La situation sociopolitique qui prévaut en ce moment avec deux têtes de présidents cause d’ énormes problèmes aux opérateurs économiques et même à tous ceux qui évoluent dans l’ informel. Particulièrement dans la capitale politique ivoirienne, Yamoussoukro, où il n’ y a aucune activité industrielle, la situation se complique pour les jeunes filles et garçons qui se « débrouillent.»
Dans les maquis, restaurants, bars et boîtes de nuit, c’ est la désolation totale. Mlle Germaine Koffi a été retrouvée triste et consternée devant le maquis où elle a l’ habitude de servir et d’ échanger avec les clients. « Je viens d’ être congédiée par le patron. Parce que, rien ne marche à cause de la situation politique du pays. Nous sommes au nombre de cinq (5) filles
qui avions été mises en congé technique», a-t-elle déclaré. Mais espère-t-elle revenir un jour. Au pire des cas, elle dit avoir des économies faites auprès de sa grand-mère, qu’ elle appelle affectueusement sa complice. Cet argent lui permettra dit-elle d’ évoluer dans ses entreprises informelles. Quant aux autres filles, je ne peux pas vous dire ce qu’ elles comptent faire. Emilie K, Mireille O Atté, Sali A. B et Diane reviendra à la normale. « Nous sommes
confiantes de la normalité du pays avant fin janvier, » ont-elles indiqué.Les propriétaires des maquis, restaurants, bars et Boîtes de nuit, ne nient pas les actes posés. « Vous-mêmes vous constaté avec moi, qu’ aucun client ne fréquents à ce jour, nos bars, ni restaurants. Encore moins les boîtes de nuit. La plus simple solution était de mettre en chômage technique nos jeunes filles qui nous aident à suivre et moyennant le minimum qu’on paie. Même si cela n’ est pas consistant, » ont-ils fait savoir.
Dans le maquis, bars et restaurants de la ville, le constant est clair et net. Rien ne marche et il n’ y presque, aucun client. Toutefois, notent les tenanciers ou tenancières, aucun maquis ni restaurant n’ arrive plus à faire une recette de plus de 20.000F par jour.Or dans le passé, disent-ils, les recettes vont de 50.000F à plus de 200.000F selon la configuration du
réceptif.
Jacquelin Mintoh
Dans les maquis, restaurants, bars et boîtes de nuit, c’ est la désolation totale. Mlle Germaine Koffi a été retrouvée triste et consternée devant le maquis où elle a l’ habitude de servir et d’ échanger avec les clients. « Je viens d’ être congédiée par le patron. Parce que, rien ne marche à cause de la situation politique du pays. Nous sommes au nombre de cinq (5) filles
qui avions été mises en congé technique», a-t-elle déclaré. Mais espère-t-elle revenir un jour. Au pire des cas, elle dit avoir des économies faites auprès de sa grand-mère, qu’ elle appelle affectueusement sa complice. Cet argent lui permettra dit-elle d’ évoluer dans ses entreprises informelles. Quant aux autres filles, je ne peux pas vous dire ce qu’ elles comptent faire. Emilie K, Mireille O Atté, Sali A. B et Diane reviendra à la normale. « Nous sommes
confiantes de la normalité du pays avant fin janvier, » ont-elles indiqué.Les propriétaires des maquis, restaurants, bars et Boîtes de nuit, ne nient pas les actes posés. « Vous-mêmes vous constaté avec moi, qu’ aucun client ne fréquents à ce jour, nos bars, ni restaurants. Encore moins les boîtes de nuit. La plus simple solution était de mettre en chômage technique nos jeunes filles qui nous aident à suivre et moyennant le minimum qu’on paie. Même si cela n’ est pas consistant, » ont-ils fait savoir.
Dans le maquis, bars et restaurants de la ville, le constant est clair et net. Rien ne marche et il n’ y presque, aucun client. Toutefois, notent les tenanciers ou tenancières, aucun maquis ni restaurant n’ arrive plus à faire une recette de plus de 20.000F par jour.Or dans le passé, disent-ils, les recettes vont de 50.000F à plus de 200.000F selon la configuration du
réceptif.
Jacquelin Mintoh