Les Eléphants de Côte d’Ivoire jouent leur qualification pour le second tour du Chan Orange Soudan 2011 face aux Lions indomptables du Cameroun, aujourd’hui à 17 h au stade Merreikh d’Omduram.
La Côte d’Ivoire joue sa survie dans le Chan Orange Soudan 2011 cet après-midi face à son homologue du Cameroun au stade Merreikh, à Omduram. C’est un véritable exercice de quitte ou double que les Eléphants auront à faire face aux Lions indomptables locaux aujourd’hui, dans cette commune de Khartoum, la capitale soudanaise. Une victoire est absolument nécessaire si les Ivoiriens veulent parvenir au 2e tour du Chan soudanais. La bande de Georges Kouadio, après avoir hypothéqué (1-2) sa qualification le 10 février face à de fébriles Congolais n’a plus qu’une seule alternative, battre vaille que vaille le Cameroun. En clair, les Ivoiriens ont leur destin en main. Parce que leurs adversaires qui totalisent déjà deux victoires n’ont besoin que d’un match nul pour voir leur rêve se réaliser. Alors que dans l’autre rencontre de ce groupe C au stade de Khartoum, la Rd Congo a aussi le dos au mur face à une équipe malienne qui espère une qualification. Car, après leurs deux défaites consécutives, les Aigles maliens sont très loin du possible même si mathématiquement ils ne sont pas encore éliminés. Toutefois, les poulains d’Amadou Pathé Diallo ont juré de sauver leur honneur face aux champions en titre. L’espoir est toutefois permis malgré toutes ces éventualités. Des échos qui proviennent du Soudan, il ressort que les Eléphants sont malgré tout très concentrés sur ce rendez-vous tant attendu par toute la Côte d’Ivoire. « Il sera anormal que nous quittions prématurément cette compétition avec ce bon groupe que nous constituons », lâche le jeune milieu de terrain Koné Bakary. « Nous savons que le Cameroun est costaud. Mais, nous allons jouer notre va-tout », promet-il. Comme lui, tous ses coéquipiers seraient décidés à faire honneur au drapeau ivoirien. Et l’infirmerie ivoirienne est vide, selon le médecin des Eléphants, Dr Lacroix Kouakou. « Tous nos joueurs se portent bien », a-t-il rassuré. C’est de bonne guerre !
Eugène Djabia
La Côte d’Ivoire joue sa survie dans le Chan Orange Soudan 2011 cet après-midi face à son homologue du Cameroun au stade Merreikh, à Omduram. C’est un véritable exercice de quitte ou double que les Eléphants auront à faire face aux Lions indomptables locaux aujourd’hui, dans cette commune de Khartoum, la capitale soudanaise. Une victoire est absolument nécessaire si les Ivoiriens veulent parvenir au 2e tour du Chan soudanais. La bande de Georges Kouadio, après avoir hypothéqué (1-2) sa qualification le 10 février face à de fébriles Congolais n’a plus qu’une seule alternative, battre vaille que vaille le Cameroun. En clair, les Ivoiriens ont leur destin en main. Parce que leurs adversaires qui totalisent déjà deux victoires n’ont besoin que d’un match nul pour voir leur rêve se réaliser. Alors que dans l’autre rencontre de ce groupe C au stade de Khartoum, la Rd Congo a aussi le dos au mur face à une équipe malienne qui espère une qualification. Car, après leurs deux défaites consécutives, les Aigles maliens sont très loin du possible même si mathématiquement ils ne sont pas encore éliminés. Toutefois, les poulains d’Amadou Pathé Diallo ont juré de sauver leur honneur face aux champions en titre. L’espoir est toutefois permis malgré toutes ces éventualités. Des échos qui proviennent du Soudan, il ressort que les Eléphants sont malgré tout très concentrés sur ce rendez-vous tant attendu par toute la Côte d’Ivoire. « Il sera anormal que nous quittions prématurément cette compétition avec ce bon groupe que nous constituons », lâche le jeune milieu de terrain Koné Bakary. « Nous savons que le Cameroun est costaud. Mais, nous allons jouer notre va-tout », promet-il. Comme lui, tous ses coéquipiers seraient décidés à faire honneur au drapeau ivoirien. Et l’infirmerie ivoirienne est vide, selon le médecin des Eléphants, Dr Lacroix Kouakou. « Tous nos joueurs se portent bien », a-t-il rassuré. C’est de bonne guerre !
Eugène Djabia
