Tôt le matin du mardi 05 janvier 2010, nous avons été joints au téléphone par un de nos
fidèles lecteurs, nous informant que le village de Niafouta, dans la sous-préfecture de Hiré
serait assiégé par des assaillants. Un peu plus tard, notre même source nous informe que des
individus, en tenus militaires se faisant passer pour des Fds en mission commandée, seraient
les auteurs de cette attaque. Et de nous donner les détails de cette attaque : « dans la nuit du
lundi au mardi 05 janvier 2011, notre village a reçu la visite de gens en armes qui sont venus
voler un acheteur de produits. A peine arrivés à bord d’ une voiture BMW, qu’ ils se sont mis
à tirer. La population a aussitôt réagit mettant en déroute les malfrats qui ont abandonné leur
véhicule. Alertés, les populations ont mené une battue et rattrapé deux bandits, dans un village
voisin, à Agbahou et deux autres à Didoko dont un mort », nous a affirmé notre interlocuteur.
Mais le plus cocasse dans cette affaire selon notre informateur est que : « les blessés parmi les
bandits sont les enfants et parents des hommes politiques de Divo. Selon leurs dépositions, à
la gendarmerie de Hiré, leur parrain est l’ ex-Maire et délégué départemental du Pdci-rda de
Divo, M. Ernest Boby Djépa, qui a viré au Fpi. C’ est ce nouveau transfuge de LMP qui leur
offre la logistique, gîte et couvert pour opérer. Ces écumeurs ont été engagés par le fédéral
Fpi de Divo, Boniface Attébo ». Selon d’ autres sources proches de la fédération Fpi de Divo,
ces jeunes miliciens sont aussi entretenus, armés par le Fédéral qui les utilise pour les sales
besognes. Ces miliciens font la pluie et le beau temps dans la capitale du Djiboua, volant,
pillant et traumatisant les populations. Selon des sources concordantes, les armes de guerre
qu’ ils détiennent ont été livrées par le Ministre Lida Kouassi Moïse par l’ entremise de l’ ex-
Maire Maire, Ernest Boby Djépa, pour combattre le RHDP qu’ il dit être composé de rebelles.
Selon des indiscrétions, et des sources proches des Fds, ils seraient entrain de manœuvrer
dans l’ ombre pour ne pas que cette histoire soit ébruitée.
fidèles lecteurs, nous informant que le village de Niafouta, dans la sous-préfecture de Hiré
serait assiégé par des assaillants. Un peu plus tard, notre même source nous informe que des
individus, en tenus militaires se faisant passer pour des Fds en mission commandée, seraient
les auteurs de cette attaque. Et de nous donner les détails de cette attaque : « dans la nuit du
lundi au mardi 05 janvier 2011, notre village a reçu la visite de gens en armes qui sont venus
voler un acheteur de produits. A peine arrivés à bord d’ une voiture BMW, qu’ ils se sont mis
à tirer. La population a aussitôt réagit mettant en déroute les malfrats qui ont abandonné leur
véhicule. Alertés, les populations ont mené une battue et rattrapé deux bandits, dans un village
voisin, à Agbahou et deux autres à Didoko dont un mort », nous a affirmé notre interlocuteur.
Mais le plus cocasse dans cette affaire selon notre informateur est que : « les blessés parmi les
bandits sont les enfants et parents des hommes politiques de Divo. Selon leurs dépositions, à
la gendarmerie de Hiré, leur parrain est l’ ex-Maire et délégué départemental du Pdci-rda de
Divo, M. Ernest Boby Djépa, qui a viré au Fpi. C’ est ce nouveau transfuge de LMP qui leur
offre la logistique, gîte et couvert pour opérer. Ces écumeurs ont été engagés par le fédéral
Fpi de Divo, Boniface Attébo ». Selon d’ autres sources proches de la fédération Fpi de Divo,
ces jeunes miliciens sont aussi entretenus, armés par le Fédéral qui les utilise pour les sales
besognes. Ces miliciens font la pluie et le beau temps dans la capitale du Djiboua, volant,
pillant et traumatisant les populations. Selon des sources concordantes, les armes de guerre
qu’ ils détiennent ont été livrées par le Ministre Lida Kouassi Moïse par l’ entremise de l’ ex-
Maire Maire, Ernest Boby Djépa, pour combattre le RHDP qu’ il dit être composé de rebelles.
Selon des indiscrétions, et des sources proches des Fds, ils seraient entrain de manœuvrer
dans l’ ombre pour ne pas que cette histoire soit ébruitée.