Le samedi 12 février 2011 le Premier Ministre de la République de Côte d’Ivoire SEM SORO GUILLAUME a fait une importante adresse à la nation à travers un discours mémorable. Au cours de cette conférence, il a mis le peuple ivoirien devant ses responsabilités informant ainsi l’opinion nationale et internationale du début de la révolution ivoirienne, ce lundi 21 février 2011. Une date qui doit rentrer dans l’histoire de notre jeune nation. Le REDDA répond à cet appel patriotique pour la paix et la justice en vue de faire triompher la démocratie dans notre pays. Le REDDA, qui est une Organisation Panafricaine œuvrant pour la promotion de la Démocratie ne saurait rester en marge de cette importante opération. Le REDDA remercie le Président de la République SEM ALASSANE OUATTARA pour sa patience, pour son esprit d’ouverture et de dialogue en vue d’épargner des vies humaines et de privilégier la voie pacifique pour le règlement de cette crise. Le peuple de Côte d’Ivoire et tous les démocrates africains et d’ailleurs lui en seront gré le moment venu.
Pour l’heure, la patrie nous appelle pour sauver la démocratie dans le pays d’Houphouët Boigny face au péril de la dictature du camp LMP. Le REDDA plaide pour l’intensification des actions à mener, particulièrement ( ) par la jeunesse, fer de lance de tous les changements politiques : la Tunisie et l’Egypte sont des exemples.
Le REDDA condamne les violations massives des droits de l’homme qui ont cours dans la partie sud du pays et plus particulièrement à Abidjan. Le REDDA condamne également le limogeage de M Dié Kacou, Responsable du CNP et l’arrestation des journalistes Abou SANOGO et Gnahoré Charles et exige leur libération immédiate.
Pour rappel, le 28 novembre 2010, le peuple de Côte d’Ivoire s’est exprimé massivement et librement, avec un taux de participation record de 84%. Ce qui est une première mondiale, dans un processus électoral démocratique et transparent, désignant ainsi le candidat ALASSANE OUATTARA comme son dirigeant légal et légitime. Mais, les esprits malins nous ont volé notre victoire à travers un artifice juridique savamment orchestré par des apprentis voleurs avec à leur tête le Pr. YAO PAUL N’DRÉ, un (des) disciple(s) de Tia KONE cet autre juriste adepte des décisions iniques et agissant au mépris de la loi. S’il est encore besoin de rappeler que le conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire n’a pas appliqué l’article 64 de la constitution ivoirienne.
Depuis cette date, notre pays est devenu la risée du monde civilisé et démocratique qui frise l’infantilisation de son élite et de sa classe politique par la faute d’un individu tristement célèbre, j’ai nommé LAURENT GBAGBO.
Nous, Organisation de la société civile, interpellons le vaillant peuple de Côte d’Ivoire que le temps des pleurs est terminé, le temps de compter sur un soutien extérieur est terminé. Plus de 300 de nos compatriotes ont été lâchement assassinés par les miliciens de M Gbagbo et si nous ne faisons rien il finira par mettre en application son plan génocidaire que le camp LMP a savamment préparé contre nous.
Aujourd’hui toutes les organisations internationales ont unanimement reconnu le Dr Alassane OUATTARA, comme le Président élu de la République de Côte d’Ivoire, malheureusement le perdant M GBAGBO refuse de reconnaître sa défaite et il tente de confisquer le pouvoir qu’il a perdu à la régulière.
Conscients que nous sommes que le groupe de haut niveau de l’UA n’obtiendra pas de M Gbagbo son départ du pouvoir plutôt contribuera à prolonger la souffrance du peuple de Côte d’Ivoire alors nous sommes déterminés et mobilisés à nous battre pour faire respecter la volonté du peule exprimée le 28 novembre dernier.
Le temps est venu de nous donner les moyens d’arracher notre liberté et notre souveraineté confisquée par un groupe de militaires aidés en cela par une classe de politiciens mythomanes en manque de reconnaissance internationale.
Que voulons-nous laisser à nos enfants ? Si tel est que tout géniteur doit léguer le meilleur à ses progénitures. Alors choisissons entre vivre dans la lâcheté et dans la misère ou de vivre libre et heureux. Nous, populations de Côte d’Ivoire et de Bouaké en particuliers notre préférence part vers la seconde c'est-à-dire vivre libre.
