De : Sauvons la CI sur www.mareeblanche.blogspot.com
Jeunes internautes, jeunes ivoiriens, sauvons la Côte d'Ivoire
Il ne faut pas perdre l'objectif de vue, le 19 février 2011, il faut que tout le monde soit à Abobo, le pays nous appelle. La nation nous appelle. Notre avenir nous y appelle. L'avenir de nos enfants ou de nos futurs enfants nous y appelle...
Arrêtons de chasser Gbagbo dans nos salons. Pour une fois, soyons dignes de porter le titre d'HOMME et de FEMME.
Quand nous le voulons, nous le pouvons.
Les femmes ont libéré les prisonniers de la prison de Grand-Bassam au temps colonial. Nous avons chassé Guéï, il y a 11 ans.
Aujourd'hui, c'est Gbagbo qui doit partir.
Ce départ de Gbagbo sera un signe fort au président Alassane Ouattara pour lui dire que la jeunesse ivoirienne ne se laissera plus jamais trahir mais prendra désormais en main son avenir.
Arrêtons de chasser Gbagbo par facebook mais matérialisons cela à Abobo ce samedi 19 février 2011.
Lisez mes lignes et vous ne verrez jamais RHDP. Car, ce n'est plus le combat de cette formation politique mais plutôt de la jeunesse unifiée de la Côte d'Ivoire.
Tout comme toi, j'ai peur de mourir mais j'irai à Abobo ce samedi 19 février 2011.
Tout comme toi, j'ai une femme qui a décidé d'être à mes côtés en tout temps alors elle sera avec moi ce jour à Abobo.
Tout comme toi, j'ai des enfants mais je serai à Abobo ce 19 février 2011 pour défendre leur avenir.
Là où j'habite, les gens du quartier me félicitent, m'encouragent, pour, disent-ils, mener la lutte pour chasser Gbagbo. Moi je leur dis que Gbagbo partira quand tu le voudras vraiment, quand tu te décideras à le chasser quand tu voudras faire respecter les valeurs enseignées par Félix Houphouet-Boigny, quand tu voudras faire respecter le choix de la majorité des Ivoiriens y compris toi-même.
Le 16 décembre 2010, nous étions tous à la maison du Pdci à Cocody. Je vous assure que j'ai eu peur, je l'avoue. J'ai eu peur quand j'entendais les détonations, les explosions. Mais, jamais je n'ai abandonné tout comme ces centaines de personnes présentes. Nous avons été gazés, frappés mais, nous avons chanté l'hymne national pour signifier à nos bourreaux que nous sommes des Ivoiriens prêts à défendre notre choix. Nous nous sommes encouragés, nous avons consolé ceux qui pleuraient, donner à boire à ceux qui avaient soif, nous avons fraternisé, nous avons aimé notre pays. Venons tous à Abobo ce samedi 19 février 2011 pour, simplement, dire au revoir à Gbagbo et à ses sbires.
De : www.mareeblanche.blogspot.com
Proposition de stratégie de manifestation Salutations à tous.
Chacun de nous possède une spécialité et nous pourrions nous en servir afin de mobiliser un grand nombre de personnes pour réussir notre action commune. Voici donc quelques propositions:
Pour avoir un impact sérieux, il nous faudra:
1) Occuper des endroits stratégiques de chaque commune et ville ; Quelques exemples : Anyama et Abobo : gare routière en face de la mairie ; Treichville, Marcory, Koumassi : le long du boulevard. Port-Bouët : Place Akwaba. Grand-Bassam : la voie internationale menant à Bonoua et Aboisso.
2) Quelles actions menées : la marche de la tortue : occuper la voie sans casse, sans s'attaquer aux Fds, sans s'attaquer aux commerces, sans s'attaquer aux véhicules.
3) Communiquer abondamment et nos frères en communication devront jouer un rôle important dans le relais des manifestations sur le net. Vos différentes réactions sur le sujet seront très utiles.
