L’étau se resserre un peu plus sur le régime illégal de Laurent Gbagbo. L’information est de taille et vient des milieux financiers et diplomatiques très au parfum du dossier ivoirien. Transparency International, une ONG internationale qui lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent, s’est
autosaisie à l’effet d’enquêter sur les crimes économiques et biens mal acquis des Refondateurs. Selon nos sources, cette organisation internationale très redoutée des dirigeants corrompus du monde s’est décidée à mener cette action contre les tenants du pouvoir illégal de Gbagbo suite aux sanctions à leur infligées depuis le mois de décembre dernier par l’Union européenne et à
toutes les personnes physiques ou morales qui les soutiennent dans leur tentative de hold-up électoral au détriment du président démocratiquement élu, Alassane Ouattara. De sources concordantes, Transparency détient déjà des dossiers en béton contre Gbagbo et sa camarilla de prédateurs de deniers publics. Tant les dossiers sales de la République, en termes de crimes
économiques, sous le règne baroque de Gbagbo et son clan sont légions. ¨Point n’est besoin de rappeler les scandales tels que celui de la filière café cacao, des déchets toxiques, des maisons de placement communément appelées « les banques volantes », des blanchiments d’argent à travers l’achat de milliers d’hectares de plantation d’hévéa, la création d’entreprises fictives avec la complicité de délinquants financiers etc. Dans tous ces scandales, les barons du régime FPI sont impliqués jusqu’au cou. Transparency a investi tous les domaines en vu de traquer les bandits à col blanc. L’organisation internationale est d’autant réconfortée dans sa démarche que le régime putschiste de Gbagbo s’est permis de braquer l’Agence nationale de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest. Suite à cette autre forfaiture de Gbagbo et son clan, dont le seul but est de créer le chaos économique dans le pays, le Gouvernement du président Alassane Ouattara a promis que ce crime économique ne resterait pas impuni. Joignant l’acte à la parole, selon une source de la haute Finance basée à Dakar, le Gouvernement de l’Etat de Côte
d’Ivoire a saisi le TRACFINC qui est une cellule française de Traitement du renseignement et d’action contre les circuits financiers clandestins. Les comptes secrets des dignitaires de la refondation seront suivis à la trace par cette structure en collaboration avec une autre très efficace dans la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme
international. Il s’agit, selon la même source, du GAFI, groupe d’action financière. Toujours selon nos interlocuteurs, les investigations préliminaires de ces structures ont permis de découvrir que les refondateurs sont dans tous les milieux mafieux avec des connexions insoupçonnées qui s’étendent des pays de l’Afrique centrale ou australe (Angola, Guinée équatoriale, Congo
Brazzaville, Afrique du Sud) au Liban en passant par les paradis fiscaux en Europe et en Asie. Les refondateurs sont aujourd’hui sous haute surveillance des structures qui luttent les biens mal acquis. En outre, nos sources annoncent que bientôt Interpol et le FBI vont entrer en scène.
Ibrahima B. Kamagaté
autosaisie à l’effet d’enquêter sur les crimes économiques et biens mal acquis des Refondateurs. Selon nos sources, cette organisation internationale très redoutée des dirigeants corrompus du monde s’est décidée à mener cette action contre les tenants du pouvoir illégal de Gbagbo suite aux sanctions à leur infligées depuis le mois de décembre dernier par l’Union européenne et à
toutes les personnes physiques ou morales qui les soutiennent dans leur tentative de hold-up électoral au détriment du président démocratiquement élu, Alassane Ouattara. De sources concordantes, Transparency détient déjà des dossiers en béton contre Gbagbo et sa camarilla de prédateurs de deniers publics. Tant les dossiers sales de la République, en termes de crimes
économiques, sous le règne baroque de Gbagbo et son clan sont légions. ¨Point n’est besoin de rappeler les scandales tels que celui de la filière café cacao, des déchets toxiques, des maisons de placement communément appelées « les banques volantes », des blanchiments d’argent à travers l’achat de milliers d’hectares de plantation d’hévéa, la création d’entreprises fictives avec la complicité de délinquants financiers etc. Dans tous ces scandales, les barons du régime FPI sont impliqués jusqu’au cou. Transparency a investi tous les domaines en vu de traquer les bandits à col blanc. L’organisation internationale est d’autant réconfortée dans sa démarche que le régime putschiste de Gbagbo s’est permis de braquer l’Agence nationale de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest. Suite à cette autre forfaiture de Gbagbo et son clan, dont le seul but est de créer le chaos économique dans le pays, le Gouvernement du président Alassane Ouattara a promis que ce crime économique ne resterait pas impuni. Joignant l’acte à la parole, selon une source de la haute Finance basée à Dakar, le Gouvernement de l’Etat de Côte
d’Ivoire a saisi le TRACFINC qui est une cellule française de Traitement du renseignement et d’action contre les circuits financiers clandestins. Les comptes secrets des dignitaires de la refondation seront suivis à la trace par cette structure en collaboration avec une autre très efficace dans la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme
international. Il s’agit, selon la même source, du GAFI, groupe d’action financière. Toujours selon nos interlocuteurs, les investigations préliminaires de ces structures ont permis de découvrir que les refondateurs sont dans tous les milieux mafieux avec des connexions insoupçonnées qui s’étendent des pays de l’Afrique centrale ou australe (Angola, Guinée équatoriale, Congo
Brazzaville, Afrique du Sud) au Liban en passant par les paradis fiscaux en Europe et en Asie. Les refondateurs sont aujourd’hui sous haute surveillance des structures qui luttent les biens mal acquis. En outre, nos sources annoncent que bientôt Interpol et le FBI vont entrer en scène.
Ibrahima B. Kamagaté