N’ayons pas peur des mots. Utilisons ceux qui viennent et qui rendent compte de la réalité des faits. Ce que fait, actuellement, le chef de la refondation, grand perdant de la dernière présidentielle, est criminel. A cause de son comportement et son refus de se plier à la volonté du peuple, ils sont nombreux les Ivoiriens qui meurent chaque jour qui passe, dans un camp comme dans l’autre. Rien qu’en deux mois d’entêtement de sa part, ils sont près de 500 morts du côté de ceux qui luttent pour que soit respecté le choix du bon peuple de Côte d’Ivoire. A ces morts, il faut ajouter ceux qui souffrent dans leur chair, ceux qui n’ont rien à manger, ceux qui vivent dans la hantise de la faim du lendemain, ceux qui vivent la peur au ventre. Le candidat malheureux du FPI est criminel. Mais, il y a plus criminels que lui. Il s’agit de tous ceux qui, contre toute logique et toute raison, l’encourage dans sa folle aventure. Le bon peuple dirait même que ceux-là sont plus à craindre que le candidat perdant. Ce sont eux qui lui donnent l’espoir qu’il finira par avoir ce que les Ivoiriens, dans leur grande diversité et en grande majorité lui ont refusé. Le refondateur en chef a gouverné pendant dix ans. Jamais, au cours de ce règne, le pays n’a connu la tranquillité.
Ce double-mandat a été émaillé de scandales de toutes natures. Les crimes de sang l’ont disputé aux crimes économiques. L’arrogance et les invectives inutiles ont meublé les dix années de pouvoir du socialiste à l’ivoirienne. Et ceux qui soutiennent l’ancien opposant dit historique, voudraient que se perpétue cette situation catastrophique. Ils veulent que les Ivoiriens passent leur temps à se haïr et s’entre-tuer. Ils aimeraient que les caisses de l’Etat, demeurent le porte-monnaie de celui qui disait, pourtant, ne pas aimer l’argent. Ils sont vraiment criminels, ceux qui refusent au bon peuple de Côte d’Ivoire de connaître la liberté pour laquelle, dans leur propre pays, ils ont ferraillé dur avec les pouvoirs de la répression et de l’oppression. Soutenir le Machiavel des Lagunes dans ses œuvre lugubres, c’est condamner la Côte d’Ivoire à l’obscurantisme, à la médiocrité, au banditisme de tout genre. C’est participer à la désintégration de la nation, de la cohésion sociale, à la détérioration du tissu économique. C’est vouloir transformer la locomotive de la sous-région, en un boulet au pied de l’organisation de l’Afrique de l’ouest, l’empêchant de se développer. Criminels ils sont, les soutiens du criminel d’Abidjan
Raoul Mapiéchon
Ce double-mandat a été émaillé de scandales de toutes natures. Les crimes de sang l’ont disputé aux crimes économiques. L’arrogance et les invectives inutiles ont meublé les dix années de pouvoir du socialiste à l’ivoirienne. Et ceux qui soutiennent l’ancien opposant dit historique, voudraient que se perpétue cette situation catastrophique. Ils veulent que les Ivoiriens passent leur temps à se haïr et s’entre-tuer. Ils aimeraient que les caisses de l’Etat, demeurent le porte-monnaie de celui qui disait, pourtant, ne pas aimer l’argent. Ils sont vraiment criminels, ceux qui refusent au bon peuple de Côte d’Ivoire de connaître la liberté pour laquelle, dans leur propre pays, ils ont ferraillé dur avec les pouvoirs de la répression et de l’oppression. Soutenir le Machiavel des Lagunes dans ses œuvre lugubres, c’est condamner la Côte d’Ivoire à l’obscurantisme, à la médiocrité, au banditisme de tout genre. C’est participer à la désintégration de la nation, de la cohésion sociale, à la détérioration du tissu économique. C’est vouloir transformer la locomotive de la sous-région, en un boulet au pied de l’organisation de l’Afrique de l’ouest, l’empêchant de se développer. Criminels ils sont, les soutiens du criminel d’Abidjan
Raoul Mapiéchon
