Ils commencent, certainement, à s’en mordre les doigts, ceux qui ont parié sur le Woody de Mama. Malgré ses allures d’étalon pur sang, l’ancien opposant dit historique, est ou a été un mauvais cheval. Tous ceux qui croyaient en lui, ont perdu leurs illusions. La saga du socialiste à l’ivoirienne a commencé en 1990.
Tous ceux qui aspiraient au changement et, surtout, qui voulaient la démocratie vraie, ont adhéré à son discours. C’était l’époque où l’historien traitait les dirigeants de l’époque d ’ « ignares ». Lui, il en savait plus que les autres. Tant en matière de la promotion de la démocratie qu’en celle de
gestion des affaires publiques. Avec lui, le parti unique, le discours unique et la pensée unique allaient trouver leur cimetière. Comme son clan et lui se présentaient comme des « poches de moralité », le bon peuple de Côte d’Ivoire voyait en lui un combattant irréductible de la corruption et de la gabegie. A tous ceux qui lui prédisaient un règne sanglant et meurtrier, avec le sens de la répartie qu’on lui connaît, il répondait, sourire aux lèvres : « est-ce que moi j’ai envie de gouverner des cimetières ? ». Entendant ces belles paroles, le bon peuple applaudissait à tout rompre. Il était content. La joie le dévorait. Vraiment, se disait-il, c’est Dieu qui nous a envoyé son fils sous une
autre forme. Quand il est parvenu au pouvoir, par des chemins tortueux, nombre de ses frères du village se sont écriés : « Enfin, nous allons démontrer que nous ne sommes pas ce que l’on dit que nous sommes ». Le frère lui-même les avait encouragés en disant : « Notre tour est arrivé ». Vraiment, le camarade socialiste à l’ivoirienne a suscité beaucoup d’espoir dans l’esprit des
uns et des autres. Malheureusement, quand l’heure est arrivée de mettre en pratique toutes les idées brassées, quand le temps a sonné d’aller à la rencontre des espérances des populations, le Woody de Mama est apparu comme le moins compétent de tous et le plus sanguinaire d’entre les différents présidents qu’a connus le bon peuple de Côte d’Ivoire. Plus que des cimetières,
ce sont des charniers entiers qui ont émaillé son double mandat. Les poches de moralité, de vraies besaces d’immoralités. Il n’était plus venu pour rendre le bon peuple de Côte d’Ivoire heureux mais, pour lutter pour la dignité de tout le continent africain. L’Afrique peut être digne pendant que les Ivoiriens ne mangent pas et que notre carré est devenu le royaume de la pensée unique. Et
nous qui croyions que l’exemple devait partir d’ici ? Nous nous trompions.
Enormément ! Et les regrets de tous les parieurs , aujourd’hui, sont profonds
Trait d’esprit : Affaire d’argent
Si le ridicule pouvait tuer. Les finances, ce n’est pas une affaire de sorbonnards.
Mister Katina parle, parle seulement. Les proprios ferment leurs boutiques.
Bicici, Citibank, c’est bouclé. Les autres peuvent fermer. Souroukou a son Trésor, BNI, CECP, BHCI…ça suffit pour votre souveraineté ( ?). Ils n’ont encore rien compris. Ces pauvres petits gens. Les banquiers n’aiment pas. L’insécurité.
Or les refondateurs adorent braquer. BNP Paribas est prévoyante.
Coulibaly B.
Tous ceux qui aspiraient au changement et, surtout, qui voulaient la démocratie vraie, ont adhéré à son discours. C’était l’époque où l’historien traitait les dirigeants de l’époque d ’ « ignares ». Lui, il en savait plus que les autres. Tant en matière de la promotion de la démocratie qu’en celle de
gestion des affaires publiques. Avec lui, le parti unique, le discours unique et la pensée unique allaient trouver leur cimetière. Comme son clan et lui se présentaient comme des « poches de moralité », le bon peuple de Côte d’Ivoire voyait en lui un combattant irréductible de la corruption et de la gabegie. A tous ceux qui lui prédisaient un règne sanglant et meurtrier, avec le sens de la répartie qu’on lui connaît, il répondait, sourire aux lèvres : « est-ce que moi j’ai envie de gouverner des cimetières ? ». Entendant ces belles paroles, le bon peuple applaudissait à tout rompre. Il était content. La joie le dévorait. Vraiment, se disait-il, c’est Dieu qui nous a envoyé son fils sous une
autre forme. Quand il est parvenu au pouvoir, par des chemins tortueux, nombre de ses frères du village se sont écriés : « Enfin, nous allons démontrer que nous ne sommes pas ce que l’on dit que nous sommes ». Le frère lui-même les avait encouragés en disant : « Notre tour est arrivé ». Vraiment, le camarade socialiste à l’ivoirienne a suscité beaucoup d’espoir dans l’esprit des
uns et des autres. Malheureusement, quand l’heure est arrivée de mettre en pratique toutes les idées brassées, quand le temps a sonné d’aller à la rencontre des espérances des populations, le Woody de Mama est apparu comme le moins compétent de tous et le plus sanguinaire d’entre les différents présidents qu’a connus le bon peuple de Côte d’Ivoire. Plus que des cimetières,
ce sont des charniers entiers qui ont émaillé son double mandat. Les poches de moralité, de vraies besaces d’immoralités. Il n’était plus venu pour rendre le bon peuple de Côte d’Ivoire heureux mais, pour lutter pour la dignité de tout le continent africain. L’Afrique peut être digne pendant que les Ivoiriens ne mangent pas et que notre carré est devenu le royaume de la pensée unique. Et
nous qui croyions que l’exemple devait partir d’ici ? Nous nous trompions.
Enormément ! Et les regrets de tous les parieurs , aujourd’hui, sont profonds
Trait d’esprit : Affaire d’argent
Si le ridicule pouvait tuer. Les finances, ce n’est pas une affaire de sorbonnards.
Mister Katina parle, parle seulement. Les proprios ferment leurs boutiques.
Bicici, Citibank, c’est bouclé. Les autres peuvent fermer. Souroukou a son Trésor, BNI, CECP, BHCI…ça suffit pour votre souveraineté ( ?). Ils n’ont encore rien compris. Ces pauvres petits gens. Les banquiers n’aiment pas. L’insécurité.
Or les refondateurs adorent braquer. BNP Paribas est prévoyante.
Coulibaly B.