Qui croyait prendre est pris à son propre piège. Laurent Gbagbo pensait tromper les Ivoiriens
avec son discours suranné de "lutte contre le néocolonialisme" par le truchement duquel il
porte des accusations non fondées contre la France, son président Nicholas Sarkozy et ses
réseaux au nombre desquels « la Françafrique ». Alors qu’ en réalité, le chef de la refondation
est celui- là même qui a le plus bénéficié de l’ assistance du pays de Sarkozy, de ses premiers
responsables et de tous les réseaux.
Laurent Gbagbo, quand ça l’ arrange, réactive les réseaux de la Francafrique pour en tirer
les meilleurs dividendes pour lui et ses proches. Le tout dernier exemple, parmi toute une
myriade, est la venue en Côte d’ Ivoire, la semaine dernière, des avocats français, Roland
Dumas et Jacques Vergès. Pour tenter de se sortir des griffes de la communauté internationale
qui l’ a cerné, dans l’ optique de le déloger du palais qu’ il squatte après avoir perdu le pouvoir,
Gbagbo qui dit ne pas aimer la France, ses dirigeants et leurs réseaux s’ attache les services de
Roland Dumas et me Vergès, deux avocats français. Quand on sait que Roland Dumas est un
pion essentiel du réseau de la Françafrique sous le régime de François Mitterrand. Dumas qui
doit se réjouir d’ arrondir ses derniers jours avec la rondelette somme de plus de 300 millions
du contribuable ivoirien a été cité dans des affaires sales. L’ on peut citer "l’ affaire ELF
Aquitain".
Laurent Gbagbo, qui trompe les Ivoiriens en se faisant passer pour le défenseur de « la
souveraineté » de la Côte d’ Ivoire contre la France est celui- là même qui a signé les contrats
les plus juteux, tant pour lui que pour ses partenaires, avec de grosses firmes françaises.
Gbagbo a tout eu de la France
Mais, avec tout cela, ce que Gbagbo ne dit pas à ses partisans qui croient encore en ses
forfanteries, c’ est que pendant son règne, il a tout fait et tout eu grâce à la France. Tout
les Ivoiriens on suivi la campagne électorale de Gbagbo faite de gigantesques panneaux
inexpressifs, qui ont inondé Abidjan. Et c’ est l’ agence française de Communication Euro
RSCG. Bien avant, pour faire croire à ses partisans qu’ il était aimé des Ivoiriens, Gbagbo
a commandité, à coups de milliards du contribuable, des sondages auprès de l’ Institut
français TNS Sofres. Gbagbo, plus que quiconque aujourd’ hui sait qu’ il doit son pouvoir à la
France. La preuve palpable est l’ interposition de la Force Licorne entre les forces loyalistes
et les Forces nouvelles à la suite de la crise du 19 septembre 2002. Les Forces nouvelles
de Guillaume Soro avaient fini par mettre en déroute les soldats loyalistes de Gbagbo pour
occuper plus de 60% du territoire ivoirien. Pour sauver le pouvoir de Gbagbo, les autorités
françaises, le président Jacques Chirac au premier chef, exigent et obtient un cesser- le feu
salvateur. La suite, on la connait. Des dossiers financiers du régime de la refondation, pour
bénéficier de l’ assistance des institutions financières internationales ont été montés, de bout
en bout, par des experts français.
Alors, d’ où vient-il que Gbagbo joue les pourfendeurs de la France et de ses dirigeants ? Lui
qui continue de tout avoir de la France, de ses dirigeants et leurs réseaux.
Comme le disait le président de la République, Alassane Ouattara, jeudi dernier dans une
interview, « Le comportement de Laurent Gbagbo est indigne de celle d’ un homme d’ Etat.»
Bénéficier des largesses de la France et faire croire qu’ on la hait, il faut être Laurent Gbagbo
pour pousser le bouchon de l’ ingratitude jusqu’ à ce point. En réalité Gbagbo a tout eu de la
France et de ses réseaux de la Françafrique.
