La capitale économique desserre un peu l’étau alors que les villes de l’intérieur restent toujours paralysées.
Lancée le lundi 17 janvier, l’opération ‘’pays mort’’ qui, selon le Rhdp, devait consacrer le départ de Laurent Gbagbo du pouvoir a été diversement accueillie par les transporteurs, opérateurs économiques et autres couches socioprofessionnelles. A Yopougon, fief de Laurent Gbagbo, les magasins ont ouvert hier. Les marchés également continuent d’accueillir du monde. Les premiers jours de grève, les consommateurs, par crainte, n’avaient pas afflué vers les marchés. Mais, la peur semble passée et ils vaguent à leurs occupations. Quant aux taxis communaux et gbaka, ils n’ont pas arrêté de circuler depuis le premier jour du débrayage. Hier, encore, les mini cars desservaient Adjamé Liberté, gare nord et Mosquée. Dans la commune, les taxis communaux ont également continué leur ronde quotidienne. Si le mardi 18 janvier, certains taxis ont été pris à partie à Port-Bouët II, pour avoir contourné la grève, le calme y est revenu depuis mercredi. Et les véhicules pouvaient circuler à nouveau. A Williamsville, les taxis communaux reliant la commune d’Adjamé ont repris pour quelques uns. Cette relance des activités intervient après quatre jours d’arrêt total de travail des transporteurs locaux. Du côté de Cocody tout comme à Treichville, les activités n’ont pas connu de perturbation majeure. Dans la seconde, les wôro-wôro qui servent Adjamé continuent de rouler. Idem pour les 504 allant jusqu’à Grand Bassam, en passant par Koumassi et Port-Bouët. Les opérateurs économiques de cette municipalité n’ont pas donné l’écho escompté à l’appel des houphouëtistes pour la démocratie. Les commerces étaient ouverts. Mais à Abobo, le transport n’a pas totalement repris. Seule la route du zoo connait un léger trafic. Et cela depuis trois jours. Les gbaka en partance d’Adjamé Liberté se limitent à Abobo-Samaké. Ils n’osent pas s’aventurer au-delà de cette limite par mesure de sécurité.
K. Anderson
Lancée le lundi 17 janvier, l’opération ‘’pays mort’’ qui, selon le Rhdp, devait consacrer le départ de Laurent Gbagbo du pouvoir a été diversement accueillie par les transporteurs, opérateurs économiques et autres couches socioprofessionnelles. A Yopougon, fief de Laurent Gbagbo, les magasins ont ouvert hier. Les marchés également continuent d’accueillir du monde. Les premiers jours de grève, les consommateurs, par crainte, n’avaient pas afflué vers les marchés. Mais, la peur semble passée et ils vaguent à leurs occupations. Quant aux taxis communaux et gbaka, ils n’ont pas arrêté de circuler depuis le premier jour du débrayage. Hier, encore, les mini cars desservaient Adjamé Liberté, gare nord et Mosquée. Dans la commune, les taxis communaux ont également continué leur ronde quotidienne. Si le mardi 18 janvier, certains taxis ont été pris à partie à Port-Bouët II, pour avoir contourné la grève, le calme y est revenu depuis mercredi. Et les véhicules pouvaient circuler à nouveau. A Williamsville, les taxis communaux reliant la commune d’Adjamé ont repris pour quelques uns. Cette relance des activités intervient après quatre jours d’arrêt total de travail des transporteurs locaux. Du côté de Cocody tout comme à Treichville, les activités n’ont pas connu de perturbation majeure. Dans la seconde, les wôro-wôro qui servent Adjamé continuent de rouler. Idem pour les 504 allant jusqu’à Grand Bassam, en passant par Koumassi et Port-Bouët. Les opérateurs économiques de cette municipalité n’ont pas donné l’écho escompté à l’appel des houphouëtistes pour la démocratie. Les commerces étaient ouverts. Mais à Abobo, le transport n’a pas totalement repris. Seule la route du zoo connait un léger trafic. Et cela depuis trois jours. Les gbaka en partance d’Adjamé Liberté se limitent à Abobo-Samaké. Ils n’osent pas s’aventurer au-delà de cette limite par mesure de sécurité.
K. Anderson