Alors qu’ils s’apprêtaient à embarquer pour Malabo pour un tête-à-tête avec Teodoro Obiang Nguema, deux proches de Laurent Gbagbo ont dû rebrousser chemin. Le président équato-guinéen a laissé entendre qu’il ne pouvait pas les recevoir.
Le clan Gbagbo est-il devenu indésirable en Guinée Equatoriale ? En tout cas, le nouveau président en exercice de ce petit pays riche en pétrole vient d’envoyer un signal très, très fort à celui qui confisque le vote des Ivoiriens depuis le 28 novembre 2010. Et, c’est le Premier ministre du gouvernement illégitime qui en a fait les frais. Aké N’Gbo et Ahoua Don Mello s’apprêtaient lundi dernier à embarquer pour Malabo, la capitale équato-guinéenne. Ils se sont donc gaillardement rendus à l’aéroport pour l’une de ces missions de lobbying pour lesquelles l’argent des Ivoiriens est dilapidé. C’est pendant qu’ils attendaient d’embraquer que le voyage a été annulé. Le protocole de la présidence équato-guinéenne a appelé pour dire que le nouveau président de l’Ua ne pourrait pas recevoir les émissaires de Laurent Gbagbo. Motif officiel : calendrier chargé. Une vraie douche écossaise pour le clan des hold-ups électoraux.
Selon nos sources, les envoyés de Gbagbo partaient pour la énième fois à Malabo pour essayer d’influer le travail du panel. En effet, le dernier sommet de l’Ua à Addis-Abeba a fixé comme principe de travail du panel de cinq chefs d’Etat attendus à Abidjan, la victoire d’Alassane Dramane Ouattara à la présidentielle. La feuille de route du panel qui en découle est de chercher les voies et moyens de permettre au président démocratiquement élu de s’installer au palais. Le clan Gbagbo voulait donc aller faire du lobbying au près de Teodoro Obiang Nguema pour modifier cette feuille de route trop contraignante pour lui car synonyme de départ inéluctable.
Le refus de Malabo de recevoir la délégation est donc un mauvais présage pour le clan du mensonge et un signe supplémentaire de la victoire très prochaine de celui de la vérité des urnes.
L’isolement de Gbagbo et des siens est désormais total même en Afrique.
K.B.J.
Le clan Gbagbo est-il devenu indésirable en Guinée Equatoriale ? En tout cas, le nouveau président en exercice de ce petit pays riche en pétrole vient d’envoyer un signal très, très fort à celui qui confisque le vote des Ivoiriens depuis le 28 novembre 2010. Et, c’est le Premier ministre du gouvernement illégitime qui en a fait les frais. Aké N’Gbo et Ahoua Don Mello s’apprêtaient lundi dernier à embarquer pour Malabo, la capitale équato-guinéenne. Ils se sont donc gaillardement rendus à l’aéroport pour l’une de ces missions de lobbying pour lesquelles l’argent des Ivoiriens est dilapidé. C’est pendant qu’ils attendaient d’embraquer que le voyage a été annulé. Le protocole de la présidence équato-guinéenne a appelé pour dire que le nouveau président de l’Ua ne pourrait pas recevoir les émissaires de Laurent Gbagbo. Motif officiel : calendrier chargé. Une vraie douche écossaise pour le clan des hold-ups électoraux.
Selon nos sources, les envoyés de Gbagbo partaient pour la énième fois à Malabo pour essayer d’influer le travail du panel. En effet, le dernier sommet de l’Ua à Addis-Abeba a fixé comme principe de travail du panel de cinq chefs d’Etat attendus à Abidjan, la victoire d’Alassane Dramane Ouattara à la présidentielle. La feuille de route du panel qui en découle est de chercher les voies et moyens de permettre au président démocratiquement élu de s’installer au palais. Le clan Gbagbo voulait donc aller faire du lobbying au près de Teodoro Obiang Nguema pour modifier cette feuille de route trop contraignante pour lui car synonyme de départ inéluctable.
Le refus de Malabo de recevoir la délégation est donc un mauvais présage pour le clan du mensonge et un signe supplémentaire de la victoire très prochaine de celui de la vérité des urnes.
L’isolement de Gbagbo et des siens est désormais total même en Afrique.
K.B.J.