Très Sincères
Une sélection de Sanou A.
Jeunes internautes, jeunes ivoiriens, sauvons la Côte d'Ivoire
Il ne faut pas perdre l'objectif de vue, le 19 février 2011, il faut que tout le monde soit à Abobo, le pays nous appelle. La nation nous appelle. Notre avenir nous y appelle. L'avenir de nos enfants ou de nos futurs enfants nous y appelle...
Arrêtons de chasser Gbagbo dans nos salons. Pour une fois, soyons dignes de porter le titre d'HOMME et de FEMME.
Quand nous le voulons, nous le pouvons.
Les femmes ont libéré les prisonniers de la prison de Grand-Bassam au temps colonial. Nous avons chassé Guéï, il y a 11 ans.
Aujourd'hui, c'est Gbagbo qui doit partir.
Ce départ de Gbagbo sera un signe fort au président Alassane Ouattara pour lui dire que la jeunesse ivoirienne ne se laissera plus jamais trahir mais prendra désormais en main son avenir.
Arrêtons de chasser Gbagbo par facebook mais matérialisons cela à Abobo ce samedi 19 février 2011.
Lisez mes lignes et vous ne verrez jamais RHDP. Car, ce n'est plus le combat de cette formation politique mais plutôt de la jeunesse unifiée de la Côte d'Ivoire.
Tout comme toi, j'ai peur de mourir mais j'irai à Abobo ce samedi 19 février 2011.
Tout comme toi, j'ai une femme qui a décidé d'être à mes côtés en tout temps alors elle sera avec moi ce jour à Abobo.
Tout comme toi, j'ai des enfants mais je serai à Abobo ce 19 février 2011 pour défendre leur avenir.
Là où j'habite, les gens du quartier me félicitent, m'encouragent, pour, disent-ils, mener la lutte pour chasser Gbagbo. Moi je leur dis que Gbagbo partira quand tu le voudras vraiment, quand tu te décideras à le chasser quand tu voudras faire respecter les valeurs enseignées par Félix Houphouet-Boigny, quand tu voudras faire respecter le choix de la majorité des Ivoiriens y compris toi-même.
Le 16 décembre 2010, nous étions tous à la maison du Pdci à Cocody. Je vous assure que j'ai eu peur, je l'avoue. J'ai eu peur quand j'entendais les détonations, les explosions. Mais, jamais je n'ai abandonné tout comme ces centaines de personnes présentes. Nous avons été gazés, frappés mais, nous avons chanté l'hymne national pour signifier à nos bourreaux que nous sommes des Ivoiriens prêts à défendre notre choix. Nous nous sommes encouragés, nous avons consolé ceux qui pleuraient, donner à boire à ceux qui avaient soif, nous avons fraternisé, nous avons aimé notre pays. Venons tous à Abobo ce samedi 19 février 2011 pour, simplement, dire au revoir à Gbagbo et à ses sbires.
De : www.mareeblanche.blogspot.com
Proposition de stratégie de manifestation Salutations à tous.
Chacun de nous possède une spécialité et nous pourrions nous en servir afin de mobiliser un grand nombre de personnes pour réussir notre action commune. Voici donc quelques propositions:
Pour avoir un impact sérieux, il nous faudra:
1) Occuper des endroits stratégiques de chaque commune et ville ; Quelques exemples : Anyama et Abobo : gare routière en face de la mairie ; Treichville, Marcory, Koumassi : le long du boulevard. Port-Bouët : Place Akwaba. Grand-Bassam : la voie internationale menant à Bonoua et Aboisso.
2) Quelles actions menées : la marche de la tortue : occuper la voie sans casse, sans s'attaquer aux Fds, sans s'attaquer aux commerces, sans s'attaquer aux véhicules.
3) Communiquer abondamment et nos frères en communication devront jouer un rôle important dans le relais des manifestations sur le net. Vos différentes réactions sur le sujet seront très utiles.
Très Sincères
Une sélection de Sanou A.