ABIDJAN - Des quartiers pro-Gbagbo sont atteints par la grève générale illimitée lancée depuis mardi par le camp Ouattara.
Selon le constat de Xinhua, le transport a été fortement perturbé mercredi à Yopougon et Cocody (favorables à Gbagbo) où les mini cars de transport urbains appelés "gbakas" n`ont pas roulé alors qu`ils avaient circulé mardi.
Les travailleurs habitant ces zones ont ainsi éprouvé d`énormes difficultés à se rendre dans leurs services.
Tout comme mardi, les secteurs pro-Ouattara eux ont présenté le même décor au deuxième jour de l`opération "pays mort".
Les activités économiques ont été de nouveau perturbées dans le quartier d`Adjamé abritant la grande gare routière et les magasins de gros, ainsi que dans les quartiers d`Abobo et de Treichville où la plupart des magasins étaient fermés.
"La situation des commerçants s`est dégradée avec la crise post électorale. Nous subissons de lourdes pertes avec l`opération `pays mort`, mais nous respectons tout de même le mot d`ordre", a confié le secrétaire général adjoint de l`union nationale des commerçants de Côte d`Ivoire ( UNCCI) Cissé Hamed.
Si certains commerçants comme lui ont fermé pour suivre le mot d`ordre repris par des responsables syndicaux de commerçants et transporteurs, d`autres opérateurs économiques ont préféré fermer par crainte de violences, de pillages ou encore de représailles.
C`est le cas du supermarché "Trade center" tenu par des ressortissants libanais et du grand magasin "La foire de Chine" tenu par des ressortissants chinois où l`on a fermé pour observer la prudence.
La crise entre Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo secoue la Côte d`Ivoire depuis le second tour de la présidentielle.
Le camp Ouattara tente de multiplier sur le terrain des actions populaires visant à "faire partir Gbagbo du pouvoir."
Une seconde médiation entreprise lundi et mardi par le premier ministre kenyan Raila Odinga pour le compte de l`Union africaine s`est avérée encore une fois infructueuse.
Selon le constat de Xinhua, le transport a été fortement perturbé mercredi à Yopougon et Cocody (favorables à Gbagbo) où les mini cars de transport urbains appelés "gbakas" n`ont pas roulé alors qu`ils avaient circulé mardi.
Les travailleurs habitant ces zones ont ainsi éprouvé d`énormes difficultés à se rendre dans leurs services.
Tout comme mardi, les secteurs pro-Ouattara eux ont présenté le même décor au deuxième jour de l`opération "pays mort".
Les activités économiques ont été de nouveau perturbées dans le quartier d`Adjamé abritant la grande gare routière et les magasins de gros, ainsi que dans les quartiers d`Abobo et de Treichville où la plupart des magasins étaient fermés.
"La situation des commerçants s`est dégradée avec la crise post électorale. Nous subissons de lourdes pertes avec l`opération `pays mort`, mais nous respectons tout de même le mot d`ordre", a confié le secrétaire général adjoint de l`union nationale des commerçants de Côte d`Ivoire ( UNCCI) Cissé Hamed.
Si certains commerçants comme lui ont fermé pour suivre le mot d`ordre repris par des responsables syndicaux de commerçants et transporteurs, d`autres opérateurs économiques ont préféré fermer par crainte de violences, de pillages ou encore de représailles.
C`est le cas du supermarché "Trade center" tenu par des ressortissants libanais et du grand magasin "La foire de Chine" tenu par des ressortissants chinois où l`on a fermé pour observer la prudence.
La crise entre Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo secoue la Côte d`Ivoire depuis le second tour de la présidentielle.
Le camp Ouattara tente de multiplier sur le terrain des actions populaires visant à "faire partir Gbagbo du pouvoir."
Une seconde médiation entreprise lundi et mardi par le premier ministre kenyan Raila Odinga pour le compte de l`Union africaine s`est avérée encore une fois infructueuse.