Le candidat du FPI n’a pas gagné la dernière présidentielle. Il a été battu à la régulière par le porte-flambeau des Houphouétistes. Jamais le bon peuple de Côte d’Ivoire qui a choisi, en son âme et conscience, celui qui doit présider à sa destinée pour les cinq années à venir, ne laissera aucun individu ou aucun Etat, si puissant soit-il, froisser sa volonté affichée à l’occasion de cette élection présidentielle.. Tous ceux qui d’une manière ou d’une autre, en ligne droite ou par des chemins tortueux, aident le candidat perdant, à confisquer le pouvoir, subiront, un jour ou l’autre, sa colère.
Car, le peuple, c’est Dieu. Le 28 novembre dernier, Dieu a donc parlé au monde entier. Il a accédé aux prières de ses filles et fils. Pour le bonheur du bon peuple de Côte d’Ivoire, donc pour son propre plaisir, il a donné à notre carré, le chef qu’il lui faut pour l’aider à relever les défis du futur.
Ceux qui veulent entraver cette marche vers le bonheur, doivent savoir qu’ils choisissent le camp des ennemis de la Côte d’Ivoire. Le mauvais camp. Le camp des méchants. Ils en subiront, tôt ou tard, les conséquences. Tout pays qui joue à ce jeu verra son crédit international en prendre un coup. Tout intellectuel qui prêtera son sérieux à cette funeste entreprise, la verra s’effriter. Tout écrivain qui soutiendra pareille hérésie, verra son inspiration tarir comme un lac en plein désert. La cause du Machiavel des Lagunes n’est pas à défendre. Son combat n’est nullement celui de la dignité africaine. Jamais, il n’a promu la démocratie. Dans son pays, il a massacré une quantité impressionnante de citoyens qui ont eu le tort de ne pas lui vouer un culte du chef, digne de l’Egypte pharaonique. Sa méthode de gestion des hommes a fait plus de morts que la guerre du Biafra au Nigeria. Ses victimes sont aussi célèbres que celles de l’apartheid en Afrique du sud.
Tous les hommes de progrès, de justice, tous les humanistes, tous ceux qui ont la crainte de Dieu doivent s’unir pour mettre fin aux agissements du chef de la refondation en Côte d’Ivoire. Car, c’est à partir de lui que l’on saura qui, en réalité, lutte pour l’émancipation des peuples et qui ne fait que semer du vent. Les peuples ont de la mémoire. Ne l’oublions pas !
Raoul Mapiéchon
Car, le peuple, c’est Dieu. Le 28 novembre dernier, Dieu a donc parlé au monde entier. Il a accédé aux prières de ses filles et fils. Pour le bonheur du bon peuple de Côte d’Ivoire, donc pour son propre plaisir, il a donné à notre carré, le chef qu’il lui faut pour l’aider à relever les défis du futur.
Ceux qui veulent entraver cette marche vers le bonheur, doivent savoir qu’ils choisissent le camp des ennemis de la Côte d’Ivoire. Le mauvais camp. Le camp des méchants. Ils en subiront, tôt ou tard, les conséquences. Tout pays qui joue à ce jeu verra son crédit international en prendre un coup. Tout intellectuel qui prêtera son sérieux à cette funeste entreprise, la verra s’effriter. Tout écrivain qui soutiendra pareille hérésie, verra son inspiration tarir comme un lac en plein désert. La cause du Machiavel des Lagunes n’est pas à défendre. Son combat n’est nullement celui de la dignité africaine. Jamais, il n’a promu la démocratie. Dans son pays, il a massacré une quantité impressionnante de citoyens qui ont eu le tort de ne pas lui vouer un culte du chef, digne de l’Egypte pharaonique. Sa méthode de gestion des hommes a fait plus de morts que la guerre du Biafra au Nigeria. Ses victimes sont aussi célèbres que celles de l’apartheid en Afrique du sud.
Tous les hommes de progrès, de justice, tous les humanistes, tous ceux qui ont la crainte de Dieu doivent s’unir pour mettre fin aux agissements du chef de la refondation en Côte d’Ivoire. Car, c’est à partir de lui que l’on saura qui, en réalité, lutte pour l’émancipation des peuples et qui ne fait que semer du vent. Les peuples ont de la mémoire. Ne l’oublions pas !
Raoul Mapiéchon
