Le Bureau exécutif national de la Coalition pour le changement (CPC) a tenu une réunion extraordinaire le vendredi 11 février 2011. Dans le communiqué final qui a sanctionné la rencontre, la structure de Touré Mamadou a condamné les atteintes à la liberté de la presse.
«C’est avec une vive consternation que la CPC a appris par voie de presse que, l’ancien président Laurent Gbagbo qui continue de s’accrocher au pouvoir a pris des décrets illégaux dégommant les dirigeants du Conseil national de la presse (CNP). Dans le même temps, la CPC a également appris que, le Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) a pris une mesure incompréhensible et injustifiable de retrait des fréquences attribuées à la radio ONUCI FM.
Bien avant ces deux méfaits, deux journalistes de la station de télévision TV Notre patrie basée à Bouaké ont été mis aux arrêts et continuent d’être torturés à la Brigade de recherche. La CPC exprime sa vive préoccupation devant les atteintes répétées à la liberté de la presse de la part du clan Gbagbo ». C’est en substance la déclaration faite par la Cpc au cours de cette réunion qui a été conjointement présidée par son premier vice-président Constant Koffi et par le président national des Universités des temps libres (Utl) Sylvestre Da. Ces manœuvres selon la Coalition pour le changement « visent à museler la presse ». La CPC «condamne donc vigoureusement la révocation des dirigeants légaux du Conseil national de la presse (CNP). Elle Dénonce le retrait des fréquences attribuées de la radio ONUCI FM. Elle exprime aussi sa profonde préoccupation sur la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur fonction. La Cpc Appelle les jeunes de Côte d’Ivoire en général et ceux de la CPC en particulier à assurer la sécurité des journalistes partout où, ils se trouveront dans l’exercice de leur fonction et d’empêcher par tous les moyens la parution et la vente des journaux dits bleus si d’aventure le régime moribond de Laurent Gbagbo se hasarde à fermer les journaux proches du RHDP. Nous Encourageons les journalistes de Côte d’Ivoire à continuer à informer le peuple ivoirien. Pour finir, le BEN de la CPC demande à ses membres de se « tenir prêts et mobilisés à exécuter tous les mots d’ordre qui seront lancés pour déloger Laurent Gbagbo du palais présidentiel afin d’installer le président élu, Son Excellence Monsieur Alassane Dramane Ouattara ». Par ailleurs, le bureau a exprimé son soutien au panel des Chefs d’Etat de l’UA et en particulier au président Burkinabé. Non sans mettre en garde « quiconque se hasarderait à troubler le séjour du président Blaise Compaoré en terre ivoirienne».
T. Abdoulaye
«C’est avec une vive consternation que la CPC a appris par voie de presse que, l’ancien président Laurent Gbagbo qui continue de s’accrocher au pouvoir a pris des décrets illégaux dégommant les dirigeants du Conseil national de la presse (CNP). Dans le même temps, la CPC a également appris que, le Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) a pris une mesure incompréhensible et injustifiable de retrait des fréquences attribuées à la radio ONUCI FM.
Bien avant ces deux méfaits, deux journalistes de la station de télévision TV Notre patrie basée à Bouaké ont été mis aux arrêts et continuent d’être torturés à la Brigade de recherche. La CPC exprime sa vive préoccupation devant les atteintes répétées à la liberté de la presse de la part du clan Gbagbo ». C’est en substance la déclaration faite par la Cpc au cours de cette réunion qui a été conjointement présidée par son premier vice-président Constant Koffi et par le président national des Universités des temps libres (Utl) Sylvestre Da. Ces manœuvres selon la Coalition pour le changement « visent à museler la presse ». La CPC «condamne donc vigoureusement la révocation des dirigeants légaux du Conseil national de la presse (CNP). Elle Dénonce le retrait des fréquences attribuées de la radio ONUCI FM. Elle exprime aussi sa profonde préoccupation sur la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur fonction. La Cpc Appelle les jeunes de Côte d’Ivoire en général et ceux de la CPC en particulier à assurer la sécurité des journalistes partout où, ils se trouveront dans l’exercice de leur fonction et d’empêcher par tous les moyens la parution et la vente des journaux dits bleus si d’aventure le régime moribond de Laurent Gbagbo se hasarde à fermer les journaux proches du RHDP. Nous Encourageons les journalistes de Côte d’Ivoire à continuer à informer le peuple ivoirien. Pour finir, le BEN de la CPC demande à ses membres de se « tenir prêts et mobilisés à exécuter tous les mots d’ordre qui seront lancés pour déloger Laurent Gbagbo du palais présidentiel afin d’installer le président élu, Son Excellence Monsieur Alassane Dramane Ouattara ». Par ailleurs, le bureau a exprimé son soutien au panel des Chefs d’Etat de l’UA et en particulier au président Burkinabé. Non sans mettre en garde « quiconque se hasarderait à troubler le séjour du président Blaise Compaoré en terre ivoirienne».
T. Abdoulaye