La succursale de la Banque internationale pour le commerce et l’industrie de Côte d’Ivoire (Bicici) à Abengourou a clos ses portes depuis hier, à 13heures. Une situation dommageable pour tous les clients qui attendaient faire leurs transactions financières. Aucune notification et raison n’ont été avancées. «C’est dans l’après-midi que avons fait l’amer constat de la fermeture de l’agence.
J’espère que les choses vont se normaliser au plus vite», se désole un client rencontré devant la banque. Les guichets automatiques ne crachaient aucun billet de banque. Des clients impatients et contraints par des besoins urgents se sont rabattus sur les autres banques privées pour faire des retraits déplacés avec leur carte magnétique visa. Cependant, le service minimum a été assuré de 8 heures à 11heures. Si des néophytes du système bancaire avancent surtout le manque de liquidité, force est de constater qu’après le verrouillage du système informatique de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao) avec en toile de fond, la mesure de la compensation manuelle décrétée par les sbires du clan Gbagbo, la fluidité du travail est mise en cause. La menace de sanctions lancée par le président élu, Alassane Ouattara, est une épée de Damoclès qui plane sur la tête des banquiers récalcitrants.
Koffi Jean Luc à Abengourou
J’espère que les choses vont se normaliser au plus vite», se désole un client rencontré devant la banque. Les guichets automatiques ne crachaient aucun billet de banque. Des clients impatients et contraints par des besoins urgents se sont rabattus sur les autres banques privées pour faire des retraits déplacés avec leur carte magnétique visa. Cependant, le service minimum a été assuré de 8 heures à 11heures. Si des néophytes du système bancaire avancent surtout le manque de liquidité, force est de constater qu’après le verrouillage du système informatique de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao) avec en toile de fond, la mesure de la compensation manuelle décrétée par les sbires du clan Gbagbo, la fluidité du travail est mise en cause. La menace de sanctions lancée par le président élu, Alassane Ouattara, est une épée de Damoclès qui plane sur la tête des banquiers récalcitrants.
Koffi Jean Luc à Abengourou