L'appel à une opération "pays mort" en Côte d'Ivoire, lancée par le camp d'Alassane Ouattara pour renforcer la pression en vue d'un départ de Laurent Gbagbo de la présidence, semblait bien suivi mardi à Abidjan dans ses bastions mais très peu ailleurs, a constaté l'AFP.
Dans les quartiers populaires Abobo et Adjamé, fiefs du camp Ouattara, placé sous couvre-feu nocture depuis près d'une semaine en ce qui concerne Abobo suite à des violences meurtrières, la circulation était très limitée et de nombreux magasins étaient fermés.
Les cours dans les écoles étaient également pertubés tout comme les transports publics. "Nous sommes fatigués de ces perturbations (...) On veut vaquer à nos occupations", se plaignait une dame, dans l'attente d'un autobus.
A Abobo, des commerces étaient fermés, les bus étaient rares et de nombreux habitants se déplaçaient à pied pour se rendre au travail dans d'autres quartiers.
En revanche, dans les quartiers de Yopougon (ouest), du Plateau (quartier des affaires) et dans celui chic et résidentiel de Cocody, l'activité était normale, celle des transports comme des commerces notamment.
A Bouaké, ville du centre du pays et fief de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) qui soutient Alassane Ouattara, rival du président sortant, les banques et les écoles étaient fermées mardi à la mi-journée.
Les marchés et les principaux commerces étaient ouverts et les transports en commun fonctionnaient normalement, a constaté un journaliste de l'AFP.
Dans les quartiers populaires Abobo et Adjamé, fiefs du camp Ouattara, placé sous couvre-feu nocture depuis près d'une semaine en ce qui concerne Abobo suite à des violences meurtrières, la circulation était très limitée et de nombreux magasins étaient fermés.
Les cours dans les écoles étaient également pertubés tout comme les transports publics. "Nous sommes fatigués de ces perturbations (...) On veut vaquer à nos occupations", se plaignait une dame, dans l'attente d'un autobus.
A Abobo, des commerces étaient fermés, les bus étaient rares et de nombreux habitants se déplaçaient à pied pour se rendre au travail dans d'autres quartiers.
En revanche, dans les quartiers de Yopougon (ouest), du Plateau (quartier des affaires) et dans celui chic et résidentiel de Cocody, l'activité était normale, celle des transports comme des commerces notamment.
A Bouaké, ville du centre du pays et fief de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) qui soutient Alassane Ouattara, rival du président sortant, les banques et les écoles étaient fermées mardi à la mi-journée.
Les marchés et les principaux commerces étaient ouverts et les transports en commun fonctionnaient normalement, a constaté un journaliste de l'AFP.