Samedi 5 février dernier, s’est tenue, à Paris, dans le 11ème, une conférence-débat en présence de Me Affoussy Bamba (F.N), Marcel Youpeh (Udpci), Mah Sogona Bamba (Rdr), Leontine Ohowo(Pdci), Dosso Bakary (DDC ADO) et de plusieurs mouvements et clubs de soutien au RHDP de France. Au terme des échanges, les participants ont convenu de mener des actions vigoureuses susceptibles de déloger le dictateur Laurent Gbagbo. La mobilisation était de taille !
Les Ivoiriens qui résident en France sont exaspérés de la crise post-électorale qui, en dépit des efforts consentis par la communauté internationale traine encore et continue de freiner le développement du pays. Par milliers, ces compatriotes qui résident au-delà des mers se préparent activement à rentrer au pays pour jouer leur rôle dans les derniers actes du film du départ de Laurent Gbagbo. La décision a été prise ce samedi au cours de la conférence publique animée à l’espace Ageca dans le 11ème arrondissement de Paris par Touré Mamadou, président de la Coalition pour le changement (Cpc) avec l’appui des sections françaises du Rjdp, du Mouvement Notre Alassane Dramane Ouattara (Mon-ADO) et l’association ADO-Solutions. Entouré de Me Affoussy Bamba, porte-parole des Forces nouvelles et de Mme Mah Sogona Bamba, conseillère en communication du Président de la République, Touré Mamadou, intervenant sur le thème « Côte d’Ivoire, comment faire partir Laurent Gbagbo », a indiqué d’entrée que toutes les négociations ont atteint leur limite dans la gestion de la crise post-électorale. « C’est vrai qu’il y a des médiations, mais ces missions de bons offices ont montré leurs limites. Depuis le 16 décembre 2010, nous avons initié au niveau local des actions citoyennes. Mais aujourd’hui, ces actions ont atteint aussi leurs limites dans l’objectif de faire partir Laurent Gbagbo. Il nous faut donc réfléchir à d’autres types d’actions plus efficaces que les opérations villes mortes », a recommandé le président de la Cpc. Poursuivant, Touré Mamadou au demandé au Président Alassane Ouattara de signer dans l’urgence un décret d’intégration de certains éléments des F.N dans l’armée régulière. « Toute révolution ou toute action civile a forcément besoin de soutien militaire pour être plus décisive.
Dans les casernes, 63% des militaires ont voté pour le candidat Alassane Ouattara. Maintenant qu’il est élu, nous demandons au chef de l’Etat de prendre un décret pour intégrer d’office, les 5000 Volontaires pour l’armée nouvelle afin qu’ils viennent soutenir les éléments des FDS qui sont restés républicains pour protéger les populations et prendre toutes les initiatives, sans aucune restriction qui pourront mettre Laurent Gbagbo hors d’état de nuire », a ajouté Touré Mamadou qui a salué l’unité et la cohésion au sein de la jeunesse du Rhdp de France qui ont permis la libération des locaux l’Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris. Notons que cette conférence a vu la participation des responsables du Rhdp de France au rang desquels son porte-parole Marcel Youpeh, Mme Ohowa Léonntine délégué Pdci de France et Bakary Dosso, DDC du candidat ADO à Paris et dans l’île de France. Après la capitale française, Touré Mamadou mettra le cap sur Londres, Bruxelles et Genève pour sensibiliser les Ivoiriens de la diaspora à engager l’ultime combat pour chasser Laurent Gbagbo du pouvoir.
Une correspondance particulière
Les Ivoiriens qui résident en France sont exaspérés de la crise post-électorale qui, en dépit des efforts consentis par la communauté internationale traine encore et continue de freiner le développement du pays. Par milliers, ces compatriotes qui résident au-delà des mers se préparent activement à rentrer au pays pour jouer leur rôle dans les derniers actes du film du départ de Laurent Gbagbo. La décision a été prise ce samedi au cours de la conférence publique animée à l’espace Ageca dans le 11ème arrondissement de Paris par Touré Mamadou, président de la Coalition pour le changement (Cpc) avec l’appui des sections françaises du Rjdp, du Mouvement Notre Alassane Dramane Ouattara (Mon-ADO) et l’association ADO-Solutions. Entouré de Me Affoussy Bamba, porte-parole des Forces nouvelles et de Mme Mah Sogona Bamba, conseillère en communication du Président de la République, Touré Mamadou, intervenant sur le thème « Côte d’Ivoire, comment faire partir Laurent Gbagbo », a indiqué d’entrée que toutes les négociations ont atteint leur limite dans la gestion de la crise post-électorale. « C’est vrai qu’il y a des médiations, mais ces missions de bons offices ont montré leurs limites. Depuis le 16 décembre 2010, nous avons initié au niveau local des actions citoyennes. Mais aujourd’hui, ces actions ont atteint aussi leurs limites dans l’objectif de faire partir Laurent Gbagbo. Il nous faut donc réfléchir à d’autres types d’actions plus efficaces que les opérations villes mortes », a recommandé le président de la Cpc. Poursuivant, Touré Mamadou au demandé au Président Alassane Ouattara de signer dans l’urgence un décret d’intégration de certains éléments des F.N dans l’armée régulière. « Toute révolution ou toute action civile a forcément besoin de soutien militaire pour être plus décisive.
Dans les casernes, 63% des militaires ont voté pour le candidat Alassane Ouattara. Maintenant qu’il est élu, nous demandons au chef de l’Etat de prendre un décret pour intégrer d’office, les 5000 Volontaires pour l’armée nouvelle afin qu’ils viennent soutenir les éléments des FDS qui sont restés républicains pour protéger les populations et prendre toutes les initiatives, sans aucune restriction qui pourront mettre Laurent Gbagbo hors d’état de nuire », a ajouté Touré Mamadou qui a salué l’unité et la cohésion au sein de la jeunesse du Rhdp de France qui ont permis la libération des locaux l’Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris. Notons que cette conférence a vu la participation des responsables du Rhdp de France au rang desquels son porte-parole Marcel Youpeh, Mme Ohowa Léonntine délégué Pdci de France et Bakary Dosso, DDC du candidat ADO à Paris et dans l’île de France. Après la capitale française, Touré Mamadou mettra le cap sur Londres, Bruxelles et Genève pour sensibiliser les Ivoiriens de la diaspora à engager l’ultime combat pour chasser Laurent Gbagbo du pouvoir.
Une correspondance particulière