La banque communautaire BCEAO a été braquée par M Gbagbo, la Bourse Régionale a été braquée par M Gbagbo – les banques commerciales sont entrain de fermer parce que objet de menace constante des milices de M Gbagbo. Les bailleurs de fond ont gelé tous les financements en faveur de la Côte d’ Ivoire. Bref, notre pays est asséché financièrement par l’entêtement d’un seul homme M Gbagbo. Allons-nous accepté d’être misérable avant de nous décider à le chasser du pouvoir qu’il usurpe ou alors maintenant nous allons nous décider à le chasser afin de continuer à vivre du fruit de notre travail ?
Chers frères ivoiriens, l’heure n’est plus aux discours, mais aux actes. Comme dirait l’autre, l’heure est grave. Je dirai plutôt qu’il y a péril. Acceptons le don de soi.
Posons-nous chaque matin la question suivante : qu’ai-je fait hier ou que dois-je faire aujourd’hui et demain afin que Gbagbo sans aille. L’heure de l’auto détermination a sonné. Allons arracher notre victoire pour laquelle nous avons tant sacrifié : nos biens, nos enfants et notre patience (trois ans pour préparer une élection). Nous avons fait le plus difficile, il reste à poser l’acte le plus important c'est-à-dire ( ) donner l’effectivité de notre pouvoir au Président élu, SEM ALASSANE OUATTARA.
Le REDDA demande au peuple de Côte d’Ivoire de contribuer efficacement à la réussite de cette révolution. Aussi, le REDDA lance t-il la révolution Orange.
A cet effet, le REDDA demande à la jeunesse ivoirienne d’occuper tous les symboles de l’Etat (Commissariats, palais de justice, sous-préfectures et préfectures) jusqu’au départ définitif de M Gbagbo du pouvoir qu’il usurpe depuis le 03 décembre 2010.
Le REDDA invite les forces vives de Bouaké à un giga meeting ce lundi 21 février 2011 pour le lancement officiel de la révolution orange à Bouaké.
En prélude à cette manifestation, le REDDA organisera une tournée d’information et de mobilisation dans les communes de la ville de Bouaké à partir de demain jeudi 17 février 2011. Ainsi, le jeudi 17 février 2011 nous serons à Belle ville à la place de la paix, le vendredi 18 à l’espace Maternité de Sokoura, le samedi 19 à Air France au rond point de la paix, le dimanche 20 à Djamourou. L’opinion nationale et internationale verra que les ivoiriens dans leur grande majorité ont tourné la page Gbagbo et que les pages de la Côte d’Ivoire s’écrivent et s’écriront pour les cinq prochaines années sous le règne de SEM ALASSANE DRAMANE OUATTARA.
Je vous remercie.
Pour l’heure, la patrie nous appelle pour sauver la démocratie dans le pays d’Houphouët Boigny face au péril de la dictature du camp LMP. Le REDDA plaide pour l’intensification des actions à mener, particulièrement ( ) par la jeunesse, fer de lance de tous les changements politiques : la Tunisie et l’Egypte sont des exemples.
Le REDDA condamne les violations massives des droits de l’homme qui ont cours dans la partie sud du pays et plus particulièrement à Abidjan. Le REDDA condamne également le limogeage de M Dié Kacou, Responsable du CNP et l’arrestation des journalistes Abou SANOGO et Gnahoré Charles et exige leur libération immédiate.
Pour rappel, le 28 novembre 2010, le peuple de Côte d’Ivoire s’est exprimé massivement et librement, avec un taux de participation record de 84%. Ce qui est une première mondiale, dans un processus électoral démocratique et transparent, désignant ainsi le candidat ALASSANE OUATTARA comme son dirigeant légal et légitime. Mais, les esprits malins nous ont volé notre victoire à travers un artifice juridique savamment orchestré par des apprentis voleurs avec à leur tête le Pr. YAO PAUL N’DRÉ, un (des) disciple(s) de Tia KONE cet autre juriste adepte des décisions iniques et agissant au mépris de la loi. S’il est encore besoin de rappeler que le conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire n’a pas appliqué l’article 64 de la constitution ivoirienne.
Depuis cette date, notre pays est devenu la risée du monde civilisé et démocratique qui frise l’infantilisation de son élite et de sa classe politique par la faute d’un individu tristement célèbre, j’ai nommé LAURENT GBAGBO.
