Le vote d'une résolution du Conseil de sécurité sur l'envoi de 2.000 hommes supplémentaires en Côte d'Ivoire a été retardé mardi, du fait d'un désaccord de la Russie, ont indiqué des diplomates.
Ce chiffre de 2.000 hommes correspond au maximum demandé par les chefs des forces de maintien de la paix. Ces derniers craignent des affrontements de plus en plus sévères avec les forces loyales à Laurent Gbagbo qui ont attaqué des véhicules de l'ONU et des Casques bleus.
Le total des effectifs de la mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci) serait porté à 11.500 hommes contre environ 9.500 actuellement. La Russie a soulevé ces derniers jours des objections sur le contenu "politique" du projet de résolution, ont ajouté les diplomates.
On ignorait mardi quand le vote aurait lieu. Mercredi est la date limite pour la prolongation du mandat de quatre semaines de certains renforts se trouvant déjà en Côte d'Ivoire.
Les responsables des forces de maintien de la paix ont souligné que des renforts étaient urgents en raison des tensions croissantes dans le pays, où le président sortant Laurent Gbagbo refuse de céder la place à Alassane Ouattara, le président reconnu par la communauté internationale.
Ce chiffre de 2.000 hommes correspond au maximum demandé par les chefs des forces de maintien de la paix. Ces derniers craignent des affrontements de plus en plus sévères avec les forces loyales à Laurent Gbagbo qui ont attaqué des véhicules de l'ONU et des Casques bleus.
Le total des effectifs de la mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci) serait porté à 11.500 hommes contre environ 9.500 actuellement. La Russie a soulevé ces derniers jours des objections sur le contenu "politique" du projet de résolution, ont ajouté les diplomates.
On ignorait mardi quand le vote aurait lieu. Mercredi est la date limite pour la prolongation du mandat de quatre semaines de certains renforts se trouvant déjà en Côte d'Ivoire.
Les responsables des forces de maintien de la paix ont souligné que des renforts étaient urgents en raison des tensions croissantes dans le pays, où le président sortant Laurent Gbagbo refuse de céder la place à Alassane Ouattara, le président reconnu par la communauté internationale.