REPORTAGE - Les ressortissants des pays voisins, suspectés de soutenir Ouattara et les ex-rebelles du Nord, craignent une répression si les chefs d’Etat africains contraignent Gbagbo à quitter le pouvoir.
La peur est sur Abidjan. Elle l’est depuis le second tour de la présidentielle, le 28 novembre, en particulier dans les quartiers populaires comme Abobo, où des heurts ont fait au moins six morts lundi. Raison de ces affrontements : des policiers ont tiré dans la foule depuis une voiture, provoquant une émeute dans ce fief des partisans d’Alassane Ouattara, déclaré élu par la Commission électorale indépendante mais qui vit depuis deux mois retranché avec son équipe dans l’hôtel du Golf.
La crainte est aussi sur l’avenue 1, à Treichville, quartier proche du... suite de l'article sur Libération
La peur est sur Abidjan. Elle l’est depuis le second tour de la présidentielle, le 28 novembre, en particulier dans les quartiers populaires comme Abobo, où des heurts ont fait au moins six morts lundi. Raison de ces affrontements : des policiers ont tiré dans la foule depuis une voiture, provoquant une émeute dans ce fief des partisans d’Alassane Ouattara, déclaré élu par la Commission électorale indépendante mais qui vit depuis deux mois retranché avec son équipe dans l’hôtel du Golf.
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