Après avoir quitté le Golf Hôtel, le Professeur Niamkey Koffi, n’a pas hésité à appeler la Fesci au secours pour se débarrasser de ses gardes onusiens.
L’affaire paraît invraisemblable, parce qu’il s’agit de l’éminent Professeur Niamkey Koffi, l’homme au savoir académique et profondément antirépublicain et anti-patriote. Et pourtant, c’est la réalité.
Rebelle dans l’âme, ce théoricien de l’éthnicisme qui ferait jeu égal avec Goebel, s’est retrouvé au Golf Hôtel comme tous les suiveurs que Bédié a appelés au secours de Ouattara. Là-bas, Niamkey Koffi comme tous les autres truands, voyait rapidement Ouattara au Palais. Paris, le maître Sarkozy ne cessant de menacer. « C’en est fini pour Gbagbo » Riait-on sûrement au Golf Hôtel, après les salamalecs à Ouattara. Mais plus le temps passe, plus le Golf Hôtel qui vit au rythme des rumeurs les plus absurdes et cyniques, se transforme en un enfer. Qui pourrait, par exemple, supporter l’odeur suffocante d’une horde de rebelles prêts à tuer ! Au même moment, dehors, le pouvoir Gbagbo se renforce. D’ailleurs, chaque jour, il ne fait que marquer des points. De quoi briser l’enthousiasme des premiers jours dans l’entourage de Alassane. Et ce qui devrait arriver arriva. La bande de suiveurs qui avait envahi les allées de la suite de Ouattara a commencé à quitter les lieux, lasse d’attendre un pouvoir qui ne vient pas. Chacun s’imagine alors toutes les astuces pour fuir. Car juste à côté, il y a des rebelles et des forces onusiennes qui veillent au grain. Gare à celui qui voudrait violer la loi de Ouattara. C’est alors que Niamkey Koffi s’imagine un plan de sortie les plus ingénieux. Il souffle à des pontes de la rébellion qu’il y a un document très compromettant contre le Rhdp dans l’un des bureaux à l’Université de Cocody. Il faut donc qu’il aille le prendre au plus vite, avant que les hommes du Premier ministre Aké N’Gbo en prennent possession. Ouattara qui traine beaucoup de casseroles très bruyantes, n’y trouve pas d’inconvénients. Il faut qu’il préserve ses dehors de cadre compétent et honnête. Quelques rebelles accompagnés par des Casques bleu l’accompagnent donc au campus. Niamkey Koffi avait sa petite idée dans la tête. Il sait que les Casques bleus et les rebelles sont totalement indésirables dans ce «village du savoir ». Alors une fois dans les environs du campus, il demande à ses gênants gardes du corps de l’attendre dans un endroit très caché. Loin des regards de tout étudiant. Ce qui pourra leur éviter leur furia. Ce qui est encore fait. Une fois dans le campus, Niamkey Koffi, pousse presqu’un ouf de soulagement. Il sait qu’il est sauvé de l’enfer de Ouattara.
Arrivé dans un bureau d’un des responsables de l’Université, il appelle la Fesci au secours. En leur disant que des Casques bleu et des rebelles étaient non loin du campus. Il leur demande de l’aider à les vider de là. Mais déjà, ces tueurs de Ouattara s’étaient déjà tirés. Au final, ils se sont rendu compte qu’ils viennent d’être semés par Niamkey Koffi. Depuis, sûr de ne plus retourner au Golf Hôtel, il a retrouvé l’envie de vivre parmi les siens, sous la protection du pouvoir Gbagbo.
Guéhi Brence
gb08301660@yahoo.fr
L’affaire paraît invraisemblable, parce qu’il s’agit de l’éminent Professeur Niamkey Koffi, l’homme au savoir académique et profondément antirépublicain et anti-patriote. Et pourtant, c’est la réalité.
Rebelle dans l’âme, ce théoricien de l’éthnicisme qui ferait jeu égal avec Goebel, s’est retrouvé au Golf Hôtel comme tous les suiveurs que Bédié a appelés au secours de Ouattara. Là-bas, Niamkey Koffi comme tous les autres truands, voyait rapidement Ouattara au Palais. Paris, le maître Sarkozy ne cessant de menacer. « C’en est fini pour Gbagbo » Riait-on sûrement au Golf Hôtel, après les salamalecs à Ouattara. Mais plus le temps passe, plus le Golf Hôtel qui vit au rythme des rumeurs les plus absurdes et cyniques, se transforme en un enfer. Qui pourrait, par exemple, supporter l’odeur suffocante d’une horde de rebelles prêts à tuer ! Au même moment, dehors, le pouvoir Gbagbo se renforce. D’ailleurs, chaque jour, il ne fait que marquer des points. De quoi briser l’enthousiasme des premiers jours dans l’entourage de Alassane. Et ce qui devrait arriver arriva. La bande de suiveurs qui avait envahi les allées de la suite de Ouattara a commencé à quitter les lieux, lasse d’attendre un pouvoir qui ne vient pas. Chacun s’imagine alors toutes les astuces pour fuir. Car juste à côté, il y a des rebelles et des forces onusiennes qui veillent au grain. Gare à celui qui voudrait violer la loi de Ouattara. C’est alors que Niamkey Koffi s’imagine un plan de sortie les plus ingénieux. Il souffle à des pontes de la rébellion qu’il y a un document très compromettant contre le Rhdp dans l’un des bureaux à l’Université de Cocody. Il faut donc qu’il aille le prendre au plus vite, avant que les hommes du Premier ministre Aké N’Gbo en prennent possession. Ouattara qui traine beaucoup de casseroles très bruyantes, n’y trouve pas d’inconvénients. Il faut qu’il préserve ses dehors de cadre compétent et honnête. Quelques rebelles accompagnés par des Casques bleu l’accompagnent donc au campus. Niamkey Koffi avait sa petite idée dans la tête. Il sait que les Casques bleus et les rebelles sont totalement indésirables dans ce «village du savoir ». Alors une fois dans les environs du campus, il demande à ses gênants gardes du corps de l’attendre dans un endroit très caché. Loin des regards de tout étudiant. Ce qui pourra leur éviter leur furia. Ce qui est encore fait. Une fois dans le campus, Niamkey Koffi, pousse presqu’un ouf de soulagement. Il sait qu’il est sauvé de l’enfer de Ouattara.
Arrivé dans un bureau d’un des responsables de l’Université, il appelle la Fesci au secours. En leur disant que des Casques bleu et des rebelles étaient non loin du campus. Il leur demande de l’aider à les vider de là. Mais déjà, ces tueurs de Ouattara s’étaient déjà tirés. Au final, ils se sont rendu compte qu’ils viennent d’être semés par Niamkey Koffi. Depuis, sûr de ne plus retourner au Golf Hôtel, il a retrouvé l’envie de vivre parmi les siens, sous la protection du pouvoir Gbagbo.
Guéhi Brence
gb08301660@yahoo.fr
