Depuis l’avènement de Mme Biabi Louisa à la direction de l’ECG (Ecole de gestion et de commerce), sise à Marcory zone-4, la couleur du ciel est décidemment passée du gris au bleu.
Réputée être un établissement de prestige et de formation des élites en matière des sciences de gestion et de la comptabilité, L’Ecole de Commerce et de Gestion (ECG) a traversé, ces dernières années, une période trouble et tumultueuse, marquée, notamment, par plusieurs mois d’arriérés de salaires au niveau du personnel, par une perte de son crédit et de son label auprès des chefs d’entreprises, ses principaux partenaires. Affectée en début de cette année à la tête de l’Ecole, Mme Biabi se fixe aussitôt des objectifs à atteindre en priorité : restaurer le blason de l’établissement, assainir et restaurer les finances, ce qui passe par le règlement des nombreux mois arriérés de salaires, le rétablissement de la confiance avec les patrons d’entreprises et l’amélioration de la performance des résultats des étudiants. Au bout de quelques mois seulement, les travailleurs de cette structure, ont retrouvé le sourire et la joie au travail, grâce à l’assainissement des caisses de l’Ecole. Ensuite, la restauration des relations avec le patronat du privé. Un exercice périlleux pour lequel Mme Biabi a dû user de ses talents de grand manager et de dirigeant persuasif pour arriver à convaincre le uns et les autres de rétablir le contrat qui les a toujours liés à l’ECG. Aujourd’hui, les clignotants sont au vert. Enfin, la directrice de l’Ecole de gestion et de commerce, se souvenant sans doute des performances qui firent sa renommée lorsqu’elle dirigeait le lycée de filles de Bouaké, n’eut aucune difficulté à dupliquer ses schémas sur les étudiants de l’ECG. Les indicateurs sont déjà probants et augurent de résultats de fin d’année au-delà de toute espérance. La prestigieuse Ecole de la zone 4, est en passe de redorer son blason. Les chefs d’entreprises se bousculent au portillon pour s’arroger le fleuron dans les domaines de la comptabilité et de la gestion que seule l’ECG a la réputation, au plan national, de mettre à la disposition des grosses entreprises du secteur privé .
Touethey G
Réputée être un établissement de prestige et de formation des élites en matière des sciences de gestion et de la comptabilité, L’Ecole de Commerce et de Gestion (ECG) a traversé, ces dernières années, une période trouble et tumultueuse, marquée, notamment, par plusieurs mois d’arriérés de salaires au niveau du personnel, par une perte de son crédit et de son label auprès des chefs d’entreprises, ses principaux partenaires. Affectée en début de cette année à la tête de l’Ecole, Mme Biabi se fixe aussitôt des objectifs à atteindre en priorité : restaurer le blason de l’établissement, assainir et restaurer les finances, ce qui passe par le règlement des nombreux mois arriérés de salaires, le rétablissement de la confiance avec les patrons d’entreprises et l’amélioration de la performance des résultats des étudiants. Au bout de quelques mois seulement, les travailleurs de cette structure, ont retrouvé le sourire et la joie au travail, grâce à l’assainissement des caisses de l’Ecole. Ensuite, la restauration des relations avec le patronat du privé. Un exercice périlleux pour lequel Mme Biabi a dû user de ses talents de grand manager et de dirigeant persuasif pour arriver à convaincre le uns et les autres de rétablir le contrat qui les a toujours liés à l’ECG. Aujourd’hui, les clignotants sont au vert. Enfin, la directrice de l’Ecole de gestion et de commerce, se souvenant sans doute des performances qui firent sa renommée lorsqu’elle dirigeait le lycée de filles de Bouaké, n’eut aucune difficulté à dupliquer ses schémas sur les étudiants de l’ECG. Les indicateurs sont déjà probants et augurent de résultats de fin d’année au-delà de toute espérance. La prestigieuse Ecole de la zone 4, est en passe de redorer son blason. Les chefs d’entreprises se bousculent au portillon pour s’arroger le fleuron dans les domaines de la comptabilité et de la gestion que seule l’ECG a la réputation, au plan national, de mettre à la disposition des grosses entreprises du secteur privé .
Touethey G