Ivoiriens mes frères, ivoiriennes mes sœurs, chers compatriotes,
Une résolution pacifique de la crise ivoirienne débouchant sur un départ en douceur de LAURENT GBAGBO est illusoire tant il reste honteusement et désespéramment accroché aux meubles de la Présidence, en dépit des nombreux efforts consentis au plan national comme international.
Pour cette raison, nous poursuivons notre appel à un boycott actif ou pacifique du pouvoir illégitime et illégal du ‘’Machiavel de la Lagune Ebrié’’ par tous les fils et filles de ce pays attachés fermement aux valeurs et aux principes démocratiques. C`est-à-dire à une non-soumission à la dictature de la minorité.
Nous savons que tout n’est pas simple et que nul ne détient de solutions magiques. Mais, la politique qui conduit notre pays dans une logique de déni de démocratie n’est pas acceptable, encore moins le mépris des Droits les plus élémentaires de centaines de milliers d’électeurs.
Le pouvoir est entre nos mains. Si nous ne faisons rien, nous trahirons nos principes et nos consciences. Et le tribunal de l’histoire nous jugera. Notre responsabilité citoyenne ne peut se limiter à mettre un bulletin dans une urne et attendre. C`est avant tout, en nous déterminant à changer les choses que nous pourrons relever le défi de la démocratie actuellement prise en otage car, Dieu ne change jamais le destin d’un peuple sans que ce peuple-là ne soit disposé à recevoir le changement.
Pour le moment, nous paraissons bien impuissants, face à la puissance de feu de la soldatesque de l’ex-président, face aux escadrons de la mort, face à tous ces mercenaires angolais et libériens qui font la loi dans nos villes et villages.
Et pourtant, nous, pauvres citoyens, qui sommes si insignifiants, possédons un pouvoir extraordinaire. Nous avons la possibilité de choisir ou de façonner le destin de notre peuple, comme le disait Barack OBAMA : « yes, we can !». Soyons des sujets de l’histoire de notre pays et non ses objets.
Ensemble, sans plus attendre, chacun dans son coin, dans son hameau, dans son village ou dans sa ville, sans tambour ni trompette, sans fourche ni canon, doit être prêt a engager la bataille de la libération contre les forces maléfiques et rétrogrades.
Ensemble, comme les gouttes d’eau qui, se réunissant, finissent par faire les ruisseaux et les fleuves, puis les océans, organisons-nous et menons la résistance !
Devenons des citoyens conscients et attentifs, et surtout prêts à remettre en cause tout agissement capable de corrompre et rompre notre société, de ternir notre image à l’extérieur et d’hypothéquer notre avenir.
Les différents Sommets et médiations qui trainent et entraînent la crise dans un enlisement au détriment des populations est un piège qui, si on n’y prend garde, risque de nous endormir. Nous devons refuser d’être dépendants de la communauté internationale, pour qui seuls comptent les intérêts du moment, sans autre considération ! Nous ne devons non plus laisser notre destin entre les mains de Chefs d’Etat africains qui, pour la plupart, sont en proie à des crises de légitimité.
Servons-nous de l`expérience de ce qui se passe dans certains pays de l’Afrique du Nord et de l’Asie ! Nous ne sommes pas moins courageux que les Tunisiens et/ou les Egyptiens.
Organisons-nous, afin d`être dégagés et unis comme un seul homme ! Car, si cette révolution appartient à tous, elle est avant tout, une affaire de responsabilité et d`engagement individuels.
Ivoiriens, Ivoirienne ne nous replions pas sur la peur d`être arrêtés ou assassinés. Vivons débout !
Pour bâtir une Côte d’Ivoire véritablement démocratique, libre, prospère et développé, bref, une Cote d’ivoire nouvelle. Cette mission est pour chacun de nous, un impératif.
La Côte d’Ivoire n`appartient ni à GBAGBO ni à sa clique de voyous qui terrorisent, emprisonnent et tuent sans aucun état d`âme. La question essentielle de la liberté d`expression est et a toujours été la même. La réalité politico-judiciaire est toujours la même, depuis que Gbagbo est au pouvoir. Le danger est toujours le même. Nous demandons à toute la jeunesse de s`armer de courage pour affronter le Président dictateur et ses amis. Il nous faut trouver les moyens de s`organiser et d`augmenter la pression sur ces sanguinaires. Il est important de ne pas céder à leurs intimidations en calmant le jeu et d`essayer de remettre tout entre les mains de Dieu comme c`est souvent de notre coutume. Face à l`injustice, il faut bouger et agir avec détermination.
Nous ne devons pas accepter ce sacrifice douloureux et de sang que nous impose cet ancien régime afin que nous laissions une Côte d’Ivoire véritablement démocratique et libre aux générations futures.
N`attendons personne pour agir ! Mobilisons-nous individuellement pour tous !
Fiers Ivoiriens, le pays nous appelle….
