La sélection nationale joue inévitablement gros tout à l’heure (17h Gmt) au stade Merreikh d’Omdurman face au Cameroun pour le compte de la 3ème journée du groupe C du Chan 2011. Un match où Kouadio Georges et ses poulains ont fini avec les calculs mathématiques.
Il n’y a pas de calcul à faire ce lundi pour les Eléphants locaux face aux Lions Indomptables au stade Merreikh d’Omduram. Une victoire s’impose aux Ivoiriens s’ils veulent vivre le second tour du Chan 2011. Les poulains de Kouadio Georges ont compliqué leur situation jeudi en s’inclinant (1-2) face à la RDC. Passé ce moment de regret, il va falloir faire face à l’équation camerounaise. Toutes les sélections ivoiriennes nous ont habitués aux calculs écœurants de probabilité. Depuis jeudi donc, tous les Ivoiriens s’exercent à cette gymnastique. Et oui, les « si » ressurgissent. Mais, il faut être réaliste.
Ici, avant de se donner tout espoir de pouvoir accéder en quarts de finale, l’équation la plus explosive pour le capitaine Yeboah Daniel et ses coéquipiers, c’est de battre d’abord et avant tout le Cameroun.
C’est clair. Les Ivoiriens ont leur destin en mains. Car leur adversaire qui a deux victoires n’a besoin que d’un match nul pour jubiler. Alors que dans l’autre rencontre de ce groupe C au stade de Khartoum, la République Démocratique du Congo a aussi le dos au mur face à une équipe malienne qui espère un hypothétique miracle. Après ses deux défaites consécutives, le Mali est très loin de la qualification même si mathématiquement il n’est pas encore éliminé. Toutefois, les poulains d’Amadou Pathé Diallo ont juré de sauver leur honneur face aux champions en titre. Cela dit, les Eléphants sont malgré tout très concentrés sur ce rendez-vous tant attendu par les observateurs. « Il sera anormal que nous quittions prématurément cette compétition avec ce bon groupe que nous constituons », lâche le jeune milieu de terrain, Koné Bakary. «Nous savons que le Cameroun est costaud. Mais, nous allons jouer notre va-tout », rassure-t-il. Comme lui, tous les autres joueurs ne sont pas prêts à quitter la capitale soudanaise le juste après ce duel contre les Camerounais. Alors, le jour de l’orgueil ivoirien a-t-il sonné? Réponse tout à l’heure. Une chose est sûre, ça passe ou ça casse.
Correspondance particulière de
JC Djakus à Khartoum
Il n’y a pas de calcul à faire ce lundi pour les Eléphants locaux face aux Lions Indomptables au stade Merreikh d’Omduram. Une victoire s’impose aux Ivoiriens s’ils veulent vivre le second tour du Chan 2011. Les poulains de Kouadio Georges ont compliqué leur situation jeudi en s’inclinant (1-2) face à la RDC. Passé ce moment de regret, il va falloir faire face à l’équation camerounaise. Toutes les sélections ivoiriennes nous ont habitués aux calculs écœurants de probabilité. Depuis jeudi donc, tous les Ivoiriens s’exercent à cette gymnastique. Et oui, les « si » ressurgissent. Mais, il faut être réaliste.
Ici, avant de se donner tout espoir de pouvoir accéder en quarts de finale, l’équation la plus explosive pour le capitaine Yeboah Daniel et ses coéquipiers, c’est de battre d’abord et avant tout le Cameroun.
C’est clair. Les Ivoiriens ont leur destin en mains. Car leur adversaire qui a deux victoires n’a besoin que d’un match nul pour jubiler. Alors que dans l’autre rencontre de ce groupe C au stade de Khartoum, la République Démocratique du Congo a aussi le dos au mur face à une équipe malienne qui espère un hypothétique miracle. Après ses deux défaites consécutives, le Mali est très loin de la qualification même si mathématiquement il n’est pas encore éliminé. Toutefois, les poulains d’Amadou Pathé Diallo ont juré de sauver leur honneur face aux champions en titre. Cela dit, les Eléphants sont malgré tout très concentrés sur ce rendez-vous tant attendu par les observateurs. « Il sera anormal que nous quittions prématurément cette compétition avec ce bon groupe que nous constituons », lâche le jeune milieu de terrain, Koné Bakary. «Nous savons que le Cameroun est costaud. Mais, nous allons jouer notre va-tout », rassure-t-il. Comme lui, tous les autres joueurs ne sont pas prêts à quitter la capitale soudanaise le juste après ce duel contre les Camerounais. Alors, le jour de l’orgueil ivoirien a-t-il sonné? Réponse tout à l’heure. Une chose est sûre, ça passe ou ça casse.
Correspondance particulière de
JC Djakus à Khartoum