Nous, Organisation de la société civile, interpellons le vaillant peuple de Côte d’Ivoire que le temps des pleurs est terminé, le temps de compter sur un soutien extérieur est terminé. Plus de 300 de nos compatriotes ont été lâchement assassinés par les miliciens de M Gbagbo et si nous ne faisons rien il finira par mettre en application son plan génocidaire que le camp LMP a savamment préparé contre nous.
Aujourd’hui toutes les organisations internationales ont unanimement reconnu le Dr Alassane OUATTARA, comme le Président élu de la République de Côte d’Ivoire, malheureusement le perdant M GBAGBO refuse de reconnaître sa défaite et il tente de confisquer le pouvoir qu’il a perdu à la régulière.
Conscients que nous sommes que le groupe de haut niveau de l’UA n’obtiendra pas de M Gbagbo son départ du pouvoir plutôt contribuera à prolonger la souffrance du peuple de Côte d’Ivoire alors nous sommes déterminés et mobilisés à nous battre pour faire respecter la volonté du peule exprimée le 28 novembre dernier.
Le temps est venu de nous donner les moyens d’arracher notre liberté et notre souveraineté confisquée par un groupe de militaires aidés en cela par une classe de politiciens mythomanes en manque de reconnaissance internationale.
Que voulons-nous laisser à nos enfants ? Si tel est que tout géniteur doit léguer le meilleur à ses progénitures. Alors choisissons entre vivre dans la lâcheté et dans la misère ou de vivre libre et heureux. Nous, populations de Côte d’Ivoire et de Bouaké en particuliers notre préférence part vers la seconde c'est-à-dire vivre libre.
La banque communautaire BCEAO a été braquée par M Gbagbo, la Bourse Régionale a été braquée par M Gbagbo – les banques commerciales sont entrain de fermer parce que objet de menace constante des milices de M Gbagbo. Les bailleurs de fond ont gelé tous les financements en faveur de la Côte d’ Ivoire. Bref, notre pays est asséché financièrement par l’entêtement d’un seul homme M Gbagbo. Allons-nous accepté d’être misérable avant de nous décider à le chasser du pouvoir qu’il usurpe ou alors maintenant nous allons nous décider à le chasser afin de continuer à vivre du fruit de notre travail ?
Chers frères ivoiriens, l’heure n’est plus aux discours, mais aux actes. Comme dirait l’autre, l’heure est grave. Je dirai plutôt qu’il y a péril. Acceptons le don de soi.
Posons-nous chaque matin la question suivante : qu’ai-je fait hier ou que dois-je faire aujourd’hui et demain afin que Gbagbo sans aille. L’heure de l’auto détermination a sonné. Allons arracher notre victoire pour laquelle nous avons tant sacrifié : nos biens, nos enfants et notre patience (trois ans pour préparer une élection). Nous avons fait le plus difficile, il reste à poser l’acte le plus important c'est-à-dire ( ) donner l’effectivité de notre pouvoir au Président élu, SEM ALASSANE OUATTARA.
Le REDDA demande au peuple de Côte d’Ivoire de contribuer efficacement à la réussite de cette révolution. Aussi, le REDDA lance t-il la révolution Orange.
A cet effet, le REDDA demande à la jeunesse ivoirienne d’occuper tous les symboles de l’Etat (Commissariats, palais de justice, sous-préfectures et préfectures) jusqu’au départ définitif de M Gbagbo du pouvoir qu’il usurpe depuis le 03 décembre 2010.
Le REDDA invite les forces vives de Bouaké à un giga meeting ce lundi 21 février 2011 pour le lancement officiel de la révolution orange à Bouaké.
En prélude à cette manifestation, le REDDA organisera une tournée d’information et de mobilisation dans les communes de la ville de Bouaké à partir de demain jeudi 17 février 2011. Ainsi, le jeudi 17 février 2011 nous serons à Belle ville à la place de la paix, le vendredi 18 à l’espace Maternité de Sokoura, le samedi 19 à Air France au rond point de la paix, le dimanche 20 à Djamourou. L’opinion nationale et internationale verra que les ivoiriens dans leur grande majorité ont tourné la page Gbagbo et que les pages de la Côte d’Ivoire s’écrivent et s’écriront pour les cinq prochaines années sous le règne de SEM ALASSANE DRAMANE OUATTARA.
Je vous remercie.