Koné Maméry, président du réseau pour la démocratie et le développement d’Afrique (REDDA) était face à la presse hier mercredi 16 février pour lancer la révolution ‘’orange’’. Décision qui fait suite à l’appel de Guillaume Soro pour une révolution populaire à partir du 21 février prochain, en vue de faire plier l’échine à Laurent Gbagbo. Aussi a-t-il dénoncé le limogeage d’Eugène Dié Kacou, de la tête du conseil national de la presse (CNP) par Ouattara Gnonzié, ministre de la Communication dans le gouvernement Aké N’ gbo.
Koné Maméry a condamné les violations massives des droits de l’homme à Abidjan. Avant de s’apitoyer sur le sort d’Eugène Dié Kacou. « Le REDDA condamne le limogeage de M. Eugène Dié Kacou, responsable du CNP et l’arrestation des journalistes Abou Sanogo et Gnahoré Charles », a-t-il dénoncé. En ce qui concerne la révolution de la population souhaitée par Guillaume Soro, Premier ministre du gouvernement Ouattara, le 21 février prochain, Koné Maméry a fait savoir que son organisation fera partie de la mobilisation. Mieux, le REDDA plaide pour l’intensification des actions à mener pour exiger le départ de Laurent Gbagbo. A en croire son président, les Ivoiriens ne doivent pas compter sur un appui venant de l’extérieur pour régler la crise ivoirienne. « Le temps des pleurs est terminé. Le temps de compter sur un soutien extérieur est terminé. Le temps est venu de nous donner les moyens pour arracher notre liberté et notre souveraineté confisquées par un groupe de militaires aidé par une classe de politiciens, en manque de reconnaissance internationale », dira –t-il. Et d’inviter les populations ivoiriennes à contribuer « efficacement à la réussite de cette révolution. Le REDDA lance la révolution orange ». Dans cette action, le conférencier a appelé toute la jeunesse ivoirienne à occuper tous les symboles de l’Etat (commissariats, palais de justice, sous-préfectures et préfecture) jusqu’au départ de Laurent Gbagbo. « L’heure n’est plus aux discours, mais aux actes. Allons arracher notre victoire pour laquelle nous avons tant sacrifié nos biens ». Koné Maméry a annoncé l’organisation d’un giga meeting le lundi prochain à Bouaké pour le lancement officiel de la révolution orange. Meeting auquel sont invitées toutes les forces vives de la région de la vallée du Bandama.
Bosco de Paré
Koné Maméry a condamné les violations massives des droits de l’homme à Abidjan. Avant de s’apitoyer sur le sort d’Eugène Dié Kacou. « Le REDDA condamne le limogeage de M. Eugène Dié Kacou, responsable du CNP et l’arrestation des journalistes Abou Sanogo et Gnahoré Charles », a-t-il dénoncé. En ce qui concerne la révolution de la population souhaitée par Guillaume Soro, Premier ministre du gouvernement Ouattara, le 21 février prochain, Koné Maméry a fait savoir que son organisation fera partie de la mobilisation. Mieux, le REDDA plaide pour l’intensification des actions à mener pour exiger le départ de Laurent Gbagbo. A en croire son président, les Ivoiriens ne doivent pas compter sur un appui venant de l’extérieur pour régler la crise ivoirienne. « Le temps des pleurs est terminé. Le temps de compter sur un soutien extérieur est terminé. Le temps est venu de nous donner les moyens pour arracher notre liberté et notre souveraineté confisquées par un groupe de militaires aidé par une classe de politiciens, en manque de reconnaissance internationale », dira –t-il. Et d’inviter les populations ivoiriennes à contribuer « efficacement à la réussite de cette révolution. Le REDDA lance la révolution orange ». Dans cette action, le conférencier a appelé toute la jeunesse ivoirienne à occuper tous les symboles de l’Etat (commissariats, palais de justice, sous-préfectures et préfecture) jusqu’au départ de Laurent Gbagbo. « L’heure n’est plus aux discours, mais aux actes. Allons arracher notre victoire pour laquelle nous avons tant sacrifié nos biens ». Koné Maméry a annoncé l’organisation d’un giga meeting le lundi prochain à Bouaké pour le lancement officiel de la révolution orange. Meeting auquel sont invitées toutes les forces vives de la région de la vallée du Bandama.
Bosco de Paré
