Le Ghana ne prend pas partie dans la crise qui divise la Côte d'Ivoire, pays voisin, et
privilégie une solution diplomatique à une intervention militaire, a déclaré vendredi son
président John Atta Mills.
"Le Ghana ne prend pas partie dans la crise en Côte d'Ivoire et n'y exporte pas d'armes", a-t-il
déclaré à la presse.
Le président a indiqué "qu'il est en contact avec les deux personnalités impliquées pour
trouver une issue pacifique". Il croit "davantage à la diplomatie qu'à une intervention
militaire". Le Ghana avait annoncé le 30 décembre qu'il n'enverra pas de troupes en Côte
d'Ivoire dans le cadre d'une éventuelle intervention militaire des pays ouest-africains pour
forcer le président sortant Laurent Gbagbo à partir. La Communauté économique des
Etats d'Afrique de l'Ouest (Cedeao), dont le Ghana est l'un des 15 membres, a planifié une
éventuelle interventionmilitaire au cas où Laurent Gbagbo résisterait aux pressions qui
s'exerce sur lui pour qu'il cède la place à son rival Alassane Ouattara.
Cinq Ghanéens soupçonnés d'être des mercenaires au service de Laurent Gbagbo ont été
arrêtés le 31 décembre dans le nord de la Côte d'Ivoire par desforces loyales à Alassane
Ouattara.
privilégie une solution diplomatique à une intervention militaire, a déclaré vendredi son
président John Atta Mills.
"Le Ghana ne prend pas partie dans la crise en Côte d'Ivoire et n'y exporte pas d'armes", a-t-il
déclaré à la presse.
Le président a indiqué "qu'il est en contact avec les deux personnalités impliquées pour
trouver une issue pacifique". Il croit "davantage à la diplomatie qu'à une intervention
militaire". Le Ghana avait annoncé le 30 décembre qu'il n'enverra pas de troupes en Côte
d'Ivoire dans le cadre d'une éventuelle intervention militaire des pays ouest-africains pour
forcer le président sortant Laurent Gbagbo à partir. La Communauté économique des
Etats d'Afrique de l'Ouest (Cedeao), dont le Ghana est l'un des 15 membres, a planifié une
éventuelle interventionmilitaire au cas où Laurent Gbagbo résisterait aux pressions qui
s'exerce sur lui pour qu'il cède la place à son rival Alassane Ouattara.
Cinq Ghanéens soupçonnés d'être des mercenaires au service de Laurent Gbagbo ont été
arrêtés le 31 décembre dans le nord de la Côte d'Ivoire par desforces loyales à Alassane
Ouattara.