Le secteur bancaire ivoirien est en danger. Après le braquage de la Bceao (Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'ouest) et de la Brvm (Banque régionale des valeurs mobilières), les refondateurs ont décidé de jeter leur dévolu sur toutes les banques afin de se servir royalement et utiliser l'argent pour se maintenir au pouvoir, acheter des armes et payer les mercenaires. La
Bceao depuis Dakar où se trouve l'agence centrale de cette institution, a même dénoncé ce braquage et cela, par la voix du Conseil des ministres de l'Uemoa.
Cette entité avait à cet effet, mis en garde Laurent Gbagbo contre ces écarts qui désorganisent le système bancaire. Comme si cela ne suffisait pas et les vieilles habitudes ayant la peau dure, des indiscrétions font état d'autres actions imminentes. Dans les officines de Lmp (La majorité présidentielle), un autre plan a été concocté pour braquer les banques privées. Les partisans de
Lmp qui servent dans les banques commerciales ont déjà été identifiés tout comme certains agents, qui, selon certaines sources, ont déjà été corrompus à l'effet de porter l'estocade à leur banque. Et dans les jours à venir, les banques qui vont faire les frais de la boulimie de Lmp par le truchement d'un braquage, ont été déjà ciblées. Il s'agit de la Sgbci, la Bicici, la Baci, la Citibank, Ecobank et la Sib. Ce sont donc les populations qui vont payer un lourd tribut à cette
bassesse de Lmp qui n'arrive plus à honorer les engagements liés à de sales besognes. Cette information à prendre au sérieux circule dans le cercle restreint des banquiers. Pour montrer tout le crédit accordé à cette nouvelle, des patrons de certaines banques ont décidé de rentrer discrètement dans leurs pays ou carrément de se mettre à l'abri dans un endroit sûr. Les départs
de ces patrons de banques suscitent bien des interrogations auprès des employés qui eux aussi n'entendent pas mettre leur vie en péril. Surtout que ces ''boss'' sont partis sur la pointe des pieds. La course effrénée à l'argent fait donc perdre les pédales à la majorité présidentielle qui veut transformer la Côte d'Ivoire en un pays sans foi ni loi. Et considérer les banques comme des
structures n'appartenant à personne. Les établissements financiers et bancaires qui souffrent déjà du système de compense manuelle très fastidieux ne voudraient donc pas subir le même sort que la Bceao et la Brvm. Face à cette information récurrente de braquage qui a fait fuir cette semaine de hauts responsables, la fermeture de banques la semaine prochaine, est de plus en
plus à l'ordre du jour.
JEA
Bceao depuis Dakar où se trouve l'agence centrale de cette institution, a même dénoncé ce braquage et cela, par la voix du Conseil des ministres de l'Uemoa.
Cette entité avait à cet effet, mis en garde Laurent Gbagbo contre ces écarts qui désorganisent le système bancaire. Comme si cela ne suffisait pas et les vieilles habitudes ayant la peau dure, des indiscrétions font état d'autres actions imminentes. Dans les officines de Lmp (La majorité présidentielle), un autre plan a été concocté pour braquer les banques privées. Les partisans de
Lmp qui servent dans les banques commerciales ont déjà été identifiés tout comme certains agents, qui, selon certaines sources, ont déjà été corrompus à l'effet de porter l'estocade à leur banque. Et dans les jours à venir, les banques qui vont faire les frais de la boulimie de Lmp par le truchement d'un braquage, ont été déjà ciblées. Il s'agit de la Sgbci, la Bicici, la Baci, la Citibank, Ecobank et la Sib. Ce sont donc les populations qui vont payer un lourd tribut à cette
bassesse de Lmp qui n'arrive plus à honorer les engagements liés à de sales besognes. Cette information à prendre au sérieux circule dans le cercle restreint des banquiers. Pour montrer tout le crédit accordé à cette nouvelle, des patrons de certaines banques ont décidé de rentrer discrètement dans leurs pays ou carrément de se mettre à l'abri dans un endroit sûr. Les départs
de ces patrons de banques suscitent bien des interrogations auprès des employés qui eux aussi n'entendent pas mettre leur vie en péril. Surtout que ces ''boss'' sont partis sur la pointe des pieds. La course effrénée à l'argent fait donc perdre les pédales à la majorité présidentielle qui veut transformer la Côte d'Ivoire en un pays sans foi ni loi. Et considérer les banques comme des
structures n'appartenant à personne. Les établissements financiers et bancaires qui souffrent déjà du système de compense manuelle très fastidieux ne voudraient donc pas subir le même sort que la Bceao et la Brvm. Face à cette information récurrente de braquage qui a fait fuir cette semaine de hauts responsables, la fermeture de banques la semaine prochaine, est de plus en
plus à l'ordre du jour.
JEA