COORDINATEUR CPC D’ADJAME
Fofana Amara
dit Amoros’s
fofanus@yahoo.fr
Une résolution pacifique de la crise ivoirienne débouchant sur un départ en douceur de LAURENT GBAGBO est illusoire tant il reste honteusement et désespéramment accroché aux meubles de la Présidence, en dépit des nombreux efforts consentis au plan national comme international.
Pour cette raison, nous poursuivons notre appel à un boycott actif ou pacifique du pouvoir illégitime et illégal du ‘’Machiavel de la Lagune Ebrié’’ par tous les fils et filles de ce pays attachés fermement aux valeurs et aux principes démocratiques. C`est-à-dire à une non-soumission à la dictature de la minorité.
Nous savons que tout n’est pas simple et que nul ne détient de solutions magiques. Mais, la politique qui conduit notre pays dans une logique de déni de démocratie n’est pas acceptable, encore moins le mépris des Droits les plus élémentaires de centaines de milliers d’électeurs.
Le pouvoir est entre nos mains. Si nous ne faisons rien, nous trahirons nos principes et nos consciences. Et le tribunal de l’histoire nous jugera. Notre responsabilité citoyenne ne peut se limiter à mettre un bulletin dans une urne et attendre. C`est avant tout, en nous déterminant à changer les choses que nous pourrons relever le défi de la démocratie actuellement prise en otage car, Dieu ne change jamais le destin d’un peuple sans que ce peuple-là ne soit disposé à recevoir le changement.
Pour le moment, nous paraissons bien impuissants, face à la puissance de feu de la soldatesque de l’ex-président, face aux escadrons de la mort, face à tous ces mercenaires angolais et libériens qui font la loi dans nos villes et villages.
Et pourtant, nous, pauvres citoyens, qui sommes si insignifiants, possédons un pouvoir extraordinaire. Nous avons la possibilité de choisir ou de façonner le destin de notre peuple, comme le disait Barack OBAMA : « yes, we can !». Soyons des sujets de l’histoire de notre pays et non ses objets.
Ensemble, sans plus attendre, chacun dans son coin, dans son hameau, dans son village ou dans sa ville, sans tambour ni trompette, sans fourche ni canon, doit être prêt a engager la bataille de la libération contre les forces maléfiques et rétrogrades.
Ensemble, comme les gouttes d’eau qui, se réunissant, finissent par faire les ruisseaux et les fleuves, puis les océans, organisons-nous et menons la résistance !
Devenons des citoyens conscients et attentifs, et surtout prêts à remettre en cause tout agissement capable de corrompre et rompre notre société, de ternir notre image à l’extérieur et d’hypothéquer notre avenir.
Les différents Sommets et médiations qui trainent et entraînent la crise dans un enlisement au détriment des populations est un piège qui, si on n’y prend garde, risque de nous endormir. Nous devons refuser d’être dépendants de la communauté internationale, pour qui seuls comptent les intérêts du moment, sans autre considération ! Nous ne devons non plus laisser notre destin entre les mains de Chefs d’Etat africains qui, pour la plupart, sont en proie à des crises de légitimité.
Servons-nous de l`expérience de ce qui se passe dans certains pays de l’Afrique du Nord et de l’Asie ! Nous ne sommes pas moins courageux que les Tunisiens et/ou les Egyptiens.
Organisons-nous, afin d`être dégagés et unis comme un seul homme ! Car, si cette révolution appartient à tous, elle est avant tout, une affaire de responsabilité et d`engagement individuels.
Ivoiriens, Ivoirienne ne nous replions pas sur la peur d`être arrêtés ou assassinés. Vivons débout !
Pour bâtir une Côte d’Ivoire véritablement démocratique, libre, prospère et développé, bref, une Cote d’ivoire nouvelle. Cette mission est pour chacun de nous, un impératif.
La Côte d’Ivoire n`appartient ni à GBAGBO ni à sa clique de voyous qui terrorisent, emprisonnent et tuent sans aucun état d`âme. La question essentielle de la liberté d`expression est et a toujours été la même. La réalité politico-judiciaire est toujours la même, depuis que Gbagbo est au pouvoir. Le danger est toujours le même. Nous demandons à toute la jeunesse de s`armer de courage pour affronter le Président dictateur et ses amis. Il nous faut trouver les moyens de s`organiser et d`augmenter la pression sur ces sanguinaires. Il est important de ne pas céder à leurs intimidations en calmant le jeu et d`essayer de remettre tout entre les mains de Dieu comme c`est souvent de notre coutume. Face à l`injustice, il faut bouger et agir avec détermination.
Nous ne devons pas accepter ce sacrifice douloureux et de sang que nous impose cet ancien régime afin que nous laissions une Côte d’Ivoire véritablement démocratique et libre aux générations futures.
N`attendons personne pour agir ! Mobilisons-nous individuellement pour tous !
Fiers Ivoiriens, le pays nous appelle….
COORDINATEUR CPC D’ADJAME
Fofana Amara
dit Amoros’s
fofanus@yahoo.fr