côte d’ Ivoire dans la pauvreté la plus dégoutante.
Par ailleurs, les violences, massacres et tortures commises par ce régime insoucieux de la vie
et de la dignité humaines ne doivent rester impunis. Souvenez-vous des tueries des 24, 25 et
26 mars 2004. Les conclusions de la commission d’ enquête mandatée par l’ ONU et boudée
par ce régime barbare sont restées sans suite. Après les massacres commis en février 2010 lors
les manifestations après la dissolution de la CEI, Laurent GBAGBO vient encore de tuer des
manifestants aux mains nues qui demandaient légitimement son départ. Nous nous félicitons
de la saisine de la Cour Pénale internationale par le gouvernement légitime de Côte d’ Ivoire.
Nous souhaitons vivement qu’ après la chute inéluctable de la dictature, la Côte d’ Ivoire ratifie
le traité de Rome instituant la Cour Pénale internationale.
Il nous incombe de nous mobiliser contre ce régime de terreur, ce concentré de corrompus,
de médiocres, et d’ incompétents qui a pris notre belle Côte d’ Ivoire en otage. Nous estimons
que nous sommes la voix des sans-voix, ces millions de vrais patriotes ivoiriens sidérés et
révoltés par l’ odieux et l’ inacceptable hold-up électoral commis par ce régime aux pratiques
moyenâgeuses. L’ enfer de la Côte d’ Ivoire, c’ est Laurent GBAGBO. Sur les cendres encore
fumantes de la gaspilleuse et corrompue refondation, le peuple de Côte d’ Ivoire, avec à sa tête
le digne fils Alassane Dramane Ouattara, construira une société libre et prospère débarrassée
des serpents venimeux, introduits par Gbagbo et son clan.
Un groupe de magistrats très attachés aux règles démocratiques
librejustice@yahoo.fr