Dans notre livraison d'hier mercredi 09 février, nous rapportions des exécutions à Abobo PK-18.
Au nombre des trois victimes qui ont été égorgées, une seule a pu être identifiée comme étant Siaka Traoré. Depuis la publication de cet article, les langues se sont déliées autour des deux autres victimes non identifiées. L'une d'entre elles a été présentée comme étant le Caporal-chef Dago Séri, en service à la Garde Républicaine (GR) mais détaché à la sécurité d'un leader de la galaxie patriotique.
''C'est depuis samedi dernier que le Caporal Dago a quitté son domicile pour ne plus y retourner. Il s'est rendu à la banque pour faire un retrait. Malheureusement, sur le chemin du retour, il s'est retrouvé au mauvais moment et au mauvais endroit ; puisque depuis cette date, il est injoignable sur son téléphone portable'', a confié une source proche de la victime qui a joint notre Rédaction, hier, en fin de matinée.
Pourquoi a-t-il été exécuté aussi sauvagement en même temps que les autres victimes ? Et par qui ? Telles sont les questions essentielles qui restent, pour l'heure, sans réponse.
G. DE GNAMIEN
Au nombre des trois victimes qui ont été égorgées, une seule a pu être identifiée comme étant Siaka Traoré. Depuis la publication de cet article, les langues se sont déliées autour des deux autres victimes non identifiées. L'une d'entre elles a été présentée comme étant le Caporal-chef Dago Séri, en service à la Garde Républicaine (GR) mais détaché à la sécurité d'un leader de la galaxie patriotique.
''C'est depuis samedi dernier que le Caporal Dago a quitté son domicile pour ne plus y retourner. Il s'est rendu à la banque pour faire un retrait. Malheureusement, sur le chemin du retour, il s'est retrouvé au mauvais moment et au mauvais endroit ; puisque depuis cette date, il est injoignable sur son téléphone portable'', a confié une source proche de la victime qui a joint notre Rédaction, hier, en fin de matinée.
Pourquoi a-t-il été exécuté aussi sauvagement en même temps que les autres victimes ? Et par qui ? Telles sont les questions essentielles qui restent, pour l'heure, sans réponse.
G. DE GNAMIEN