Jean- Antoine Doudou
avec son discours suranné de "lutte contre le néocolonialisme" par le truchement duquel il
porte des accusations non fondées contre la France, son président Nicholas Sarkozy et ses
réseaux au nombre desquels « la Françafrique ». Alors qu’ en réalité, le chef de la refondation
est celui- là même qui a le plus bénéficié de l’ assistance du pays de Sarkozy, de ses premiers
responsables et de tous les réseaux.
Laurent Gbagbo, quand ça l’ arrange, réactive les réseaux de la Francafrique pour en tirer
les meilleurs dividendes pour lui et ses proches. Le tout dernier exemple, parmi toute une
myriade, est la venue en Côte d’ Ivoire, la semaine dernière, des avocats français, Roland
Dumas et Jacques Vergès. Pour tenter de se sortir des griffes de la communauté internationale
qui l’ a cerné, dans l’ optique de le déloger du palais qu’ il squatte après avoir perdu le pouvoir,
Gbagbo qui dit ne pas aimer la France, ses dirigeants et leurs réseaux s’ attache les services de
Roland Dumas et me Vergès, deux avocats français. Quand on sait que Roland Dumas est un
pion essentiel du réseau de la Françafrique sous le régime de François Mitterrand. Dumas qui
doit se réjouir d’ arrondir ses derniers jours avec la rondelette somme de plus de 300 millions
du contribuable ivoirien a été cité dans des affaires sales. L’ on peut citer "l’ affaire ELF
Aquitain".
Laurent Gbagbo, qui trompe les Ivoiriens en se faisant passer pour le défenseur de « la
souveraineté » de la Côte d’ Ivoire contre la France est celui- là même qui a signé les contrats
les plus juteux, tant pour lui que pour ses partenaires, avec de grosses firmes françaises.
Gbagbo a tout eu de la France
Mais, avec tout cela, ce que Gbagbo ne dit pas à ses partisans qui croient encore en ses
forfanteries, c’ est que pendant son règne, il a tout fait et tout eu grâce à la France. Tout
les Ivoiriens on suivi la campagne électorale de Gbagbo faite de gigantesques panneaux
inexpressifs, qui ont inondé Abidjan. Et c’ est l’ agence française de Communication Euro
RSCG. Bien avant, pour faire croire à ses partisans qu’ il était aimé des Ivoiriens, Gbagbo
a commandité, à coups de milliards du contribuable, des sondages auprès de l’ Institut
français TNS Sofres. Gbagbo, plus que quiconque aujourd’ hui sait qu’ il doit son pouvoir à la
France. La preuve palpable est l’ interposition de la Force Licorne entre les forces loyalistes
et les Forces nouvelles à la suite de la crise du 19 septembre 2002. Les Forces nouvelles
de Guillaume Soro avaient fini par mettre en déroute les soldats loyalistes de Gbagbo pour
occuper plus de 60% du territoire ivoirien. Pour sauver le pouvoir de Gbagbo, les autorités
françaises, le président Jacques Chirac au premier chef, exigent et obtient un cesser- le feu
salvateur. La suite, on la connait. Des dossiers financiers du régime de la refondation, pour
bénéficier de l’ assistance des institutions financières internationales ont été montés, de bout
en bout, par des experts français.
Alors, d’ où vient-il que Gbagbo joue les pourfendeurs de la France et de ses dirigeants ? Lui
qui continue de tout avoir de la France, de ses dirigeants et leurs réseaux.
Comme le disait le président de la République, Alassane Ouattara, jeudi dernier dans une
interview, « Le comportement de Laurent Gbagbo est indigne de celle d’ un homme d’ Etat.»
Bénéficier des largesses de la France et faire croire qu’ on la hait, il faut être Laurent Gbagbo
pour pousser le bouchon de l’ ingratitude jusqu’ à ce point. En réalité Gbagbo a tout eu de la
France et de ses réseaux de la Françafrique.
Jean- Antoine Doudou
