Les Habitants de Côte d’Ivoire, dans leur Grande Majorité, l’ont connu sous le pseudonyme de Turbo. Quand, dans les années 1986-1987, avec ses amis Power et Scorpio, réunis au sein de la Team RAS, ils posent leur première signature sonore sur la page musicale ivoirienne… Dans la tendance Rap-Gnaman-Gnaman-Ziguéhi qu’ils ont choisie, ils excellent et deviennent les Leaders de ce genre musical. Malheureusement, Scorpio est rappelé à Dieu quelque temps après. Mais la vie continue. Le destin suit son cours. Avec lui, les créations du Groupe RAS composé désormais de Turbo et de Power. Les succès s’enchaînent, les fans se multiplient. La notoriété nationale est acquise, une belle carrière internationale leur tend la main. Mais l’appel de Dieu est un ordre. Un odre du Créateur Suprême, auquel Turbo se plie, volontiers. Et la Foi en Christ entre en action, se manifeste en grandissant. L’artiste est oint Homme de Dieu. Il accepte d’être le Guide, le Berger. Béni et oint, il devient Docteur puis Bishop Guy Vincent Kodja. La Maison de Dieu qu’il a bâtie, a grandi. Aujourd’hui, le Temple de la Grâce où il dit la Bonne Parole, se dresse majestueusement au Plateau-Dokui. La Mission Spirituelle du Bishop s’accomplit… Avec elle, la générosité de “Papa Kodja’’, qui se manifeste au quotidien. Tant en sa Résidence qu’au Temple La Cité de la Grâce… Qui ne se rappelle pas le mémorable concert de soutien aux victimes du tremblement de terre de Haïti, qu’il a organisé en 2010 ? Une autre preuve de Don de Soi. Le Bishop Kodja, c’est aussi l’élégance et la propreté faites Homme. “Quand on le voit, on comprend tout de suite qu’il est béni. Comment quelqu’un qui prétend prier pour la bénédiction et le bonheur des autres, peut-il croupir sous le poids des problèmes et de la saleté ? Ne dit-on pas que l’or et l’argent appartiennent à Dieu ? Dieu n’a pas dit d’être sale car il a créé l’homme à son image. Donc ce qui est sûr, quand on voit le Bishop Kodja, on a envie d’aller dans son église, la Cité de la Grâce, pour avoir Grâce et Bénédiction’’, nous a confié un de ses “fils”. Qu’ajouter de plus à cette assertion, sinon qu’elle est consolidée, validée et hautement certifiée. Et la proclamation, elle, se fait d’elle-même.
SOUM Junior Moriba
SOUM Junior Moriba